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Mission Premium Mission : Analyser les tendances de marché. : Analyse de la demande. -Budget -profil -Acteurs Il : Analyse de l’offre. -Produits les plus vendus p g _prix -Marques -Distributeurs Ill : Environnement. -Diagnostic stratégiq environnement http://www. xerfi. com OF4 nt le macro abrication-et-la -distribution-de-maroquinerie-et-d-articles-de-voyage_3DlS27 https://www. jesuisentrepreneur. fr/informations-sectorielles ‘commerce/maroquinerie/ http://www. pole-emploi. r/actualites/entrez-dans-le-secteur -dynamique-de-la-maroqulnerle-@/suarticle. jspz? d=90328 http://www. insee. fr/sessi/publications/dossiers_sect/pdf ‘maroquinerie07. pdf http://www. insee. fr/fr/themes/detail. asp? reg_id=o id=esa -commerce-2010=donnees-detaillees/esa/esa-commerce /esa-commerce-201 0/fiche4772B. html https://www. etudes-et-analyses. com/marketing/marketing-mode /etude-de-marche/analyse-secteur-petlte-maroquinerie-325042 . html http://fr. viadeo. com/fr/groups/detaildiscussionnaction= du marché de la maroquinerie.

Nous pouvons dire que la petite maroquinerie détient une place très confortable sur ce marché. La petite maroquinerie représente un marché stratégique et constitue un axe de diversification privilégié pour les maisons de luxe et de mode. L’attrait exercé par ce marché s’est traduit par une intensification de la concurrence sous la pression de nouveaux entrants. Cela dit, les grandes marques doivent faire face à un tout autre problème d’actualité qu’elles subissent difficilement : la crise économique.

Dans ce contexte particulièrement concurrentiel, marques et enseignes de prêt-à-porter multiplient le lancement de porte- feuilles, porte-monnaies… ar exemple, les enseignes du prêt- à-porter tels que Zara, Mango, les chausseurs comme André, jouent désormais la carte des « coordonnés » et proposent aussi des articles de maroquinerie. Cette montée en puissance fragilise particulièrement les spécialistes moyen de gamme qui montent alors en gamme et se renouvellent plus souvent. » Les acteurs du marché 1.

L’offre : « Le marché de la maroquinerie va reculer en 2012 en France après huit années de hausse, mais rebondira en 2013, alors que les marques de luxe misent de plus en plus sur l’international our se développer dans ce secteur très rentable, indique une étude du cabinet Xerfi. Le chiffre d’affaires du commerce de détail d’articles de maroquinerie et de voyage reculera de en valeur en 2012, selon les prévisions de Xerfi. En cause: une conjoncture incertaine et « anxiogène » qui pèse sur la demande et des hausses de prix en magasins, liées à des matières premières toujours plus chères (cuir, textile… et à des salaires qui augmentent en Asie. Mais le marché devrait reprendre 1% en 2013, selon l’étude. Entre 2 salaires qui augmentent en Asie. Mais le marché devrait reprendre en 2013, selon l’étude. Entre 2000 et 201 3, le chiffre d’affaires des détaillants aura ainsi plus que doublé, suscitant « la convoitise d’acteurs issus de l’habillement ou de la chaussure », qui ont lancé des rayons dédiés aux sacs et à la bagagerie, relève l’étude.

Dans ce secteur, où les marges sont particulièrement importantes, cohabitent les spécialistes historiques (Vuitton, Cancel, Longchamp… ) mais aussi les maisons de couture et les créateurs de mode (YSL Dior, Burberry… ) dont les prix moyens ont « quatre fois plus élevés que les maroquiniers », et les chausseurs de Ihabillement grand public, aux prix « relativement faibles », certains proposant de larges gammes avec plus d’une centaine de références (Guess, Tommy Hilfiger… ).

Les enseignes spécialisées dominent 55% du marché. Les marques de luxe ont, elles, dû élargir leurs gammes avec des articles à des prix abordables, pour maintenir leurs parts de marché et conserver la clientèle des classes moyennes. Mais ces marques voient surtout leur avenir à l’international: elles investissent massivement dans les pays émergents, surtout n Asie (à commencer par la Chine) et au Moyen-Orient, où se multiplient les ouvertures d’enseignes, comme Hermès ou Vuitton.

En un an, les exportations de maroquinerie de France vers la Chine ont plus que doublé, relève l’étude. Les marques de luxe profitent également de l’essor du commerce en ligne. La boutique internet de Gucci propose ainsi plus de 600 références entre 500 et 3. 300 euros. Globalement, les ventes de maroquinerie hors magasins progressent. Elles représentaient du marché en 2010. Les sites de déstockage profitent des réductions de prix, parfois très fortes. » 2. La 3