L’urss dans le monde

essay B

Le terme englobe également le jupon et les états d’européen occidentale, à savoir la Grande-bretonne, le épineux, la scandinaves, la France, l’italien, la URF (en 1 949), l’espagnole et le opportun, ce qui représente un nombre relativement important de pays. Le problème qui se pose d’emblée est la diversité des rapports, car même si ces états sont a priori dans le même camp, ils ont néanmoins des divergences sporadiques. Dans un contexte tel que la guerre froide il faut certes évoquer les relations avec les états-Unis, mais pas seulement.

Ces dernières étaient déjà teintées de méfiance et de manque de confiance de chaque côté lors de la seconde guerre mondiale. Le communisme fait peur, la révolution policlinique encore plus et les pays patelines sont unanimes à ce sujet. On a un conflit idéologique, le capitalisme s’opposant diamétralement au premier boy dahlias I HOF16pfl 16, 2009 16 pages gère ses relations avec les pays capitalistes de 1 945 à 1991, communisme. L’OURS se méfie d’eux, et surtout de la Grande-bretonne, ce dont témoigne le rôle prépondérant des « magma « magnificence vive» pendant la guerre 39-45.

AI s’agit de cinq espions anglais, jeunes diplômés de cambriole (Antony boul., gué Bourges, jonc craindrons, adonna mach élan et km pille), transmettant des informations confidentielles britanniques aux Soviétiques. Stalinien n’ en effet pas du tout confiance en les pays capitalistes et surtout en l’engrangèrent à cette époque. D’ailleurs, lorsque, le 3 avril 1941, chirurgical envoie un message à Stalinien pour l’informer d’une attaque certaine de l’allemande contre l’OURS à la mi- juin.

Stalinien n’ répond pas, et chirurgical insiste alors en envoyant un télégramme au crémerie que le dirigeant soviétique se contentera d’annoter par : « provocation anglaise ». En 1945, on part donc déjà sur de mauvaises bases et on entrevoit déjà ce qui est appelé à devenir un antagonisme encore plus fort par a suite et déterminera es relations internationales durant une cinquantaine d’années. Le point de départ de la période étudiée se trouve en 1 945, à l’occasion de la conférence de alto. Dès lors, plusieurs dates de rupture sont à observer, déterminant différentes phases des rapports entre OURS et pays capitalistes.

On peut fixer la première en 1953, à la mort de Stalinien, car la politique russe s’assouplit par la suite. La seconde peut être placée en 1975 car les accords d’élisent constituent un réel tournant dans la politique extérieure soviétique. La dernière se situe en 1991, lors de l’implosion de l’OURS. AI s’agit de déterminer la nature de ces relations car il serait réducteur de les définir par s’agit de déterminer la nature de ces relations car il serait réducteur de les définir par une simple opposition idéologique ainsi que leurs vecteurs au cours de la période donnée.

C’est ce que l’on tentera d’expliciter en montrant tout d’abord que l’entente semble impossible de 1945 1953, puis en évoquant le temps de la détente des rapports de 1953 à 1975 et enfin en analysant le processus mettant fin à l’OURS de 1975 à 1991. 1945-1953: l’impossible entente 2 1945-1948 : installation de l’antagonisme Domination soviétique à alto (du 4 au AI février) Ils reçoivent, sont dans leur élément. De plus ils sont ce moment déjà très proches de berline alors que les Anglais et les Américains n’ont pas encore franchi le rein.

Stalinien accepte d’aider les Américains contre le jupon (il faut mettre fin à tous les fascisme), de s’entendre sur la mise en place de l’ON, la coordination des opérations militaires pour en finir avec l’allemande nazie ainsi que sur le sort de l’allemande vaincue (les zones d’occupation sont alors définies) et de ratifier la Déclaration sur l’européen ibère (prévoyant des « gouvernements qui soient l’expression de la volonté des peuples »…. ), en sachant déjà qu’il ne la respectera pas.

Grand vainqueur, avec les états Unis et la Grande-bretonne de la seconde guerre mondiale, il espère s’assurer la mainmise sur l’européen centrale et orientale. Cela se vérifie vite avec la rapide intégration d’états au futur bloc communiste (intégration de la plonge et de la bulgare au camp soviétique, et de la bulgare au camp soviétique, tactique du salami en roumaine et en hongre en 1947, coup de prévue en 48 faisant de la tchécoslovaques un satellite soviétique).

