Les trafics en prison
On compte alors plus de la moitié des détenus qui consomme des produits illicites à fréquence régulière. Par conséquent, ces consommations entraînent de lourds trafics au sein des établissements. « échappant », le plus souvent volontairement, aux contrôles des gardiens et responsables. En effet, pour éviter des tensions supplémentaires chez les détenus, certains établissements préfèrent- de façon évidemment raisonnable- ignorer ces réseaux.
Parfois même, dans des cas extrêmes, on a apporté que les gardiens servaient de passeur pour faire entrer ou sortir la drogue (comme, par exemple, un surveillant des baume swaps toi vie nées page Les trafics en prison premier boy amélioré amputa 22, 2011 4 pages banquettes à Marseille condamné à 5 ans de prison ferme pour trafic divers- sait mais aussi portables.. ), en l’échange d’argent ou de produits quelconques (cigarettes.. ). Mais ces transactions peuvent aussi se faire par le parloir, en l’absence occasionnelle des fouilles par mégarde des surveillants, et donc par l’intermédiaire de la famille, ‘amis…
A l’entrée des détenus, on constate que un tiers d’entre eux ont une consommation excessive en alcool et que 1 sur 5 en est dépendant. Cependant, les trafics d’alcool sont les moins fréquents en prison. Mais, même s’ils n’ont pas vraiment la possibilité de boire pendant leur incarcération, le sevrage n’aura aucune conséquence curative sans un accompagnement suivi. En effet, les détenus dès leur sortie pourront aller consommer de l’alcool dans la brasserie côté même de la maison d’arrêt.
Des valeurs qui ne sont as favorables en vue de la bonne réinsertion du détenu. Pour y remédier, les autorités sanitaires mettent en place, peu à peu, des interventions contre l’alcoolisme afin d’aider et de permettre une vie saine à la plupart des détenus. Le tabagisme est majoritaire dans la vie des détenus. En effet, 800,6 des entrants sont fur-rennes dont à plus de 20 cigarettes par jour. Malgré quelques effet, des entrants sont fumeurs dont 200,6 à plus de 20 cigarettes par jour.
Malgré quelques restrictions établis en janvier 2007 par le Ministère de la justice et de la santé ui consistent à ne plus fumer dans les lieux de passage tels que les parloirs, couloirs, ateliers, salle de réunion et bureaux, elles cautionnent néanmoins de fumer l’extérieur (dans la cour) ou encore dans sa cellule. Cependant, l’usage de tabac en cellule peut avoir de graves répercutions, comme des incendies en vue d’un suicide ou simplement de manière involontaire. La revente des paquets de cigarette entre détenu se fait à « prix d’or », ou encore par échange de produits. L’utilisation de cachets est aussi dénigrée, essentiellement es nostalgiques et des hypnotiques. Ce qui montre la tendance de « déprime » en prison, et qui peut expliquer e fort taux de suicide.