le toyotisme
Le Toyotisme : Le Toyotisme est un modèle de management pensé au Japon dans les années 1950, appliqué dans les usines de « Toyota CIO,’ » à partir des années 1960 et à travers lequel la productlon est commandée par la demande du marché. Il se définit par le principe des cinq zéros : zéro panne, zéro délai, zéro défaut, zéro papier administratif et zéro stock. Une entreprise qui applique ce principe travaille à flux tendus : il s’agit de faire des économies de temps pour arriver à satisfaire la demande du client sans avoir de stocks.
Le Toyotisme est le f Toyota, Talichi Ohno, d’organisation du tra au pays convalncu q énieur chez les techniques de Détroit, revient ‘est pas applicable au Japon : les entreprises japonaises ne pourraient pas se permettre de gérer des stocks aussi importants que leurs concurrentes américaines, par manque d’espace et de capitaux. Par ailleurs, le contexte historique est celui de l’internationalisation des économes, qui demande plus de flexibilité aux entreprises.
Ohno remarque que la rigidité du modèle américain empêche les entreprises de développer la capacité d’adaptation qui leur ermettrait de mieux répondre aux défis de la mo Swipe to View next page mondialisation naissante. On peut noter que, très vite, flexibilité et externalisation sont devenus des mots d’ordres au sein du capitalisme occidental. Dans le cadre du Toyotisme, plusieurs pratiques totalement nouvelles sont mises en place. Trois d’entre elles sont particulièrement intéressantes.
La première, celle des « cercles de qualité consiste à organiser des réunions entre des volontaires de tous les niveaux hiérarchiques pour discuter d’un projet en ours, ou en phase de lancement, dans l’entreprise. La méthode du « management par projet elle, consiste à réunir tous les cadres supérieurs de chaque département (finance, marketing, etc) lors du lancement d’un nouveau projet pour pouvoir identifier plus vite les problèmes qui lui sont inhérents, et donc y répondre rapidement.
Enfin, le ringi, consiste à demander l’avis de l’ensemble des salariés du groupe avant de développer un projet d’envergure. On peut remarquer que tout dans le système toyotiste tend vers la responsabilisation des employés. C’est parce que la qualité de la production est capitale dans un système où il n’y a pas stock, et donc pas d’imperfection possible. Ainsi, l’ouvrier est bien formé, encouragé à innover et doit se sentir impliqué dans le destin de l’entreprise.
Mis à mal par la crise économique japonaise des années 1990, le principe de l’emploi à vie, une des facet par la crise économique japonaise des années 1990, le principe de l’emploi à vie, une des facettes essentielles du Toyotisme, est aujourd’hui encore bafoué dans le contexte de la crise financière ctuelle. Le stress, les surcharges de travail, les hautes fréquentes du travail de nuit, l’endoctrinement sont aussi très critiquées.
Enfin, la réputation de fiabilité qu’ont les produits Toyota a subi un dur coup lorsqu’en 2010 la firme a été contrainte de rappeler 1,8 millions de véhicules dans le monde, le tout pour un problème d’accélérateur résume : Après le Taylorisme et le Fordisme un nouveau système de production est inventé dès 1947 par Edouard Déming, un américain, et perfectionné par les japonais le Toyotisme.
Il onsiste en un système de production plus flexible, avec une qualité supérieur de la production pour un rendement élevé afin d’éviter les gaspillages. Toyota est considérée alors comme l’entreprise la plus efficiente des constructeurs automobiles. Cependant, ce système est il sans limites ? Durant la crise, de nombreux retour de voiture Toyota ont été mentionné dans la presse. Quels en sont les raisons ? Dans un premier temps nous allons examiner le management japonais, puis ses limites pour enfin terminer sur un modèle qu’est le cas Toyota.