L’hornrne aux rats
Les symptômes obsessionnels : les idées obsédantes, la compulsions accomplir des actes indésirables, la lutte contre ces pensées et ces actes, la présence de rituels conjurations. Tous ces symptômes ont été décrits depuis longtemps par d’autres auteurs mais rattachés à des cadres nostalgiques divers.
L’originalité du développement de la psychanalyse a consisté à mettre davantage l’accent sur la structure obsessionnelle plus que sur la description des sema D d’ plutôt complaisantes et qu’il cherchait à les voir nue rater de 6 ans il a des érections dont il se plaint à sa A cette époque il lui faut surmonter des scrupules qi en relation avec ses érections et sa curiosité pour la Il a l’idée morbide que « ses parents lisaient ses pente qu’il s’expliquait par le fait qu’il les avait prononcées qu’il les entendent lui-même » AI voit là le début de s, maladie.
Avec ces « souhaits » il avait un sentiment inquiétant comme si quelque chose devait arriver si pensait, et, il se sentait obligé de faire beaucoup d’le pour s’en empêcher. Fraude lui demande « qu’est-ce pourrait arriver ? » il répond que mon père meurt ( éloigner que dans cette névrose il est toujours que de la mort) Mais dans la réalité son père était déjà depuis 9 ans. Définition de la « névrose de contraint c’est devant un plaisir sexuel, l’émergence d’un affecte pénible qui accompagne ce plaisir. Ce conflit réside cette attente qu’il va s’ensuivre quelque chose d’offre/ (mort d’un être cher).
Pour lui « Si j’ai le souhait de une femme, mon père va forcément mourir » l’affecte pénible prend nettement la coloration de l’inquiétant superstitieux et est à ‘origine de faire un geste, quelque chose, pour détourner le malheur once prendre des mesures de protection. Ces une érotique et une révolte contre elle. C’est un « huais une appréhension la contrecarrant et plutôt complaisantes et qu’il cherchait à les voir nues. A partir de 6 ans il a des érections dont il se plaint à sa mère. A cette époque il lui faut surmonter des scrupules qu’il met en relation avec ses érections et sa curiosité pour la nudité.
Il a l’idée morbide que « ses parents lisaient ses pensées, ce qu’il s’expliquait par le fait qu’il les avait prononcées sans qu’il les entendent lui-même » AI voit là le début de sa inquiétant comme si quelque chose devait arriver si il y pensait, et, il se sentait obligé de faire beaucoup d’efforts pour s’en empêcher. Fraude lui demande « qu’est-ce qui souligner que dans cette névrose il est toujours question de la mort) Mais dans la réalité son père était déjà mort depuis 9 ans. Définition de la « névrose de contrainte » : c’est devant un plaisir sexuel, l’émergence d’un affecte pénible qui accompagne ce plaisir.
Ce conflit réside dans cette attente qu’il va s’ensuivre quelque chose d’effroyable (mort d’un être cher). Pour lui « Si « ai le souhait de voir nue ne femme, mon père va forcément mourir » l’affecte pénible prend nettement la coloration de l’inquiétant, du un geste, quelque chose, pour détourner le malheur et donc prendre des mesures de protection. Ces une pulsion érotique et une révolte contre elle. C’est un « souhait » et une révolte contre elle. C’est un « souhait » et une appréhension la contrecarrant et une poussée menant des actions de défense..
Névrose de contrainte = 1 er temps : un plaisir sexuel – Emme temps : l’apparition simultanée d’un affecte pénible – 3 me temps : prise de mesures de protection. La névrose de contrainte prend sa source dans la vie sexuelle infantile avant l’âge de six ans. Pourquoi « L’Homme aux rats » ? C’est à la deuxième séance que le patient y fait allusion. Pendant un exercice militaire il est en contact avec un officier qui aimait ce qui est cruel et lui raconte un châtiment effroyable qui se pratique en Orient Cela consiste à poser un seau qui renferme un rat affamé sur l’anus du torturé. Je vous passe les détails) Fraude rapporte qu’au moment où le patient raconte ce châtiment, « il avait remarqué sur son visage une expression d’horreur devant son plaisir à lui- me inconnu » Et tout de suite il se représenta cette torture arrivé à celle qu’il aimait. Il est question ensuite d’une histoire assez compliquée de dette concernant un paquet qui contenait un pince nez qu’il avait commandé et dont il devait la somme à un lieutenant et qui indique son état de confusion.
La mort de son père, qu’il n’ en fait réalisé que dix huit mois plus tard, va le torturer et le placer en criminel. l’affecte est exagéré. Être un criminel semble faux. Erreur dit Fraude. l’affecte est justifié, la culpabilité n’ pas à être critiquée mais elle appartient à un contenu qui ‘es l’affecte est justifié, la culpabilité n’ pas à être critiquée mais elle appartient à un contenu qui n’est pas connu et qui doit être cherché. Mais il n’ a pas d’affecte sans contenu de représentation donc quand il n’ en a pas, on en adopte un autre. Un peu comme la police houillères ne peut pas attraper le vrai meurtrier, elle en arrête un autre qui n’est pas le bon ». Fraude s’aperçoit que son patient a trouvé un substitut de reproche, de contrainte, en pensant qu’il était responsable de la mort de son père. Dans la cinquième séance, l’analysé met en doute la cure : « Comment aurait-il y avoir un effet curatif à prendre conscience du reproche et de la culpabilité ? » Fraude répond ce n’est pas la prise de conscience de la culpabilité qui guérit mais la découverte du contenu cause du reproche et de la culpabilité.
