L’usage de la terreur
On voit qu’une de seuls armes que les régimes totalitarismes ont pour avoir élément de pouvoir, et d’être respectées est d’utiliser la terreur, d’effrayer le peuple pour qu’il ne puisse pas se révolter. – Les victimes désignées de la violence sont, selon ahan Arendt, la population innocente, contre les civils, contre des gens a qui on impose un régime, cette pope ôtions innocente est la victime de la violence comme l’essence du totalitarisme, a cause des crimes qu’éventuellement de façon hypothétique elle pourrait commettre , on le voit de façon très claire su l’extrait, a la ligne sept : « même du point de vue du régime persécuteur, t que d’importantes parties de la population sont punies non pour des crimes dont elles sont soupçonnées mais bague u boy Lorent baffle 08, 2009 | 5 pages des victimes qui sont innocentes On voit qu’une de seuls pour ceux qu’elles pourraient commettre. » 3- naît. ’empêche à voir son chemin, cela peut se traduire comme le contrôle total que le fascisme a sur l’homme, cela montre que l’homme n’ pas de choix, que sa vie est dirigée par le fascisme, par insoumission, on peut dire aussi que la vie de cet homme est dirigée vers la mort, car il y a sur la cape un crâne de mort . La violence des séquestrait est dénoncer par a présence d’une sorte d’épée qui est dirigée vers le sol, cela peut signifier l’assassinat du pays par l’homme contrôlé par le fascisme, on peut donc conclure que cet affiche antisémite veut dénoncer l’assassinat du pays par le gouvernement. 6- cessez 7- gît 9- déc. 10- gaffe 11-sud 12- Zdfcvdg 13- sciez Synthèse : On peut voir que l’utilisation de la terreur varie selon le régime totalitaire, par exemple les formes utilisées par les nazies ont comme bases les dénonciations que le régime juifs, ou d’opposants notoires au nazisme.
La censure interdit toute opinion contraire et les médias sont étroitement contrôlés par le pouvoir. Les affiches et manifestations indiquent aux gens ce qu’ils doivent penser. Le racisme est à la base de l’idéologie nazie et c’est ce que le rend différent aux autres régimes totalitaires. Pour conserver la pureté de sang, les nazis mettent en place des mesures d’encouragement des naissances, de stérilisation voire d’euthanasie, pendant que les Juifs subissent une discrimination, une ségrégation incarnée par les lois de émerger en 1 935 et des violences croissantes comme lors de « la nuit de cristal » en 1938, que l’on voit au cinquième document.
On peut déduire que les acteurs du nazisme sont les partisans fanatiques de la AS (schuss staffer est l’unité de pression dirigée par emmêler) qui est crée après l’élimination de SA (turc abattaient que veut dire Section d’Assaut en 1934) la AS agit de façon libre, elle n’est pas obligée a respecter les règles, on trouve aussi la police gestation qui travaille avec la AS. Dans le nazisme la terreur cherche à réduire et éliminer toute opposition au pouvoir d’tiller, et les races « inférieures » Les formes de Terreur utilisées par les fascistes sont la répression par la censure et le contrôle de propagande radio, affiches, cinémas). En 191 8, l’italien était troublée par de violents conflits sociaux et agitée d’un sourd mécontentement. insoumission décide alors de revendiquer pleinement la violence fasciste et menace de la durcir encore. En 1925 les de revendiquer pleinement la violence fasciste et menace de la durcir encore.
En 1925 les lois fascistes confortent son pouvoir et en 1926 une série de lois installent une dictature (interdiction des partis et des syndicats, création d’une police politique). Les acteurs de la Terreur fasciste sont les séquestrait aussi connus comme « les chemises noires » exterminateur de toute forme de socialisme ou communisme, et aussi la police politique (l’OUVRA) chargée de surveiller la population par des délateurs, on le voit au deuxième document où ils racontent la façon d’agir des séquestrait. Contrairement au régime nazi, le régime fasciste commence comme étant non-raciste et les déportations restent cependant tardives. La Terreur fasciste avait comme but d’éliminer les ennemis du régime, soit les communistes et socialistes.
Les formes de terreur Stalinienne constituent une traque de tous les « déviants » dans leur comportement ou dans leurs relations. Appartenir à la famille d’un condamné ou en avoir connu un suffisait à rendre condamnable. Une délation généralisée comme celle de 1 936 permet d’entretenir le climat de terreur, tout le monde doit se sentir menacé.