Note synthétique TPE
Note synthétique TPE Note synthétique DELORME Pauline, I ère S2 Autres membres du groupe MULATIERJuIie, MARTIN Hugo. RIBEIRO Samuel Notre travail personnel encadré traite du thème Santé et Bien-être avec comme sujet l’effet du placebo sur… statut juridique BTS AM Premium Jeanne Lambert est salariés comme laborantine dans une grande entreprise Industrielle. Elle souhaite être en contact avec les autres et ne plus être derrière les éprouvettes par ailleurs ses horaires Imposés par le chef de servlce sont dl..
Fonctions ir Pour bien comprendre un texte, II faut sawoir le situer dans l’histoire des idées t des mouvements littéraires et artistiques. I) L’humanlsme 2) Le baroque Le baroque nait la fln du XVIe siècle et se prolonge lusqüau second tiers du XVII… Corpus Prem lum MALRAUX 1901 1 976 introduction de 1923 à 1 927 en Extrême Orient mouvements révolutionnaires et expéditions archéologiques 1 933 lutte # fascisme en Espagne 1940 résistant maquis 1945 abandonne le « mythe de la… Bel ami Maupassant Problématique En quoi le roman Bel-Ami de GUY DE MAUPASSANT est-il un roman d’apprentissage ?
Plan Introduction I- B113•. N : un roman d’apprentissage aractérise un personnage ayant atteint le but ultime de la vie : certains diront… corpus de textes utopie. Fenelon. Montesquieu. voltaire. rechercher si fon pouvait cerner son effet sur une maladie précise. C’est ainsi que nous avons débuté dans le thème de « Santé et Bien-être », et plus précisément du corps et de l’esprit, avec comme sujet : l’effet du placebo sur la maladie de Parkinson. Tout comme le placebo, la maladie de Parkinson, bien que nous en ayons déj? entendu parler, nous semblait à première vue un peu vague.
Notre sujet a mis du temps ? ?tre analysé, car nous-même ne savions pas vraiment de quoi nous allions parler. Le premier mois nous a donc principalement permis de nous informer, c’est pendant ces premières semaines que nous avons pu découvrir toutes les facettes de ce dans quoi nous nous engagions à travailler. Nous nous étions chargés, en cours, de réunir toutes les sources qui nous semblaient intéressantes et les informations que nous en tirions, sur notre document commun.
J’ai personnellement fait la plupart de mes recherches à mon domicile. Nous avons attaqué le mois de Novembre avec une vingtaine de ages d’informations, en « vrac Nous nous sommes donc attaqués au tri de ces informations dans différentes parties, pour former notre plan. Notre plan a également mis du temps ? être élaboré, étant donné qu’il était difficile de séparer toutes les informations, ayant toutes des rapports les unes avec les autres.
C’est d’ailleurs aussi la raison pour laquelle nous avons eu du mal à nous répartir le travail, pul 2 OF s C’est d’ailleurs aussi la raison pour laquelle nous avons eu du mal à nous répartir le travail, puisqu’il était compliqué d’entrer dans une partie ans connaître vraiment les autres. Nous avons donc commencé la rédaction au mois de Décembre, mois durant lequel le professeur de Chimie nous a fait remarquer qu’il manquait un peu de sa matière. Nous avons tout de même commencé la rédaction durant les cours.
Mais c’est pendant les vacances de Noël que nous avons décidé de nous pencher plus sérieusement sur l’intervention des deux matières concernées dans notre sujet, et que nous avons finalisé notre rédaction. J’ai été particulièrement surprise par l’aspect extrêmement scientifique de notre hoix, qui me semblait au départ un sujet simple. En réalité, nous avons pu faire intervenir autant de Chimie que de SVT, en découvrant de nouvelles choses sur notre propre corps, notamment les réactions qui y ont lieu, le fonctionnement de notre cerveau, et à quel point ces deux disciplines sont liées.
Nous avons également pu remarquer, à travers notre expérience qu’en intégrant principalement de la Chimie, nous pouvions en arriver à un résultat particulièrement scientifique (traitant de la SVT). Totalement impliquée et motivée dans Pélaboration de notre roduction finale, j’ai partiellement eu l’idée de faire un magazine, dans le but d’apporter un peu d’originalité. J’ai également en partie oeuvré dans la 3 OF s magazine, dans le but d’apporter un peu d’originalité.
J’ai également en partie oeuvré dans la rédaction, mais plus particulièrement en ce qui concerne les schémas et les illustrations qui accompagnent notre écrit. Julie et moi nous sommes occupées de la mise en page du magazine. J’ai pu remarquer, et cela est valable également pour mes camarades, que les deux heures d’élaboration du TPE par semaine nous ont paru estreintes, et il nous a semblé difficile de se remettre dans notre travail de la semaine précédente, une semaine plus tard, vu la complexité de notre sujet. C’est pourquoi le travail à la maison a représenté une plus grande part de travail que celui au lycée.
Nous ne pensions pas que les recherches pour constituer le contenu seraient aussi importantes, c’est pourquoi cela nous a contraint à passer moins de temps sur la forme de la production finale. Cependant, ce TPE nous a apporté à chacun, je pense, de nouvelles capacités, notamment en ce qui concerne la recherche scientifique, et le ravail d’équipe ! Pour conclure, j’ai véritablement apprécié notre travail, et c’était pour moi plus un plaisir qu’une contrainte de me lever le matin en me disant que j’allais travailler sur ce sujet.
Je crois qu’il a réveillé en moi un certain goût pour la science et la médecine, que je ne connaissais pas auparavant. Jamais, en choisissant ce sujet, je n’aurai cru pouvoir répondre ? notre problématiq 4 OF S auparavant. problématique par « oui », cela me semblait improbable, mais l’étude de notre TPE a confirmé qu’un placebo a bel et bien le pouvoir de guérir la aladie de Parkinson, malgré ses limites, et le fait que la médecine a de véritables faces cachées.
La maladie de Parkinson est malheureusement une maladie incurable, car le déficit en dopamine qui la caractérise ne peut être compensé de façon à guérir entièrement la maladie, mais seulement de façon à atténuer les symptômes. Or, d’après le résultat de notre TPE, le placebo a également cette capacité à compenser ce déficit. Mais le mot « placebo » est bien plus complexe qu’on ne peut se l’imaginer, il oblige les scientifiques à l’intégrer dans eurs protocoles de recherche, et de s’y pencher plus sérieusement pour y découvrir tous les mystères qui le composent.
J’ai trouvé passionnant de découvrir les mécanismes de notre cerveau et de voir combien la psychologie pouvait influencer sur son fonctionnement. Je suis maintenant convaincue que le « oui » que j’imaginais improbable en Septembre est, grâce aux preuves scientifiques dévoilées dans notre travail, plus qu’un simple mot, mais un phénomène qui peut, peut-être, faire avancer la médecine et la vie de certaines personnes. S OF s