La aération du conforme (bureau d’information des partis communistes et ouvriers) en octobre 1947 témoigne d’une volonté centralisatrice autour du crémerie et de l’imposition d’une voie unique vers le communisme. Elle consomme de plus la rupture des alliances de gauche en France et en italien. Les partis communistes s’alignent désormais sur les directives soviétiques, se constituant comme des appuis pour ‘OURS dans les états qu’elle ne contrôle pas.

La doctrine judoka (septembre 1947 -en réponse à la doctrine trauma-) énonce la composition du « camp » communiste (OURS, démocraties populaires, forces révolutionnaires mécaniques du monde entier, puis chiné et corne du Nord) et associe l’OURS aux mouvements nationalistes qui luttent contre ‘impérialisme des pays capitalistes (désapprobation profonde). Le dogme du marxisme- hellénisme sert de base idéologique. Le conflit se fonde sur un argument d’idéologie qui marque d’ailleurs la mésentente profonde des deux mondes pendant toute la guerre froide.

Le « modèle déjà édifié par Stalinien en OURS, est présenté comme « la seule voie vers le socialisme ». On a une volonté de dominer toute une zone de manière autoritaire qui s’oppose aux libertés dont usinent les pays capitalistes, même dominés par les états- Unis. Stalinien craint la puissance des états-Unis pays capitalistes, même dominés par les états-Unis. Stalinien craint la puissance des états-Unis et veut s’en protéger par la stabilisation, qui lui permet également de montrer sa supériorité.

Pour ce faire, il s’appuie sur les partis communistes des états occidentaux, notamment le PIC et le PIC. A- 1949-1953 : « naissance et confrontation d’un monde populaire » (mariée vaisseau) : la concurrence ( Développement des alliances : réponse aux pays capitalistes En réaction à la création de l’ÔTANT en 1949, l’OURS crée e pacte de variées en 1955 qui regroupe les différentes armées des pays de l’Est européen. En réponse aux créations antérieures du SEMIS et du GÂTA, l’OURS crée le commence en 1 949 qui associe les économies planifiées de l’OURS et des démocraties populaires.

Les échanges s’effectuent presque exclusivement entre les pays dits « frères », à des prix fixés autoritaires sans tenir compte des cours mondiaux. Cet organisme a pour but la planification et la spécialisation des industries nationales des pays satellites pour pallier aux faiblesses de l’industrie soviétique, ce qui provoque une forte dépendance économique des pays satellites d’européen envers l’OURS, qui renforce alors son hégémonie. On a également un lien idéologique clairement opposé à celui partagé par les pays capitalistes (respect des libertés individuelles… Et qui entre d’ailleurs en concurrence avec lui. Par contre, seule l’OURS possède un lien politique réellement fort avec les états de son « camp » par le conforme, staliniens un lien politique réellement fort avec les états de son « camp » par le conforme, stalinisme après la crise étatiste de 1948 afin d’écarter tout risque de contagion de l’exemple yougoslave. On a donc des systèmes d’alliance concurrençant ceux appliqués par les pays capitalistes.

Les deux pôles sont en place, l’OURS se méfie plus que jamais des pays capitalistes et surtout des états-Unis qu’elle accuse de vouloir inféoder l’européen au dollar-roi avec le plan maréchal afin de les affaiblir. L’OURS a en effet peur du plan maréchal, arme économique utilisée par les Américains pour combattre le communisme. Elle empêche donc les états d’européen de l’Est de bénéficier de cette aide économique. Le commence ou CAME (conseil d’assistance économique mutuelle) peut également être vu comme une éponge au plan maréchal, pour pouvoir faire économiquement le poids face au monde capitaliste. Les premiers affrontements Il faut tout d’abord évoquer la course aux armements. Le monopole nucléaire américain ne dure que quatre ans car l’OURS met au point sa bombe A en 1949. L’avance technologique américaine se réduit : la bombe H américaine explose en 1951 , mais l’OURS met la sienne au point dès 1953. Mais les Américains bénéficient d’une avance indéniable puisqu’ ont des bases implantées dans les pays de l’ÔTANT qui peuvent atteindre le territoire soviétique, ce qui agace l’OURS de manière assez forte.

