Les nanotechnologies
De nos jours Les minéralogistes bénéficient de plusieurs allieras de dollars en recherche et développement (R-D. L’européen a accordé 1,3 milliards d’héros pendant la période 2002-2006. Certains organismes prétendent que le marché mondial annuel sera de l’ordre de 1 000 milliards de dollars plus. Les matériaux présentent de nouvelles propriétés si imprévues à cause de leur taille réduite. Couleur, force, résistance, conductivité électrique, chaleur, réactivait chimique : tout change dans le monde de l’infiniment petit. En effet il est impossible de déduire les réactions, phénomènes et propriétés de la matière à notre échelle.
Nous avons conscience que les avancées technologie pourraient être accélérées mais des phénomènes dont nous ignorons tout seront forcément incontrôlable. Il apparaît donc une rupture épistémologique. Nous devons faire une analyse sur nos connaissance et sur se que nous croyons et voyons du monde qui nous entoure car « Le réel n’est jamais « ce qu’on pourrait croire » mais il est toujours ce qu’on aurait dû penser ». La théorie du bouton up de driller consiste à modifier un élément à l’échelle monarchique pour retirer des propriétés à l’état macroscopique, tout cela dans un recousues contrôler. Cette volonté de contrôler les éléments à leur racine induit des spéculations sur la création ou la modification artificielle de phénomènes naturelle.
Il – Vers une hibernation nature/artifice. L’hibernation provient de deux espèces différentes. En effet, il se dit plus souvent des p antes que des animaux ou bien entre nature et artifice. Les minéralogistes, quant elles, concernent la conception, la caractérisation, la production et l’application de structures, dispositifs et systèmes par le contrôle de la forme et de la taille à une échelle numérique. Les minéralogistes participa pente à une logique d’hibernation entre vivant et non vivant, entre nature et minéralogistes participent à une logique d’hibernation entre vivant et non vivant, entre nature et artifice ainsi qu’entre humain et machine.
Issues de la convergence de plusieurs domaines de recherche, elles constituent un terme « parapluie » pour désigner un ensemble de mutations déchiquetterions. Le Conseil de la Science et de la Technologie (CAS), nous souligne bien que « les frontières entre les domaines deviennent plus floues, notamment entre la matière organique et la matière inorganisé De plus, dans le rapport du CAS, on nous explique que la nature a toujours fonctionné à l’échelle numérique. En effet, les minéralogistes participent en fait d’un double processus de naturalisation de la technique et d’rationalisation de la nature qui conduit non seulement l’idée qu’on pourra éventuellement imiter la nature en créant des nouveaux matériaux, mais qu’il sera possible de l’améliorer.
Cette naturalisation des minéralogistes est suivie d’une rationalisation de la nature donc elle perd des qualités qui sont celles d’un milieu naturel : « La nature compte de ombre exemples de machines efficaces telles que les insectes ». Transposée à l’être humain, cette double logique mène à concevoir le projet d’amélioration et de modification du corps par les minéralogistes comme la poursuite « naturelle » de l’évolution. L’auteur nous explique que l’on peut reproduire des « non processus naturels » comme le bois (utilisé comme matériau de construction au canard), car celui-ci se forme avec les composés chimiques de la nature. Il faut toutefois forme avec les composés chimiques de la nature.
AI faut toutefois préciser que ce raisonnement n’est possible que arc que la nature et la vie ont préalablement été redéfinies au niveau épistémologique en termes non technologiques, c’est-à-dire comme des assemblages moléculaires manipulés et contrôlables. Les annonceuses et les minéralogistes (ANS) s’inscrivent dans un champ technocratiques, le non monde, qui a pour socle l’hibernation autant conceptuelle que pratique entre le domaine de la nature et celui de la technique. Dans cette partie, l’auteur s’intéresse au basculèrent de la distinction entre le naturel et l’artificiel qui s’ensuit il – manufactura et déterminisme technologique
Bien que les recherches en annonceuses et minéralogistes se soient considérablement développées depuis vingt ans, la plupart des réalisations envisagées sont largement futuristes : des promesses de médicaments vectoriels et cibles, de systèmes invisibles de surveillance, de manouvrières, de ânonnerons… En effet, « le présent n’est pensé qu’en fonction d’un avenir techniquement défini : «Dans un avenir pas si lointain, cette technologie pourrait avoir une très grande incidence sur nos vies. » où la frontière entre science et science-fiction est de moins en ions nette. Les visions de science-fiction ont joué un rôle moteur indéniable dans le lancement des initiatives de recherche, même si la plupart des chercheurs tendent aujourd’hui à prendre leur distance à l’égard des spéculations.
Certes, ce n’est pas la première fois que le rêve et la fiction accompagnent une science émergent. La physique nucléaire et la conquête de l’espace ont suscité, en leur temps, bien des scénarios de fiction qui ont eu pour effet, non seulement de stimuler l’enthousiasme, mais aussi d’inscrire ces recherches dans la culture. Mais quel rôle accorder à de tels scénarios dans une réflexion éthique portant sur les annonceuses et minéralogistes ? D’un côté, la réflexion sur les aspects éthiques, légaux et sociaux risque de verser dans les promesses béates ou les scénarios-catastrophes, parce que l’on ne peut raisonner sur des cas concrets, comme dans la plupart des problèmes de bai-éthique ou d’éthique médicale.