L’immigration en france
L’Institut national de la statistique et des études économiques (INNÉES) considère plus précisément comme immigré « une personne née étrangère à l’étranger et entrée en France en cette qualité en vue de s’établir en territoire français de façon durable (installation depuis au ions un an) Par sa situation géographique qui en fait un lieu de croisement des commerces et des populations, puis par son histoire d’ancienne puissance coloniale, la France est un pays de migration de longue date.
Cependant, depuis les années 1 990, la France présente un solde migratoire deux fois et demi inférieur à la moyenne des autres pays européens[3]. Selon l’INDE, près de 14 millions de Français avaient en 1999 un parent ou un grand-parent immigré, soit 23 % de la population[4]. Gérera noircie estimait en 2002 cette proportion à environ un tiers si l’on remonte jusqu’ arrière-grands parents[5]. Sommaire [masquer] BOY handicape 15 empâta 23, 2011 56 pages Définitions 2 Données statistiques sur l’immigration étrangers 3 Causes et formes de l’immigration 3. 1 Causes 3. 2 Formes de l’immigration 4 Conséquences 4. Impact économique et budgétaire de l’immigration 4. 2 Immigration et délinquance 4. 3 Intégration des immigrés 4. 3. 1 Difficultés de l’intégration 4. 3. 2 Facteurs de l’intégration 4. 3. 3 Intégration culturelle 5 Politique d’immigration 5. 1 Avant la Seconde Guerre mondiale 5. 2 La politique des étrangers sous Vichy 5. 3 À partir de 1945 : D’une immigration économique encouragée à la politique du regroupement familial 5. 4 Années 1980 et 1990 : tentatives de régulation du flux des immigrés 5. 5 Un statut en perpétuelle évolution 6 Le statut des immigrés et des étrangers aujourd’hui 6. Entrée sur le territoire français 6. 2 Séjour sur le territoire français 6. 3 Regroupement familial 6. 4 Acquisition de la nationalité française 6. 5 Régimes spéciaux 6. 5. 1 Les ressortissants algériens 7 Avis politique sur l’immigration 7. 1 Front National (FIN) 7. 2 Parti communiste français (PIC) 7. 3 Parti socialiste (PAS) 7. 3. 1 Jugement sur la délinquance . 4 Mouvement démocrate (mode) 7. 5 Union pour un mouvement populaire (IMPUR) les vocables juridiques et sociologiques utilisant le terme d’« étranger », désignent toute personne de nationalité étrangère.
Avant de connaître une définition juridique, le concept d’immigration sera développé par les démographes et les statisticiens, sous la île République. En France, la première définition juridique[6] de l’immigré est donnée par une convention internationale : la Convention internationale de orme, en 1924 : « Est considéré comme immigrant tout étranger qui arrive dans n pays pour y chercher du travail et dans l’intention exprimée ou présumée de s’ établir de façon permanente ; est considéré comme simple travailleur tout étranger qui arrive dans le seul but de s’ établir temporairement. Aujourd’hui, le Haut Conseil à l’intégration définit un immigré comme une « personne née étrangère à l’étranger et entrée en France en cette qualité en vue de s’établir sur le territoire français de façon durable »[7]. Un immigré a pu, au cours de son séjour en France, acquérir la nationalité française soit par naturalisation, par rage ou par filiation ; inversement, un étranger né en France ne sera pas considéré comme immigré.
Données statistiques sur l’emmagasineraient détaillé : Données statistiques sur l’immigration en France. En 2010, la France accueille 6,7 millions d’immigrés (nés étrangers hors du territoire) soit 11% de la population[8]. Elle se classe au sixième rang mondial, derrière les États- Unis (42,8 millions), la réussie (1 2,3), l’allemande (9,1 l’arabe Saoudite (7,3), le canard (7,2) mais elle devance en revanche le Royaume-uni (6,5) et l’espagnole (6,4). Les canard (7,2) mais elle devance en revanche le Royaume- uni (6,5) et l’espagnole (6,4).
Les enfants d’immigrés, descendants directs d’un ou de deux immigrés, représentaient, en 2008, 6,5 millions de personnes, soit AI % de la population également. Trois millions d’entre eux avaient leurs deux parents immigrés[9]. Les immigrés sont principalement originaires de l’Union européenne (34 %), du maugréa (30 %), d’aise (14 %, dont le tiers de la turque) et d’affaire subsisteraient (11 %) [1 1]. La population immigrée en AU la mi-2004, la France métropolitaine comptait 4,9 millions d’immigrés d’après ‘innées[10], soit 760 000 de plus qu’en 1999 et 8,1 % de la pope ôtions totale. 0 % d’entre eux avaient la nationalité française, qu’ils ont pu acquérir par naturalisation ou par ménage ? Immigrés : 4 930 000 Français par acquisition nés à l’étranger : 1 970 000 Étrangers nés à l’étranger : 2 960 000 Étrangers nés en France : 550 000 Étrangers : 3 51 0 000 Ces chiffres proviennent des enquêtes annuelles de recensement de 2004 et 2005. Origine géographiques,7 million d’immigrés, soit 35 % des immigrés et 2,7 % de la population totale étaient originaires ‘un pays de l’Union européenne à 25.
