Les troubles Schizophréniques
Les TSZ quels qu’ils s souffrance pour la pe „ Ils imposent des soin hospitalisation. Elne d’une grande latoire ou en Ces troubles entravent l’acquisition et le développement de l’autonomie personnelle. Quand les malades exercent une activité professionnelle, il est demandé un poste plus adapté car il y a une capacité diminuée. Il existe une surmortalité chez la personne schizo, une tentative de suicide sur deux, la surmortalité peut être liée aux suicides mais aussi aux pathologies somatiques non traitées ou mal traitées.
Ils ressentent des changements étranges, pénibles de la perception de soi, ce qui va provoquer de l’inquiétude et de la erplexité. Ce qui leur donne l’impression d’être sectateur de soi-même, une impression d’irréalité, la peur de devenir différent, la peur de perdre ses sentiments, de n’être plus humain. La personne est préoccupée par des idées philosophiques, idées intellectuelles, une sensation de perdre le contrôle de ses pensées, des idées de suicide, un absentéisme à l’école.
Le tableau clinique : 3 syndromes importants : Syndrome dissociatif Syndrome délirant Syndrome autistique ou déficitaire Quelle que soit la forme clinique il y aura toujours le syndrome issociatif puis s’ajoute un des deux autres Le syndrome dissociatif : Ou désorganisation, c’est la perte de la cohésion et d’harmonie, c’est une rupture de l’unité psychique et physique. Cela comporte des troubles de la pensée (barrages : la personne s’arrête brusquement de parler, fadding : la parole diminue, néologisme : invention de mots, du maniérisme : recherche de mots précieux) ce sont des anomalies qui rendent le discours incompréhensible, les idées sont enchainées de façon perturbée, le discours est décousu, il peut paraitre incohérent, des troubles e l’affectivité (l’expression émotionnelle n’est pas en rapport avec la situation, rires immotivés, de l’émoussement affectif : tend vers l’indifférence), et des troubles du comportement il n’est pas dirigé vers la lutte insensible.
Tend vers la stéréotypie (répétition de gestes, maniérisme, le négativisme : refus du contact après un début de geste, catalepsie : perturbation du tonus moteur (ne bouge plus), des présentations vestimentaires insolites, soliloquassions (la personne soliloque elle parle seule), agitation, agressivité sans raison apparente). syndrome délirant : Est un délire paranoide, plusieurs mécanismes, structure non systématisée avec une absence de cohérence.
Le syndrome autistique ou déficitaire : Appauvrissement des ca tuelles, affectives, 2 OF s Cappauvrissement émotionnel : le sujet parfait détaché, indifférent, impression de froideur = émoussement affectif. Appauvrissement relationnel, la personne ne cherche pas le contact avec autrui. Les capacités d’attention et de concentration se restreignent, le sujet ne s’intéresse à rien.
On trouve un appauvrissement du langage, du discours, le discours est aconique : langage court, pauvre, répétitif, à tout cela s’associe une réduction de l’activité, la personne prend peu d’initiative, les gestes sont indécis, la personne peut commencer une activité et ne pas la continuer, ce qui se traduit par une négligence de l’hygiène, de sa présentation, de son habillement.
Tout cet appauvrissement va faire en sorte que l’individu perde le contact avec la réalité, le lien social. A ces trois syndromes on recherchera s’il y a de l’angoisse, un syndrome dépressif, les tentatives de suicide, des troubles du sommeil, des troubles de la conduite alimentaire, du tabagisme, e la consommation d’alcool, l’usage de produits toxiques (cannabis pour les angoisses, cocaïne quand les personnes sont dans le versant déficitaire pour retrouver dynamisme, initiative).
Les traitements possibles : 2 objectifs : Lutter contre l’évolution de la maladie pour éviter la mort physique par incurie (négligence extrême de soi) ou suicide, la mort psychique, l’errance, éviter la perte de relation sociale et professionnelle Faciliter la réadaptation qui doit viser la plus grande autonomie possible en fonction du degré clinique, elle doit s’appuyer sur les essources de la famille et du monde social On propose l’hospitalisation lorsqu’il y a un délire, bilan somatique et psychologique pour confirmer le diagnostic.
Hospitalisation nécessaire lorsqu’il y angoisse importante, risque de suicide, 3 OF s de suicide, signes dépressifs, comportement hétéro agressif, si déni des troubles par l’entourage, mauvaise observance du traitement médicamenteux, lorsqu’il y a résistance à une thérapeutique bien menée. Le but est de réduire la durée de l’accès psychotique en vue d’une resocialisation. Le but est de mesurer le risque suicidaire et e faciliter l’alliance thérapeutique (car besoin d’observance sur plusieurs années).
Les attitudes soignantes attendues Non jugement Attitude calme qui va aider à la protection du patient (se sent rassuré) Repérer ses propres contre attitudes (peur, agacement, moquerie, impuissance) Attitude de compréhension par rapport à l’étrangeté Attitude de soutien (ne pas se substituer à la personne) Encourager et valoriser Ne pas prendre personnellement l’agressivité Référence à la réalité Respecter le besoin de solitude Rôle de médiateur avec la famille Etre dans la cohérence et la cohésion
Caccueil va permettre la mise en confiance, créer un climat de sécurité, donner des repères. Proposer une chambre à deux lits, veiller à la conformité des documents administratifs (hospitalisation sous contraintes), prévoir un entretien avec la famille Le traitement médicamenteux : Le but étant de réduire l’intensité et la durée des symptômes.
Ce sera principalement des neuroleptiques : antipsychotiques qui agissent sur le délire, sédatifs : pour atténuer l’agitation et l’angoisse, des neuroleptiques désinhibition : lever le manque d’initiative (ex solian@), désinhibiteurs atypiques : risperdal@, iprexa@ La Clozapine (Leponex@) c un protocole de 4 OF S NFS Les benzodiazépines peuvent être donnés dans l’idée d’enlever les crises d’angoisses.
On peut également prescrire des antidépresseurs surtout dans l’austitisme On donne des thyorégulateurs associés aux neuroleptiques quand on a une altération de l’humeur. On peut mettre en place une electroconvulsivothérapie en route si troubles trop importants et pas d’amélioration. = Sismothérapie Assurer un bilan clinique et para clinique bilan sanguin standard, recherche de toxiques, ECG, EEG, tests psychologiques On assure l’observation clinique (ES et E bénéfiques des traitements).
Etre attentifs aux différents risques (suicide, fugue, passage à l’acte hétéro agressif) Etre conscient que les neuroleptiques sont efficaces qu’au bout de plusieurs semaines Surveillance besoin vitaux (alimentation, élimination, poids, sommeil, ta, état cutané, état dentaire, transit risque constipation de l’effet des neuroleptiques) Assurer un soutien à travers des activités et des entretiens pour créer du lien, établir la communication, favoriser les liens interprofessionnels.