Nanotechnologie
Oppositions aux minéralogistes Conclusion Bibliographie Introduction premier boy impuni amputa 22, 2011 15 pages Le monde des annonceuses et des minéralogistes est en train de naître! Ce monde permettra l’élaboration de matériaux toujours plus petits, de construire atome par atome de nouvelles molécules et de les assembler pour en l’infiniment petit. Mais avant tout, faisons une petite mise au point. Le préfixe «non» est à la mode. Les minéralogistes, le immonde, les annonceuses sont autant de termes différents mais désignant tous une seule et même chose : l’exploitation de l’univers de l’infiniment était, du manomètre… Ne univers aussi invisible à l’?il nu qu’omniprésent dans le monde des technologies modernes. Un paradoxe qui mérite que nous nous attardions sur la définition de quelques un de ces termes. Le manomètre : Le manomètre est une unité de mesure qui correspond à un milliardième de mètre. Son préfixe «non» vient du grec et signifie «très petit». De façon plus concrète, le manomètre c’est environ 500 000 fois plus petit que l’épaisseur du trait d’un stylo à bille, 30 000 fois plus petit que l’épaisseur d’un cheveu et 100 fois plus petit que la molécule d’DAN !
Les minéralogistes : Il s’agit d’une technologie visant a manipuler ou a créer des objets de l’ordre du manomètre. Cependant, les minéralogistes ne se limitent pas à l’étude de l’infiniment petit mais s’étendent à ses applications concrètes qui permettent de révolutionner le Monde des technologies. Er Partie La non-acceptation est une technologie qui demande des outils de très haute précision qui permettent de visualiser la matière à l’échelle du manomètre et de produire et manipuler des objets minuscules à cette même échelle.
AI existe donc : Le microscope à effet tunnel («STEM» scansion tunnel Microscope) Le microscope à effet tunnel à effet tunnel («STEM» scansion tunnel Microscope) Le microscope à effet tunnel est un instrument utilisé pour l’étude des surfaces de matériaux conducteurs. Ce fut le premier instrument mis au point pour examiner le immonde. Il a été inventé par deux chercheurs d’ABÎMA, géré banni et enrichi errer, invention qui leur a valu le prix noble de physique en 1986.
Cette instrument permet de visualiser les atomes et d’obtenir des images à l’échelle atomique. Le microscope à effet tunnel utilise un phénomène quantité : l’effet tunnel. Le principe est simple : une pointe métallique extrêmement fine – nomination – terminée par quelques atomes, voire un seul, survole la surface du matériau à quelques manomètres de distance. Une tension électrique est appliquée entre la pointe et la surface. Des électrons peuvent alors franchir cette distance par 1’« effet tunnel » et produire un courant électrique.
Après avoir balayé toute la surface du matériau et enregistré les variations de ce courant, on reconstitue par ordinateur le relief de la surface survolée avec une précision de l’ordre de l’atome, c’est-à-dire 0,1 mm. Avec cette pointe on peut également manipuler des atomes et les déplacer un à un. Microscope à force atomique («AFFAMA» atomisa Force Microscope) Le microscope à force atomique est un dérivé du microscope à effet tunnel, qui peut servir à visualiser la topologie de la surface d’un échantillon ne conduisant pas l’électricité comme les céramiques ou les matières biologiques.
Le principe se base sur les interactions entre l’échantillon et une pointe montée sur un bras de levier flexible. La pointe balaie et frotte la entre l’échantillon et une pointe montée sur un bras de levier flexible. La pointe balaie et frotte la surface du matériau à observer en suivant le relief. La déformation du levier qui est éclairé par un laser, est mesurée par un photocopieur et enregistrée sur un ordinateur qui peut ainsi reconstituer une image ID de la surface. 1- Voie ascendante Voie ascendante ou «botte-up» : De bas en haut.
