L’instinc animal de l’homme
« L’homme d’Etat pense à laisser une trace, l’homme politique ne pense qu’à durer. » Jacques Attali. La politique et ces dérivés permettent depuis des milliers d’années d’organiser et de structurer la société. En effet, pour son bon fonctionnement, certains hommes se sont élevés pour diriger les autres. D’abord par la force et désromais par voies démocratiques, où chaques citoyens se voient élire ces représentants. Et dans le cas d’un chef d’Etat, figure d’une nation, nous mettons toute notre confiance en lui pour opérer des choix pour des questions que le peuple n’est pas à même de se poser.
Un chef d’Etat est simplement un homme politique qui gagne du pouvoir. Et l’on va voir qu’elles soient bonnes ou mauvaises, inéluctablement, que dans l’Histoire au niv La nature veut que et malgré notre impu repousser au maxlrn ora to nextÇEge ront leurs marques onal. é à disparaitre s essayons de istence et nous la sentons pleinement accomplie seulement après être sûre d’avoir marqué le monde de notre empreinte et que, après notre mort, on se souvienne encore de nous.
Ce qui est tout à fait comparable avec la vie politique. Même si le système démocratique dans lequel nous permet, nous, citoyens, de choisir os représentants politiques. Ceux-ci, dans une part d’égoïsme, cherche à sewir leur parcours personnel. Ils désirent également la page laisser une trace d’eux au niveau politique. Mais un homme politique, et c’est ce qui le différencie d’un homme d’Etat, n’exerce sont pouvoir qu’au niveau local, voir national tout au plus. n chef d’Etat, est la forme plus avancée d’un politicien qui c’est préparé à détenir le pouvoir, la gestion d’un état, l’avenir d’un peuple. Ces hommes et ces femmes sont tout au long de leur vie programmés à devenir des véritables animaux politiques. Ce sont alors bien plus que des hommes ordinaires. Ils se doivent de s’élever au dessus des divisions partisanes pour rechercher le seul bien commun, ainsi de l’accuité de sa conscience et de ses propres responsabilités.
Ils possèdent des comptences supérieurs à la normale, ce qui est une nécessité pour guider toute une nation. « On condult le peuple quand on lui montrent un avenir: un chef est un marchand d’espérance. » D’après les mots de Napoléon Bonaparte. La masse populaire d’un état n’a effectivement pas le recule nécessaire pour réaliser les choix opportuns qui la conserne. Les décisions prisent alors, ont bien souvent des répercutions mondiales et qui perdurent dans les générations suivantes.
J’ai choisi, pour illustrer l’abnégation dont un grand chef d’Etat doit faire preuve et l’impact de ces décisions sur l’odre géo-politique mondiale, la carrière polltique de Ariel Sharon, mandaté de 2001 à 2006 en tant que président d’Israël. Il fut à la base du confilt israélo-palestinien et pourtant il a été là pour dire que la guerre seule ne pouvait constituer une solution à long terme PAG » OF d pourtant il a été là pour dire que la guerre seule ne pouvait onstituer une solution à long terme et c’est au nom de son pays, qu’il engagea un retour au calme dans la bande de Gaza et stopper ansi les effusions de sang.
Cest le 25 octobre 2004 que Ariel Sharon tientun discours à le Knesset où il déclara: » En tant quelqu’un qui a combattu dans toutes les guerres d’Israël et d’avoir appris de ses expériences que l’épée seule ne peut résoudre cette dispute amenée pour cette terre. » Et un peu moins d’un an plus tard, le désengagement fut opéré. Et qui peut dire jusqu’où il aurrait pu amener l’etat d’Israël si il n’avait pas été atteint par la maladie? Et c’est l’évolution de notre monde qui s’écrit avec les traces laissées par ces grands hommes.
Des traces qui peuvent être bonnes comme mauvalses. Il est Inutile, pour illustrer mes propos, de rappeler les pages de l’Histoire où des hommes comme Nelson Mandela, ont sacrifé leur vie entière pour se dévouer pour le bonheur de leur peuple. Eta l’opposé, ou des hommes comme Adolf Hitler, ont sacrifié des milliers de vies innocentes pour accomplir leurs sombres dessins issuent de la folie. Jacques Attali a une vision du monde moderne, décadant et infantilisé par la société de consomation. Une vision qui peut parraître crédible dans les temps de crise que l’on connait depuis 2008.
Il me parrait important d’en connaître d’avantage sur le rôle et les intentions de ces personnages politiques qui nous gouvernent. Les chefs d’Etat, qui font figure de la nation et qui trône en politiques qui nous gouvernent. Les chefs d’Etat, qui font figure de la nation et qui trône en haut de la pyriamde du pouvoir (sauf dans le cas d’un monarque constitutionnel, qui intervient dans un cadre protocolaire), peuvent être qualifiés d’individualiste. L’individualisme est dans ce cas-ci une conception politique ui tend à privilégier les intërets et la valeur de l’individu par rapport à ceux du groupe.
Il prône l’autonomie individuelle pour diriger une nation tout en se protègeant des multiples pressions qui s’exercent sur lui. Mais attention à ne pas confondre individualisme avec égoïsme. L’individualiste considère l’intêret général des individus et non uniquement le sien, comme le ferait l’égoiste. Et c’est dans une certaine mesure que je constate que l’homme politique se rapproche plus de l’égoiSme. Ce dernier considérera davantage sa carrière et son parcours politique. Mais est-ce un crime de souhaiter avoir une carrière longue et prospère?
Il me semble compréhensible par chacun de vouloir garder leur emploi, pour lequel ils tirent un statut privilègié par rapport à d’autres. L’affirmation de monsieur Attali est tout à fait juste mais nous devont la voir d’un bon oeil car même si les hommes politiques et les chefs d’Etat sont souvent critiqués, ils nous sont nécessaires! Ils ont au premier rang de la gestion de notre société. Et sans eux « Histoire n’aurrait pas évolué vers le progret qui constitue notre quotidien.