Les Nippo-Brésiliens

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Es Nippo-Brésiliens peu importe l’époque, ou l’endroit du monde, les minorités visibles ethniques se retrouvent partout, depuis le début de l’histoire. Les raisons derrière la présence de ces minorités varient. Que ce soit des réfugiés de guerre, des ouvriers, ou même des aborigènes, ces peuples sont habituellement sujets de discrimination et de rejet dû à leurs différences. Les nippo- brésiliens sont un exemple concret de cela. Depuis leur arrivée au Brésil au début du 20e siècle, les immigrants japonais ont réussi à atteindre une population de près de 1,5 million…

Les rendant a plus grande colonie de descendance japonaise à l’extérieur du p g Japon. Cependant, ce plusieurs difficultés e Évolution historique e brésil au début du n’ont pas fait face en pleine croissance économique, grâce à une abondance de ressources naturelles. En fait, les industries croissaient à une vitesse tellement élevée qu’ils ont manquée de main d’œuvres, et ils ont dû regarder ailleurs pour des travailleurs plus habiles qui pourraient remplacer les esclaves. Ici entre les nippo-brésiliens.

Pendant cette époque, plusieurs japonais cherchaient à quitter leur pays d’origine dû à la rise économique causée par la guerre entre la Russie et le Japon, et un manque de terres agricoles. L’idée de plusieursJaponais était de quitter pour un certain temps, gagner un peu d’argent, et d’ensuite retourner au pays du sole Swige to vie' » next page soleil levant les poches remplis. Par contre, pour la majorité des gens qui ont émigrés, cela n’était pas le cas et ils sont restés où ils s’étaient établis.

Les premiers Japonais arrivèrent au Brésil le 8 Juin 1908 au port de Sao Paulo. Ils étaient 791 fermiers venus d’Okinawa pour assister à la récolte du poivre. En 1910, l’immigration japonaise au Brésil Sintensifie dramatiquement quand les gouvernements des pays nord-américains bloquent l’immigration japonaise. Dans l’espace de trente ans, près de 200 000 japonais ont immigrés et ont commencé à former des communautés autonomes, tout en gardant les traditions de leur pays d’origine. Plusieurs d’entre eux s’installent en Amazonie afin de cultiver le poivre et certains types de melons.

Durant cette époque au Brésil, on y retrouvait des écoles japonaises, de l’architecture traditionnelle japonaise, et même des villages ntiers ressemblant beaucoup à ceux qu’on retrouvait au Japon. En général, si ils étaient demandés quelle était leurs nationalité, même les nippo-japonais de 2e génération disaient qu’ils étalent des japonais et non des brésiliens. Ils n’étaient pas prêts admettre autres choses dû à un fort sentiment patriotique envers leur pays de descendance et l’empereur Shôwa. fur et à mesure que les années passèrent, les sentiments de fierté japonaise démontré par les immigrants au Brésil diminuent. Cela est le plus remarquable après la 2e guerre mondiale quand nous annonçons a défaite de l’empire japonaise, ainsi que l’Allemagne et l’Italie. Les nippo-japonais font preuve d’une sévère crise d’identi 2 ainsi que l’Allemagne et l’Italie. Les nippo-japonais font preuve d’une sévère crise d’identité, et plusieurs d’entre eux n’étaient même pas prêts à croire le fait que leur pays avait été battu.

La communauté japonaise c’était divisé, et avait développé des fortes tensions entre les « victoristes » et les « défaitistes Les quelques défaitistes acceptaient la défaite du Japon. par contre, la grande majorité étant victoristes, refusaient pur et implement de croire en la défaite… Ils croyaient que s’était un mensonge créé par les médias étrangers. Après les années 1950, le nombre mariages mixtes entre les descendants japonais, et les brésiliens augmente. Cela est un des facteurs qui a influencé la transition visible des nippo-brésilien, à des brésilien normaux…

Où les gens de descendance japonaise commencent à jouer des rôles plus importants dans la société de tous les jours. En raison des mariages mixtes et de la réussite scolaire, les gens de descendance japonaise commencent à faire partie de la classe oyenne, et cessent d’être uniquement des agriculteurs perçus comme étant non-éduqués et pauvres. Aujourd’hui ils sont membres normaux de la société au Brésil, notamment dans la région de Sao Paulo. Statut Aujourd’hui au Brésil, plus de 1,5 millions d’habitants sont d’origine japonaise.

