L’hornrne et la mer
Chaque rime de ce poème est une rime pour l’Oiil et pour l’ouïe. Chaque quatrain contient des rimes embrassées. On remarque donc que pour ce poème, baudrier est organisé et ne sort pas des normes poétiques établies. Analyse du titre. Lorsque ce titre m’est apparu au début, je me suis dit: ‘ C’est baudrier ou La Fontaine que je lis. Puis, après lecture et analyse du poème, de nombreux tous sens m’ont été révélés. Charges baudrier joue ici sur les homonymes. Le titre peut être entendu comme: L’homme et la mer, ou le et rapproche les deux, mais les sépare aussi. On peut
premier boy assonance homophone 07, 2009 9 pages écrits en lésinerais. AI est presque entièrement écrit avec peut remarquer que le er quatrain et le Emme se féminisme. AI en est de même pour le Emme et le Emme. La Le titre peut être entendu comme: chôme et la mer, ou également y entendre: L swaps toi vie nées page L’homme est la mer, ou l’homme devient la mer, par une comparaison de leurs caractères. Et enfin: L’homme hait la mer. Ou l’homme déteste son semblable. Mais, on peut aussi jouer sur l’homonyme du mot mer qui est mère. Charges baudrier aimait sa mère éperdument.
Mais il la testait aussi car elle choisit le général à-pic comme deuxième mari, homme que ne supportait pas baudrier. L’homme est aussi en quelque sorte semblable à sa mère, de par l’éducation qu’elle lui a donné, les ressemblances physiques, etc…. er quatrain: er vers: Le lecteur peut se demander si baudrier parle de la mer, ou de la mère. Il existe donc ici un jeu sur plusieurs sens d’un mot, ce qui entraîne un autre jeu sur le sens de l’ensemble du poème. Le verbe chérir ici est employé dans le sens s’attacher, être attaché à..
baudrier met donc en exergue le fait que ‘homme libre reste tout de me attaché à ses points de repères. baudrier crée en rapprochant ces deux idées une antithèse ( libre – chériras ). Le mot toujours exprime ici un enchaînement, dont l’homme n’arrivera jamais à se défaire. L’homme, même lorsqu’ devient majeur et capable de » voler de ses propres ailes » reste tout de même attaché au cocon familial. baudrier était un homme fou de sa mère. On peut donc sans prof même attaché au cocon familial. baudrier était un homme fou de sa mère.
On peut donc sans problème rapprocher ce poème de l’expérience personnelle de l’auteur. Emme vers. baudrier continue ici à jouer sur le double sens du mot mer. On ressemble toujours à sa mère, et notamment par notre éducation, on garde souvent les mêmes points de vue, le même comportement. Et, selon le génie, l’homme possède les mêmes caractéristiques que la mer. La personnification de la mer permet alors une comparaison entre celle-ci et l’homme. Double sens aussi dans: » La mer est ton miroir ». Le reflet de l’homme peut se voir physiquement dans l’eau de la mer.
Par ailleurs, l’homme peut également se reconnaître à travers le comportement de la mer. Le mot contempler, ici, est utilisé ans le sens considérer attentivement, être absorbé par. L’homme est donc ici absorbé dans une recherche intérieure. Il examine son âme. On peut donc penser à un homme rêveur, le regard dans le vide, en train de se poser des questions existentielles. En tout cas, c’est l’image que j’ai de l’homme lorsque je lis ce vers. Dans ce vers, il existe une symétrie. La mer est ton miroir / tu contemples ton âme. Emme vers: La lame de la mer, c’est l’ondulation de celle-ci sous l’action du vent.
La lame est donc tout s vers: La lame de la mer, c’est l’ondulation de celle-ci sous ‘action du vent. La lame est donc tout simplement la vague, mais elle peut aussi être interprétée comme étant un couteau. Le décollement, c’est une action qui se suit, par développement naturel. baudrier met donc en avant ici le fait que la mer est là depuis la nuit des temps, et restera jusque la fin du temps. Le mouvement de la mer est perpétuel. L’homme, lorsqu’ contemple la mer, pourrait donc être hypnotisé par celle-ci, tout comme on peut l’être en regardant le mouvement perpétuel d’une montre se balançant.
Le mot infini appuyé ici sur le caractère extra- emporte de la mer. Emme vers: baudrier s’adresse ici à l’homme, en lui disant que son esprit, son âme est insondable, qu’elle est terrible, et qu’elle peut lui révéler des choses qu’il pensait enfouies. Tout cela exprimé par le mot gouffre. L’auteur utilise ici le double sens du mot gouffre. Il compare le gouffre de l’esprit de l’homme au gouffre de la mer par son immensité, sa profondeur et sa largeur. AI utilise ici par une double négation, un procédé élémentaire de mathématique: – par – = +.