La baisse progressive du nombre d’immigrés italiens, espagnols ou polonais est compensée par l’arrivée d’immigrés en provenance d’autres pays, en particulier le Royaume-Uni. Forte hausse. 1,5 million d’immigrés, soit 31 % des immigrés et 2,4 % de la population totale, sont originaires du maugréa. Ce nombre est en hausse de 220 000 par rapport à 1999. 600 958 immigrés, soit 12 % des immigrés et moins d’ % de la population totale, sont en provenance d’affaire subsisteraient. Ce chiffre est en hausse de 45 % par rapport à 1999.
Deux Africains sur trois proviennent ‘anciennes colonies françaises (75 000 ovariens, par exemple). Sur les 15 millions d’Africains subi-sahariennes qui vivent hors de leur pays d’origine, seulement un sur 30 vient en France. 830 000 personnes, soit 17 % des immigrés et 1,3 % de la pope ôtions totale, viennent du reste du monde, principalement d’aise (on compte entre 500 000 et 600 000 asiatiques en France). La part de l’aise, turque comprise, dans la population immigrée est de 14 % contre 12,7 % en 1999 et seulement 3,6 % en 1975.
caractérise?queues souci-démographiques des immigrés passage d’une immigration de travail, essentiellement ausculte, à une politique de regroupement familial au milieu des années 1970 a entraîne une féminisation croissante de la population immigrée, au sein de laquelle hommes et femmes sont aujourd’hui en nombre égal. La population immigrée est un peu plus âgée que la pope ôtions non immigrée, car ses membres sont arrivés en France pour la plupart après l’âge de 15 ans et leurs enfants nés en France sont comptés parmi les résidents non immigrés.
L’afflux récent d’immigrés a contribué maintenir égal l’âge moyen de la population immigrée (45 ans) tandis que l’âge moyen de la population non immigrée augmentait d’un an à 39,4 ans. Immigrée (45 ans) tandis que l’âge moyen de la population non immigrée augmentait d’un an à 39,4 ans. Le niveau éducatif des immigrés est en progression nette. Aujourd’hui un quart des immigrés possède un diplôme de l’enseignement supérieur, soit quatre fois plus qu’en 1982. La majorité des immigrés réside en Île-de-France (40 %) ou dans le Sud-Est.
Un habitant de la région parisienne sur six est immigré. Flux d’immigration actualiseraient immigrés hors EUE en France métropolitaine (source : innées) [1 1] Année Nombre 2000 97 083 2001 106 656 002 123 477 2003 135 395 2004 ? 2005 134 800 2006 ? 2007 ? 2008 111 244 2009 122 246 Pour 1 000 habitants, le nombre d’entrées est ainsi passé de 0,9 en 1995 à 1,6 en 2000, 2,3 en 2004 pour descendre 2,2 en 2005 (CODE, ‘Perspectives des migrations internationales »). Ces chiffres n’incluent pas l’immigration en provenance des pays membres de l’EUE, donc des pays de l’Union européenne.
Ils sont donc partiels et excluent notamment Pays d’origine de l’immigration en fractionneraient vers la France est actuellement principalement d’origine africaine (maugréa et affaire noire). Sur les 210 075 veaux immigrés de 2004 (même source: innées[l I]) : 100 567 venaient d’affaire 64 597 d’européen 29 310 d’aise 15 545 d’marquée et d’océan motifs les 185 000 titres de séjour délivrés en 2005, 94 500 ont été au titre du regroupement familial et 13 000, soit 7 %, au titre de l’immigration économique[13].
Les données récentes révèlent une baisse des entrées pour motif familial, passant de 109 800 entrées en 2004 (soit 63,1 % du total) à 102 500 en 2005 (60,8 0,6). À l’inverse, le nombre d’entrées pour raison de travail a récemment augmenté, passant de 20 900 en 2004 à 22 800 en 2005, ait une répartition respective de 12 % à 13,5 %[12]. Malgré une diminution de 16 % des demandes d’asile en 2005 (42 000 nouvelles demandes), la France est restée, cette année-là, le pays de l’CODE qui a enregistré le plus grand nombre de demandes[12].
Immigration législatrices détaillé : Immigration illégale en France. Le gouvernement français a mis fin en 1972 aux régularisations automatiques des travailleurs étrangers et a instauré une politique de « maîtrise des flux migratoires ». Une situation d’immigration illégale peut résulter de deux situations : soit un étranger est entré de manière lendemains sur le territoire, soit il est demeuré après estimé entre 200 000 et 400 000 étrangers[14]. Les chiffres sont cependant difficiles à évaluer. Étudiants étrangers 2003, AI % des étudiants en France sont des étudiants étrangers; de 1 998 à 2003 cette part s’est accrue « à un rythme annuel de 12 % »[15]. Selon l’innées, la moitié des étudiants étrangers inscrits dans les universités françaises sont originaires des pays francophones d’affaire (47%)[15]. Un quart des étudiants étrangers est originaire de la tunisien, du marc ou de l’algérien. L’innées précise que « cette population recouvre non élément les étrangers venus étudier en France mais aussi les enfants de nationalité étrangère de parents résidents en France »[15].
Dans l’instruction, à la mi-2004, 24 % des immigrés étaient diplômés de l’enseignement supérieur, alors qu’ils étaient 6 % en 1982[16]. Naturalisation des étrangers le chiffre des étrangers en France reste relativement constant au fil des ans, malgré une arrivée continuelle de plus de 100 000 immigrants étrangers (du moins ces dernières années), c’est que chaque année un nombre plus ou moins équivalent d’entre eux acquiert la nationalité française.