On va partir d’une structure numérique comme une molécule ou un atome, pour obtenir le dispositions, plus grand que la structure initiale, par assume âge ou auto- assemblage. Cette approche, considérée par certains comme la «seule et vraie» non-acceptation, devrait remettre un contrôle extrêmement précis de la matière. C’est de cette façon que l’on va s’affranchir des limitations de la miniaturisation, notamment dans le domaine de l’électronique. L’étape ultime de la non-acceptation botte-Up est appelée la «non-acceptation moléculaire», ou «fabrication moléculaire» et a été mis en perspective par le chercheur K.
récrie dérégler. Elle théorise de véritables usines moléculaires, capables de créer n’importe quel matériau par assemblage précis, contrôlé et exponentiel d’atomes et de molécules. 2- Voie descendante Approche dite descendante ou «Top-don» : De haut en as. AI s’agit de fabriquer des non-objets par réduction de taille d’un matériau jusqu’ l’échelle numérique. C’est la voie qua suivie l’électronique depuis 30 ans, provoquant une révolution technologique dont l’ordinateur est le résultat le plus remarquable. Le résultat le plus remarquable.
évolution du nombre de transistors inclus dans les microprocesseurs depuis 1970 évolution de la taille des transistors depuis 1970 et prévisions pour les années à venir Les non-objets ne sont pas construits un par un à l’aide de pinces microscopiques et de gouttes de col e plus petites qu’un atome. Non, on les fabrique par dizaines de millions, par centaines de millions, par milliards parfois, en utilisant des processus biochimie et mastiquées précisément contrôlés au moyen du pp, de la température et de la pression.
Différents éléments se développent dans différentes solutions chimiques et dans différentes conditions. On commence dans un récipient pour former la structure de base, on élimine le surplus, puis on passe à un nouveau bain chimique pour former la partie suivante de l’assemblage. Cela nécessite un contrôle constant et une incroyable précision dans les réglages malgré le haut veau d’automatisation de certains laboratoires. Plus qu’un progrès technologique, c’est un nouvel «âge » qui est en train de naître avec la maîtrise de la non-acceptation.
On parle même de troisième révolution technologique. En effet de nombreux aspects de notre vie quotidienne seront d’une manière ou d’une autre affectés car les minéralogistes vont permettre de faire mieux avec moins. C’est pourquoi la course à la « non » qui voient le jour en ce moment ne sont que la pointe de l’iceberg. Cependant, en 2006, on estime que chaque jour un nouveau produit incluant les minéralogistes a été crée. Les applications sont si nombreuses que nous n’exposerons ici que quelques exemples : non-médecine De nombreuses applications seront destinées à la médecine.
En effet les minéralogistes permettent la création de prothèses ayant une meilleure longévité, bactériologiste, résistance et même pouvant restituer un sens perdu. Ailleurs, des chercheurs mettent au point des monographies qui servent à idiotifier le sang. D’autres tentent de réduire la taille d’un laboratoire à celui d’un sucre capable d’analyser des échantillons. En 2013, il serait possible de manipuler l’intérieur de cellules sans les altérer. En 2018, il devrait être possible de fabriquer des organes humains artificiels ni-vitre.
En 2025, selon les experts, des monarchies permettant le diagnostic, mais aussi la thérapie, pourront être envoyées dans nos corps. minéralogistes appliquées à l’électronique Un des principaux secteurs qui profitera et profite déjà des minéralogistes est l’électronique. En effet, les structures des puces électroniques ou des circuits intégrés sont déjà l’échelle du manomètre. Les avancés sont constantes dans les domaines des communications, du stockage d’informations et du calcul.