Cela peut sembler comme beaucoup, en fait c’est plus de gens que la région d’Ottawa au complet. Cependant, dans un pays aussi densément peuplé que le brésil, 1,5 millions de personne représente qu’une petite minorité de la population. En fait, dès 2013 on comptait 200,4 3 ersonne représente qu’une petite minorité de la population. En fait, dès 2013 on comptait 200,4 millions d’habitants au Brésili- Cela veut dire que la population d’origine japonaise au Brésil est limitée à de la population totale.

Au début du 20e siècle les immigrants japonais étaient presque uniquement des mains d’œuvres pour assister dans la récolte du café et autres aliments. Aujourd’hui les brésiliens d’origine japonaise représentent une partie importante de la population dans la région de Sao Paulo. Ils sont en générale de classe moyenne, et ne se distinguent pas u reste de la population quand il vient à la revenue. Au fil des années les nippo-japonais ont vécus une importante évolution.

Difficultés C’est seulement proche de la 2e guerre mondiale que les nippo- brésiliens font face à un gros problème de discrimination, celui- ci similaire à celui subit par les immigrants japonais dans les pays nord-américains. Ici au Canada, les immigrants d’origine japonaise en Colombie Britannique sont forcé d’abandonnés leurs maison et leurs travails. Ils sont ensuite transportés dans des camps de détention, répartis un peu partout dans le Canada. Dans es camps ils sont souvent forcés à faire des travaux, tels que l’explique le site web The Canadian encyclopedia. On les envoie ensuite dans des camps de détention près de Hope et dans les montagnes Kootenay, en Colombie-Britannique, dans des fermes d’exploitation de betterave à sucre… » « Ceux qui résistent le transfert des Canadiens d’origine japonaise sont envoyés dans des camps de prisonniers de guerre à pe 4 des camps de prisonniers de guerre à Petawawa et à Angler, en Ontario. »ii Lorsque le Brésil déclare la guerre contre le Japon, pendant la deuxième guerre mondiale, tous les relations ippones sont interdites.

C’est-à-dire que les écoles japonaises sont fermées, parler le japonais est interdit, et toutes pratiques culturelles japonaises sont rendu illégales. Cela avait rendu la vie extrêmement difficile pour plusieurs des descendants japonais. Puisque à l’époque de la deuxième guerre mondiale ils n’étaient pas encore intégrés dans la société, les gens d’origine japonaise ont dû complètement modifié leurs modes de vie. Les méthodes d’agricultures, étant les méthodes japonaises, ont dû être modifiées pour respecter les nouvelles lois.

Les immigrants japonais qui ne savaient pas parler le portugais ou l’espagnole ont dû l’apprendre et l’appliquer afin d’éviter d’être chargés. Par le temps que la guerre était terminée, les descendants japonais étaient déjà assez intégrés dans la société du Brésil. Les descendants de deuxième génération, étant élevés au Brésil dans le temps ou les relations nippones étaient interdites, étaient plus ou moins assimilés dans la culture métropolitaine. Franco-ontariens Les nippo-brésiliens peuvent facilement être comparé au franco- ontariens.

Même si les franco-ontariens ne sont pas différent culturellement que les Ontariens anglophones, ils tiennent beaucoup de similarités aux nippo-brésiliens. Occupant que 4% de la population totale de l’Ontario, les franco Ontariens S nippo-brésillens. Occupant que 4% de la population totale de l’Ontario, les franco Ontariens sont aussi plutôt retrouvés que dans une région spécifique, (l’est de l’Ontario ; Ottawa, Cornwall etc), similairement aux nippo-brésiliens que se retrouvent majoritairement dans la région de Sao Paulo.

Ces regroupements denses des nippo-brésiliens/franco-ontariens permettent es gens de pratiquer couramment leurs langues maternelles et fréquenter des écoles de leurs langues. Les deux groupes minoritaires sont pour la grande majorité bilingue puisqu’ils sont entourés de culture anglophone/portugaise. Parler et enseigner les langues de ces deux groupes étaient aussi interdit pour un certain temps. Les nippo-brésiliens durant la deuxième guerre mondiale, et les franco-ontariens en 1912 lors du renforcement du règlement 17 qui interdisait l’enseignement français dans les écoles.

Les immigrants de descendance japonaise au Brésil ont une istoire riche, et une culture unique. Ils ont été présentés avec plusieurs difficultés, notamment lors de la deuxième guerre mondiale. Depuis ce temps, ils se sont intégrés dans la société de tous les jours au Brésil. Ils jouent même un rôle important dans la société de tous les jours. Autres minorités visibles autour du monde, tels que les franco-ontariens, peuvent être facilement comparés au nippo-brésiliens. Peu importe la minorité ethnique dont nous parlons, ils ont probablement vécus une histoire similaire à celle des nippo-brésiliens.