Microlocalisation

essay B

De plus, la vitrine devra être éclairée ; son fond ne avéra pas masquer l’intérieur du magasin et elle pourra être agrandie en reculant la porte d’entrée. La traditionnelle vitrine plane ( la porte situé sur le même plan que les vitrines) tend à être remplacée par la vitrine en profondeur (la porte est située en retrait par rapport aux vitrines et les vitrines extérieures sont prolongées par des vitrines intérieures)- cette disposition accroît la surface des vitrine et réduit le choc psychologique que constitue l’entrée dans les magasins à service traditionnel où le client craint de subir la pression des employés.

En conclusion, la vitrine doit inciter le passant à entrer dans le magasin. 3) la forme La forme du local commercial doit permettre une bonne visibilité de l’ensemble de la surface à partir de l’extérieur. Forme généralement conseillée est le rectangle, si possible d’une profondeur double ou triple de la largeur. Il faut éviter les recoins afin d’assurer la transparence du magasin et ainsi réduire la crainte de l’inconnu pour le client. Si la forme n’est pas idéale, certaines options architecturales permettent d’exploiter au mieux les formes parfois les plus bizarres. Le coût AI est important pour un commerçant qui désire s’installer de pouvoir déterminer non seulement le coût de la location ou de l’achat, mais aussi de tous les autres frais inhérents l’implantation, c’est-à-dire les frais de transformation et de publicité et/ou promotion. La tendance toute naturelle est, bien entendu, de chercher le coût minimum. Malheureusement, les emplacements bons marchés sont souvent synonymes d’handicaps au niveau de la localisation. ) les possibilités d’extension et de transformation Lorsque le commerce connaît un grand succès, cela ignifuge bien souvent une délimitation car l’espace initial est devenu trop petit. Tout déménagement entraîne une perte de clientèle même s’il ne s’agit que d’un changement de trottoir. AI est donc préférable dès le départ de savoir si l’espace existe pour une extension éventuelle en se renseignant sur les réglementations relatives l’aménagement du territoire. B.

LE CHOIX DE LA RUE Pour analyser le choix de la rue, trois concepts doivent être analysés : est un critère important dans le choix d’une cellule commerciale. En effet, le fait de pouvoir être vu par es tentons, les automobilistes ou es passagers des transports en commun peut permettre l’apport de clients nouveaux. L’analyse de la visibilité nécessitera une balade à pied sur chaque trottoir et dans chaque sens, de même qu’en voiture et dans les transports en commun passant dans la rue.

Renouveler l’expérience le soir se révèle généralement très intéressant car la rue change alors de visage en fonction de l’éclairage public et de l’éclairage des magasins. De plus, les rapports de force entre éléments accrochant ou non le regard peuvent varier. Bien analyser les différents obstacles La visibilité d’un commerce peut dépendre également des choix architecturaux ou décoratifs pris pour la façade, l’enseigne, la vitrine ou les étalages. Le commerçant peut choisir entre l’harmonie, l’intégration ou le choc visuel. ) l’attractive l’attractive d’un point de vente dépendra de : ? La quantité de passages Le nombre de passages est fortement influencé par la présence de pôles d’attraction dans le voisinage. Ces pôles d’attraction peuvent être très divers et peuvent ne générer qu’un passage épisodique ou ne concernant qu’une population déterminée. On peut citer comme exemple une école, le FORME, l’administration communale, un distributeur de billets, une pharmacie, une banque, a poste, des musées, un marché hebdomadaire, un arrêt de bus à proximité…. Eu passage idéale étant donné ses larges trottoirs, la qualité de ceux-ci, l’ensoleillement, les obstacles réduits. ? La qualité du passage C’est la façon dont les gens passent devant la vitrine. Un commerce situé dans une rue à grand passage ne signifie pas pour autant la réussite du commerce. En effet, les clients potentiels peuvent traverser juste avant la vitrine Ar commodité ou par habitude, déviant ainsi le flux de passants dont le commerce proche aurait pu bénéficier.

Certains points d’attraction attirent le regard des passants (par exemple les enseignes lumineuses annonçant de l’information, l’heure… ) qui évitent toujours le même angle de vue. En terme de localisation, on note souvent une réelle différence entre deux trottoirs d’une même rue : l’un d’entre eux peut être moins fréquenté parce que les passants évitent de passer devant une devanture ou parce que la clientèle est attirée par un pôle d’attraction situé sur e trottoir opposé.

AI peut s’agir aussi d’une question de commodité : un trottoir peut être plus ou moins large ou mieux recouvert qu’un autre, présenter plus ou moins d’obstacles au cheminement (mobilier urbain, parcmètre… ). Il peut être enfin plus ou moins exposé aux courants d’air ou plus ou moins ensoleillé. Exemple : un snack près d’une école : OC, mais pas une compagnie d’assurance spécialisée dans les contrats sur la vie. ) cicatricielles L’analyse de l’cessibilité sera étroitement liée au type de produits offerts, au type de clientèle visée et à son mode de son mode de déplacement. En effet, on ne peut pas comparer une boulangerie avec un hypermarché de même qu’une boulangerie de quartier avec une boulangerie plus exceptionnelle. Le niveau d’analyse sera également différent selon que a boulangerie est située un milieu rural et rayonne sur plusieurs villages ou que cette même boulangerie est installée en milieu urbain et rayonne sur un quartier.