Nous sommes proches de ‘électronique moléculaire, des écrans plats comme une simple feuille de papier, de l’ordinateur quantité ayant des vitesses de traitement et des capacités d’enregistrement des millions de fois plus rapides et, de plus, moins coûteuses que le capacités d’enregistrement des millions de fois plus rapides et, de plus, moins coûteuses que les méthodes actuelles. Photographie d’un circuit électronique réalisé par deux mangoustes connectés sur une surface. Simulation de transistor formé de mangoustes.
non-matériaux De nouveaux matériaux et revêtement peuvent être envisagés. Les chercheurs élaborent déjà des verres incassables, des carrosseries qui ne se rayent pas, des surfaces père isolantes même à des températures élevées, des lavabos et surfaces vitrés qui ne se mouillent ni se salissent. L’un des produits phare de la non-acceptation est le ânonnant de carbone. Il fut observé pour la première fois en 1991 par soumis légitima, chercheur japonais et prix noble de chimie en 1996. Les mangoustes de carbone sont constitués de molécules appelées effleurées ou CH..
Formant des fils 100 000 fois plus fins qu’un cheveu et 6 fois plus résistants que l’acier, de AI à 100 000 fois plus longs que larges, ces curieuses structures, qui ressemblent un grillage enroulé, ont d’extraordinaires propriétés mécaniques, électroniques (voir images dans la partie «non-acceptation appliqués à l’électronique») et thermiques. Aussi envisage-t-on de les utiliser pour de nombreuses applications inédites, voire futuristes: des gilets pare-balles légers et indestructibles, des batteries inépuisables ou des composants électroniques de la taille d’une molécule.
Certains rêvent même d’ascenseur spatial (voir l’illustration à la page suivante). Ascenseur spatial en mangoustes de carbone Le niveau de ses performances mécaniques font du ânonnant la meilleure fibre numérique qui soit. Bien supérieure au cavaler ou à l’acier et le ânonnant pourrait trouver une application dans le renforcement mécanique de matériaux composites. Armement Les minéralogistes intéressent également l’armée pour l’équipement des soldats et la mise au point de systèmes de surveillance et de défense.
Elles permettent de créer des matériaux non seulement père solides, mais aussi Gers. De plus la non-acceptation est utilisée pour créer des robots de la taille d’un frelon, qui sont capable de pister, de photographier, d’enregistrer des conversations et même de tuer des cibles qui leur seraient assignées. Risques et enjeux des minéralogistes Les minéralogistes suscitent des inquiétudes au sain de la population notamment pour leur capacité à pénétrer les tissus des organismes vivants. Si le publique n’ plus confiance en l’engagement pris par les gouvernement, les entreprises et la communauté scientifique en ce qui concerne la recherche systématique de tous les dangers possibles contenus dans cette technologie, alors le potentiel immense de la non-acceptation serait gâché. Nous ne pouvons donc pas accepter cela. » Affirme un groupe de 14 experts, chargés d’évaluer les risques des minéralogistes. Mais parallèlement, ils affirment : «C’est donc une question qui dépasse la communauté scientifique, car elle nous concerne tous dans nos habitudes de vie.
Les gouvernements, les industries et les scientifiques du monde entier devront se poser la question du monde entier devront se poser la question de savoir s’ils veulent développer (et rapidement) un usage prudent ou pas de la non-acceptation». Enjeux pour la société (ou l’espoir d’une vie meilleure) La non-acceptation n’est pas juste une révolution industrielle, créatrice de valeur et d’emplois, mais aussi et surtout, une voie pouvant résoudre beaucoup des rubéoles de notre monde. « La planète est sur la voie d’un désastre écologique majeur. La non-acceptation ne résoudra pas tout.
Seul un changement radical des comportements des populations du monde, conduit par les pays industrialisés, peut laisser l’espoir de transmettre une planète vivable à nos enfants. Mais la non-acceptation constitue une partie de la réponse car elle peut apporter des solutions pour trouver des styles de vie adaptés l’avenir ». Les minéralogistes peuvent apporter des solutions en matière d’énergies (propres et renouvelables), d’eau potable (filtrage, purification), de gestion des déchets, e traitement des épidémies ou de lutte contre la faim dans le monde.