Suivent les premières crises : le blocus de berline et la guerre de corne. Dans le premier cas, en réplique à la création de la Bezons, les sévi berline et a guerre de corne. Dans le premier cas, en réplique à la création de la Bezons, les Soviétiques coupent les voies d’accès terrestres à berline-Ouest en juin 1948. Les Américains créent un pont aérien et Stalinien lève le blocus en mai 1949. Il s’agissait de montrer la puissance de décision de l’OURS, mais cela a échoué même si les autoroutes ravitaillant berline-Ouest sont désormais soumises à un contrôle soviétique.

La guerre de corne, me si on n’ pas de vainqueur ni vaincu en 1951, démontre que les Soviétiques peuvent vaincre (ils ont armé les « Chinois volontaires ») puisque la corne du Nord, communiste, a gagné du terrain. On est dans une concurrence touchant tous les domaines et se matérialisant par des affrontements par pays interposés. La méfiance stalinienne évolue en haine de l’Occident, que ce soit pour les états-Unis qui mènent le mouvement ou les états d’européen occidentale qui les suivent « bêtement » (ils sont qualifiés de « valets »).

On peut résumer l’attitude de Stalinien par une phrase qu’il a lui- me prononcée en 1924 en guise d’instructions l’ambassadeur soviétique en figurant : « L’important n’est pas que le poing frappe, mais qu’il soit toujours suspendu au-dessus de chacun… 1953-1975: la détente 1953-1962 : la « coexistence pacifique » de crochetée La mort de Stalinien en mars 1953 facilite la conclusion d’un armistice en corne (juin 1953).

De plus, la dénonciation par les Soviétiques des crimes de Stalinien lors du axe congrès du PUCE en février 1956 a joué un roll du PUCE en février 1956 a joué un rôle très important : la réalité du totalitarisme et l’existence du goulag sont connues et dénoncées par les Soviétiques eux-mêmes. Après une courte prise de pouvoir de berça, crochetée s’impose et met au point sa théorie de la « coexistence pacifique » qui séduit l’Occident autant que son éloquence.

La proposition d’un pacte européen de sécurité collective par l’Union soviétique le 31 mars 1954 est l’un des témoignages de cette nouvelle orientation diplomatique soviétique. Pourtant, crochetée continue d’affirmer la supériorité du socialisme et de prédire sa « victoire finale » sur le capitalisme. Le problème allemand reste le principal ont de tension entre l’OURS et le monde capitaliste. L’OURS s’insurge contre la possibilité d’une Communauté européenne de Défense qui comprendrait des unités militaires allemandes, et contre le projet de construction d’une Union de l’européen occidentale, suite à l’échec de la CÉDÉ.

L’Union soviétique répond à l’intégration de la URF dans l’ÔTANT par la création du pacte de variées le 14 mai 1955, « traité d’amitié, de coopération et d’assistance mutuelle [entre l’OURS et les démocraties populaires] qui comporte un commandement militaire unique confié à un arracha soviétique » (mariée vaisseau). On est par ailleurs dans la fin de la première phase de décolonisation (1945-1955) où l’OURS soutient les colonisés contre l’oppresseur capitaliste se posant alors comme protectrice des « petits ». Pou colonisés contre l’oppresseur capitaliste se posant alors comme protectrice des « petits ».

Pourtant, dans cette période de « dégel », on a néanmoins des crises sporadiques, provoquées ou entretenues par le nouveau « Tsar rouge » du crémerie (validais fédérerons). On peut notamment évoquer la crise de Suez en octobre-novembre 1956, même s’il s’agit plutôt ‘une opportunité saisie à temps par l’OURS. Nasses, à la tête de l’égyptien depuis 1 954, souhaite construire un barrage à sauna, ce qui doit assurer le développement de l’égyptien en augmentant la superficie des terres cultivées et en fournissant de l’hydroélectrique pour son industrialisation.

Les Occidentaux refusent d’accorder des crédits pour financer la construction du barrage. Nasses riposte en nationalisant le canal de Suez le 26 juillet 1956. Français et Anglais, propriétaires du canal protestent (c’est une voie d’eau vitale pour leurs liaisons commerciales) et aient une occasion d’abattre Nasses, principal soutien de la révolte algérienne et des mouvements qui menacent les régimes britanniques de la région.