Les Effet N Faste De La Morphine

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La morphine une drogue? La morphine a certe des effet thérapeutique, c’est un antidouleur très efficace qui aprés une lourde opération chirurgical calme la douleur considérablement en se liant a des récepteur, elle mime l’action de molécule produites naturellement dans le cerveau, les endorphine. Cependant l’utilisation de cet antidouleur engendre deux principaux effes néfastes. D’une part le cerveau développera « un phénomène de tolérence » qui aubligera donc les médecins ? augmenter la dose de morphine au fur et a mesure des injection pour un même effet thérapeutique.

D’autre part, la consomation e morphine entraine un phénomène de dépendance que l’an Swipe Lo nexL page retrouve avec la drog l’héroine car c’est un lac or2 à partir de la morphi q. ù – dangers que l’héroin La morphin provoqu ent comparée ? enu par synthèse les Lion sur le cerveau. ondaires: la dépression respiratoir, la constipation, comme évoqué un peu plus haut des dépendance physiques et psychiques et parfois même provoque des arrets cardiaques etc… En effet il sera indispensable de surveiller l’apparition des effet suivant: 1 . omnolence avec plus ou moins de troubles cognitifs ; 2. nausées et vomissements surtout au début de ‘administration , 3. prurit ( plus rare); 4. constipation ; 5. rétention urinaire ; 6. bradypnée. La plus part des effets sont dut au déclanchement d’une réponse cellulair qui est différente de celle induite par les endorphines. La réponse de l’organisme, va, de fait, être totalement modifiée. Ceci s’explique par la liaison de la morphine et des endorphines à un même récepteus.

C’est pour cella que actuellement des recherches sont faites afin de n’avoir que les effets bénéfiques de la morphine. « Dans le but de développer des molécules conservant les effets bénéfiques de la morphine sans pour autant induire d’effets econdaires, il est donc indispensable de comprendre les bases structurales de l’action de la morphine et des opiacés en général » à expliquer Sébastien Granier chercheur à l’Institut de génomique fonctionnelle (Inserm/CNRS/Universités de Montpellier 1 et 2).

Cest grâce a la résolution de la structure 3D du récepteur p- opiacé, clé du traitement de la douleur et des addictions qui pourrait à terme mener à la conception de nouveaux médlcaments analgéslques dépourvues d’effets secondaires. Source: Drogue & dépendance -La revue Nature du 21 mars 2012 -Encyclopédie « Le corps humain