La double négation s’annule et l’esprit de l’homme est donc un gouffre amer. Le mot amer désigne quelque chose de douloureux, de pénible. L’esprit de l’home gouffre amer. Le mot amer désigne quelque chose de douloureux, de pénible. Cessait de l’homme est donc une immensité pénible, rendant le plus souvent l’homme triste. Tout comme le mot gouffre, les deux sens du mot amer sont utilisés. La mer, lorsque l’on boit la tasse a un goût amer aussi. On peut admirer ici le jeu de baudrier: âme + mer = amer. Emme quatrain er vers: L’homme aime regarder la mer.
Et, bien qu’il ne sache pas exactement à quoi s’attendre, il aime se voir de ‘extérieur, car la mer est son reflet. L’homme aime l’inconnu, et son âme lui est inconnue. Regarder ses défauts et ses qualités à travers ceux de la mer lui plaît. L’image de la mère ici peut être reprise par le mot sein. Le sein de la mère est, pour un nourrisson, synonyme d’amour, de réconfort et de vie. Et l’homme mûr essaye toujours de retourner au sein de son image, au sein de sa mère, au milieu du cocon familial. L’être humain se contemple travers la mer, et cela ne lui déplaît pas.
L’être humain est en quelque sorte narcissique. Dans ce vers, on peut voir eue la mer est féminine: on plonge en son sein comme si elle était une femme. Emme vers. Ici, il existe un contre-rejet: et ton coureur avec le vers suivant. Le verbe embrasser ici est mis en avant par la disposition des rimes qui avec le vers suivant. Le verbe embrasser ici est mis en avant par la disposition des rimes qui sont embrassées. La mer embrasse l’homme, l’homme embrasse la mer. Emme vers-Emme vers: l’homme est aussi indomptable et sauvage que la mer, car, selon baudrier, l’homme et la mer sont frères jumeaux.
La mer est libre, l’homme l’est aussi si l’on suit ce raisonnement. On note dans ces deux premiers quatrains l’importance des champs asociaux de l’amour et de la liberté. A remarquer également l’utilisation de verbes marquant la préférence. Emme quatrain er vers: On existe constate ici une nouvelle personnification de la mer, et une comparaison homme- mer. L’auteur en les reprenant tous les deux dans : » Vous êtes tous les deux… » Met l’homme et la mer sur le même pied d’égalité. Le mot ténébreux désigne ici quelqu’un de secret et de mystérieux.
On ne connaît pas très bien la mer, tout comme on ne connaît pas très bien l’homme. Chacun nous réserve des surprises. Emme-Emme vers: L’homme et la mer sont tous les deux réservés. L’homme ne veut pas que l’on découvre son jardin secret. AI garde beaucoup de choses pour lui. La mer, elle, garde jalousement ses richesses. On peut penser au perles des coquillages, à l’délation, aussi cité sous-marine ou même à pompée et aux peut penser au perles des coquillages, à l’délation, aussi cité sous-marine ou même à pompée et aux bateaux naufragés que l’on a jamais retrouvés dans les profondeurs marines.
Dans ces deux vers, il ha un chaises. Homme vécu abîmes et mer avec richesses intimes alors que l’on s’attendrait à ce que ce soit l’homme avec les richesses intimes et la mer avec abîmes. AI ha aussi un parallélisme entre les deux vers: nul n’ sondé / nul ne connaît. On imagine pour les deux une autre existence plus ou moins inconnue. Emme vers: Personne ne connaît leurs richesses car ils ne veulent pas que nous les connaissions. En façade, l’homme et la mer sont froids, réservés mais, au fond d’eux-mêmes, ils possèdent de grandes richesses, mais sont tellement méfiants qu’ils ne les dévoileront pas.
Dans ces trois premiers quatrains, on découvre entre l’homme et la mer, une certaine ressemblance. Ils seraient même frères jumeaux. Ici, grâce aux champs lexicaux, on voit que la mer et l’homme s’aiment. Emme quatrain er vers: Dans ce vers, baudrier met en évidence le fait que le temps et l’espace sont infinis dans ce poème. On retrouvait déjà les mots éternels et abîmes. Emme vers: L’homme et la mer sont des ennemis, car ils ont le même caractère. On peut les comparer à des aimant et la mer sont des ennemis, car ils ont le même caractère. On peut les comparer à des aimants de même pôle qui se épousent.
On ressent ici le caractère assez insensible du couple : ils n’ont pas d’états d’âme et se combattent sans remords. La mer et l’homme se combattent depuis la nuit des temps. L’homme au Pays-Bas essaye de repousser l’avancée de la mer, en construisant des digues de plus en plus hautes. On pourrait imaginer que la mer s’est vengée avec le taisant en essaie du Sud-Est par exemple. L’homme fait la guerre et tue des millions d’autres hommes. La mer elle aussi le fait. La mer devient ici masculine par opposition au Emme vers. On la combat comme on combat un homme. Me vers: L’homme et la mer partagent le même amour, celui de la destruction. L’homme et la mer sont téméraires, et n’ont soi-disant peur de rien. L’homme, par exemple, passe la plupart de son temps à détruire l’environnement. La mer, elle, houillères est enragée, détruit tout ce qu’elle rencontre.