Le savetier et le financier, jean de la fontaine.
premier bu libertine I empâta 23, 2011 | 3 pages l’achat du sommeil v. I I qui témoigne de sa réelle possible d’acheter le trône « Je vais vous mettre sur le ui renvoie à un homme insatisfait « se p gênait, parfois il sommeillait, chantait peu De plus, c’est un homme méprisant et hautain « riant de sa naïveté, il fait venir le chanteur, or ça Sire grégaire » ? Enfin, à partir du moment où le sévérité a de l’argent, les rôles s’inversent. La dégradation arrive au moment où il possède ‘argent.
Le sévérité devient alors malheureux « Du chant : il perdit la voix » en est la conséquence. Le sévérité semble s’égarer dans une paranoïa profonde perceptible avec les hyperboles v. 44 à 46 « Tout le jour il avait l’?il au eut ; et la nuit, si quelque chat faisait du bruit, le chat prenait l’argent. » Pour finir, il personnifie les soucis qui l’accablent « Il eut pour hôte les soucis » Il. La conception du bonheur selon le sévérité : a) Conception fondée sur le bien-être ? En effet, il a un métier qui rapporte peu et qui nécessite beaucoup de travail.
AI « chante du matin au soir », c’est-à- dire qu’il travaille toute la journée. Il se plaint des jours de fête trop nombreux (vers 27) car il est obligé de fermer sa boutique. C’est donc un métier dur et peu prestigieux. ? AI renvoie pourtant l’image d’un homme heureux définis Ar des adjacents mélioratifs tels que « Le Gaillard sévérité » vers 18, mais aussi par des verbes « chantait du matin jusqu’ soir » avec l’emploie de l’imparfait qui a une valeur duratif et traduit un bonheur constant.
C’est de plus un homme qui semble paisible qui vit au jour le jour « chaque jour amène son pain » vers 22, « Dit avec un ton rieur » vers 17 tandis que le Financier semble être à fleur de peau. ? A la fin de la fable, le sévérité redonne l’argent au financier contre son bien être intérieur « Rendez-moi, lui dit-il, mes chansons et mon somme » vers 48 b).