Il ajoute que l’inconscient est infantile et il est en même temps ce morceau de la personne qui s’est séparé d’elle autrefois, n’ayant pas participé au développement ultérieur et ayant été pour cette raison refoulé. Les rejetons de cet inconscient refoulé sont les éléments qui entretiennent ce « penser involontaire » en quoi consiste sa souffrance. A la axiome séance, errent raconte qu’il a l’angoisse que ses parents ne devinent ses pensées. Une angoisse qu’il a conservé toute sa vie.
A douze ans, il aimait la s?Ur d’un ami et l’idée lui vint qu’elle serait plus aimante envers lui s’il lui arrivait malheur (à lui). La veille de la mort de son père, aimante envers lui s’il lui arrivait malheur (à lui). La veille de la mort de son père, il se sentait prêt à perdre un être cher. Il s’étonne de cette pensée et il est sûr qu’il n’ jamais souhaité la mort de son père. Fraude répond : une telle angoisse correspond à un souhait ancien refoulé. Une roter de haine caché depuis l’enfance. La névrose de contrainte est toujours sous tendue par la relation Amour/ haine. ) D’où provient cette haine ? Fraude fait l’hypothèse que la haine est en liaison avec une source, une circonstance qui la rend indestructible (donc la persistance de la haine à l’égard du père dans l’inconscient) et de l’autre, le grand amour du père dans le conscient qui empêche la haine de devenir consciente. Mais cette haine dans l’inconscient peut surgir comme un éclair sous forme d’affecte pénible et de contrainte.
errent affirme avoir été le meilleur ami de son père à quelques domaines près. Le patient fait lui-même la relation entre la bonne entente avec son père et son éloignement à cause de la dame qu’il aimait, mais il ne pensait pas que c’était pour des « souhaits » sensuels. Fraude fait remarquer qu’il vient d’apporter lui-même la réponse. C’est le troisième grand caractère de l’inconscient : La source d’où l’hostilité tire son indestructible est le conflit entre sensualité et amour filial. Chaque fois qu’il a des désirs sensuels, il ressent le père perturbant.
A la septième séance, il ne peut accepter d’avoir eut l’idée d’avoir « souhaité »la mort de raturant. A la septième séance, il ne peut accepter d’avoir eut l’idée d’avoir « souhaité »la mort de son père. AI indique que depuis la mort de son père la maladie s’est aggravée. Fraude lui confirme que son deuil a trouvé dans la maladie une expression pathologique. Un deuil normal se résout entre un et deux ans. Un deuil pathologique comme le sien est illimité dans sa durée puisque l’objet de la haine inconsciente est indestructible tant qu’elle n’ pas été reconnue.
La circonstance, cause de la maladie ? Fraude, s’appuyant sur les deux aspects de son rapport avec son père, et ‘autres indices, risque la construction selon laquelle il aurait, enfant à l’âge de six ans, commis quelque méfait sexuel en relation avec l’onanisme (masturbation) et aurait été pour cela chatte par le père de façon bien sentie. Cette punition aurait laissé une rancune ineffaçable envers le père et fixé le rôle de celui-ci comme le perturbateur de la jouissance sexuelle. Il prétendait ne pas s’en souvenir.
Toutefois il se souvenait, et cette punition fameuse dans la famille, était restée dans tous les esprits, que son père l’avait rosse ( frapper violemment) pour avoir fait quelque chose de mal. L’enfant devant cette punition s’était révolté de façon telle que le père s’arrêta et dit : « ce petit l deviendra un grand homme ou un grand criminel » Le père ne la jamais plus rosse mais par l’angoisse de sa fureur, errent gardera une peur devant la violence qu’il en était devenu lâche.
far de sa fureur, errent gardera une peur devant la violence qu’il en était devenu lâche. Fraude demandera confirmation de ce récit et d’après sa mère il aurait mordu quelqu’un sans qu’elle fasse allusion à un quelconque rapport à quelque chose de sexuel. Dès lors la voie était libre pour la solution e la représentation aux rats. (mordre) La punition infligé au moyen des rats avait stimulé bon nombre de pulsions, éveillés une foule de souvenirs, les rats avaient acquis une série de significations symboliques auxquelles par la suite va s’en ajouter de nouvelles.
La punition aux rats remua avant tout l’érotisme anal qui dans son enfance avait joué un grand rôle entretenue par une irritation provoquée par les vers. Le « rat-pénis » Mais le rat était aussi connu de lui comme porteur d’infection dangereuse, symbole de l’angoisse, devant l’infection syphilitique. Le porteur de l’infection politique c’était le pénis ui-même et le rat devenait ainsi le membre sexué.
Le pénis du petit enfant peut être décrit comme un ver, et dans le récit du Capitaine, les rats faussaient dans l’anus comme ces gros vers, les escalader (forme de vers) dans ses années d’enfance. Ainsi « la signification – pénis » des rats reposait-elle sur l’érotisme anal. Se rendant un jour sur la tombe de son père il avait vu un grand animal, qu’il prit pour un rat, qui passait le long de la tombe. AI supposa qu’il sortait de la tombe du père et qu’il venait de se nourrir de son cadavre.