Les différents niveaux d’observation seront donc 1 . L’accès la ville ou à la commune (réseau autoroute et routier) 2. L’accès au quartier 3. L’accès à la rue 4. L’accès au commerce Dans l’analyse des trajets, il faut également tenir compte que la plupart des clients préfèrent la rapidité d’un trajet un parcours plus court du point de vue de la distance. Les différents moyens de transports seront I. La voiture 2. Le camion pour les livraisons 3. La marche (pour les piétons) 4. Les transports en commun. C.

LE CHOIX DU QUARTIER 1) La structure des activités Face à une structure commerciale d’un quartier, deux attitudes générales sont possibles : ? Chercher, d’une part, ses concurrents, se regrouper, viser la spécialisation du quartier vers tel produit, telle gamme. En fonction des habitudes d’achat de certains articles, ou en fonction de contraintes précises – spatiales par de contraintes précises – spatiales par exemple – on observe souvent le regroupement de commerces comme les chaussures, les antiquaires, les bouquinistes, les magasins de meubles… Chercher, d’autre part, l’entourage de commerces différents, en jouant la carte de la complémentarité. On veille, dans ce cas, à rallier un ensemble de commerces avec lequel on partage une cible commune: * du point de vue des habitudes d’achats (achats du samedi, du temps de midi, achats impulsifs,… ) du point de vue du niveau de vie (produits de luxe, alimentaires,. .. ) * par rapport à un équipement donné (école, hôpital,… ) Une règle généralement est cependant à respecter pour tout commerce: éviter l’isolement 2) L’étude qualitative du quartier 1.

Le standing et le modernisme Tout le monde parle de rue commerciale « chic » ou « moderne » et pourtant, il est assez délicat de cerner cet aspect qualitatif d’un quartier ou d’une rue. L’évaluation de ces deux critères se révèlent importante dans le cadre de l’urbanisme commercial, elle permettra aux commerçants de mieux connaître la population qui requête le quartier, de même que les politiques commerciales des autres commerçants. Exemple : pourquoi installer un commerce de luxe dans une rue où se rassemblent des commerces de bas standing? L’aspect des produits vendus et de leur cadre d’exposition.

La cotation va de 1 à 6 de manière générale ; ne peuvent obtenir des cotes de 7 ou 8 que certaines unités commerciales remarquables à l’échelle des villes de niveau mondial (Paris, longées, toc, née rock… ). Exemples : sofas: 1-2 / étamer : 3 / christiania dire à Paris : 7-8 ? Le modernisme AI s’agit de la position du commerce dans une hiérarchie e valeurs (de 1 à 8) en tenant compte de l’âge plus ou moins récent des équipements nécessaires ou utiles et l’aspect plus ou moins nouveau ou récemment restauré du cadre d’exposition tant extérieur qu’intérieur.

Cette variable porte essentiellement sur le cadre du magasin. On s’intéresse ici aussi aux signes de modernisme que révèlent la devanture et le magasin, le mode d’éclairage, le revêtement de sol, de mobilier, options décoratives et « lignes » en rapport avec la mode. L’amortissement de la rénovation d’un magasin se faisant de plus en plus sur 5 ans, on peut considérer comme non moderne un magasin qui n’est pas remis « au goût du jour » tous les 10 ans.

Remarque : Le standing et le modernisme ne sont pas nécessairement corrélés : on trouvera aussi bien un magasin de vêtements de seconde main arrangé d’une manière très moderne qu’un magasin de haut standing présentant une volonté de « faire vieux ». 2. Le dynamisme du quartier L’importance de l’investissement nécessaire lors de l’isolement mais aussi le voisinage de trop nombreuses cellules vides, les murs aveugles, les immeubles abandonnés, les quartiers où s’observe une grande dotation commerciale…

AI apparaît très clairement que dans une rue, c’est chaque magasin, chaque vitrine qui contribue à l’image globale dynamique d’un quartier et qui rejaillit ainsi sur l’attractive de l’ensemble de la zone commerciale. Certaines rues ou quartiers commerçants révèlent et cultivent une image dynamique, par diverses voies, moins quotidiennes parmi lesquelles voici quelques exemples : – La décoration, voire l’animation de certaines rues (illuminations, fond musical, braderies… ), est souvent le fruit d’un projet commun mené à bien par un groupe ou une association de commerçants.

Certains magasins assurent parfois, en rue, la présentation occasionnelle de sélections d’articles (défilés de mode, dégustation… ). – L’adaptation de la décoration des étalages d’une rue des thèmes communs, liés à la vie culturelle locale ou régionale (fêtes, festivals, expositions, jumelages… ) constitue aussi un facteur d’attraction d’une nombreuse clientèle. Il en va de même des concours d’été âges, par exemple.