LE PORTRAIT DE DORIAN GRAY

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A la fin de XIX siècle, ils apparaissaient différentes perceptions de la vie quotidienne, cependant LE PORTRAIT DE DORIAN GRAY est un œuvre écrit par OSCAR WILDE entre (1854-1900) analyse les idées et la manière de vie d’auquel époque. Dans cette analyse notre travail consiste à falre la comparaison du point de vue chez LOARD HENRY (un personnage du Portrait de Dorian gray) sur l’estime et le mépris et leur signification dans l’œuvre LES PASSIONS DE L’AME (1596-1650) de DESCARTES. Donc comment Lord Henry voit Vestime et le mépris ?

Et quelle est la différence entre Lord Henry et Descartes sur la définition de ‘estime et de mépris ? Pour commencer, et l’amitié comme un ne peut pas exister u outre, la beauté est a or 4 Snipe to View neKtÇEge time à une personne donc pour lui il e la beauté. En puisqu’elle ne peut s’expliquer, contrairement au g nie intellectuel qui lui peut être défini, donc moins complexe. En fait, nous pouvons dire que la beauté ne tient compte que de son caractère objectif : On est né comme cela, et on ne peut l’expliquer.

Tandis que le rationalisme et la con Swipe to View next page conscience sont régis par des valeurs de la société ou on vit et dénote donc une nature subjective. Par conséquent, Lord Henry qualifie l’intelligence comme étant laide puisqu’elle ne dépend pas de l’être humain *Lord Henry établlt donc ce qul est de l’amitié et ce qui n’est pas : « Je choisis mes amis pour leur allure, mes connaissances pour leur réputation et mes ennemis pour leur WILDE, LE PORTRAIT DE DORIAN GRAY).

En effet, la première phrase exprime la beauté et la dernière la laideur au sens ou Lord Henry l’entend. L’inteligence, quant à elle, y est décrite comme dépendante de ce que l’on nous enseigne, dictée par les mœurs de la société. Ainsi, c’est par la beauté et out ce qu’elle nous révèle que Lord Henry et Dorian Gray se vouent une amitié sincère. e mépris envers la société, comme le révèle Lord Henry commence ou s’achève la beauté naturelle de l’individu, ses sens, ses passions. Toutefois, ils entrent en conflit avec la raison, car trop subjective et soumise.

Par contre, il faut avoir l’esprit rebelle, critique et le tout teinté d’un soupçon de cynisme, afin de s’apercevoir de quelle façon la société nous tient dans ses griffes. De plus, les gens ouverts d’esprit proposent leur vraie nature, lesquels ont les qualit PAG » OF d griffes. De plus, les gens ouverts d’esprit proposent leur vraie nature, lesquels ont les qualités de s’épanouir par-delà les frontières que notre société impose. Par conséquent, ce sont ces mêmes vertus naturelles et spontanées, dont les éthiques nous éloignent.

Alors, nous pouvons penser que la raison atténue en nous un grand part de ces vertus et passions. En effet, la conscience que demande la société est en quelque sorte un frein de la découverte de soi-même, car elle dicte chez chaque personne ce qui est par exemple, le morale ou le malsain. En plus, elle fait naitre chez les individus l’insincérité de leurs ensées, ce qui les rend pour la plupart des êtres d’intelligence et de raison. Par conséquent, nous ne pouvons être dirigés par nos besoins, nos désirs, passions et nos propres préjugés.

Tout ce ceci, méprisé par les penseurs plus rationnels et moins marglnaux. Ensuite, nous allons essayer de trouver des liens sur ce que représentent l’estime et le mépris. Cependant, il conviendra de le faire à travers la vision de DESCARTS d’après son œuvre LES PASSIONS DE L’AME . De toute évidence, il existe un point commun entre restime et le mépris. En effet, elles ont toutes les deux une relation avec le point de vue sur la vie. En plus, elles son elles ont toutes les deux une relation avec le point de vue sur la vie.

En plus, elles sont dites passions, dès qu’elles se rapportent ? nous même. En fait, s’estimer ou se mépriser serait beaucoup plus charnel et passionnel. Par contre, certaines passions sont mues par les opinions, donc elle relève plus de raison. En outre, si l’on prend comme référence Lord Henry, lequel apparait comme oisif et vagabond . il fonde l’estime et le mépris sur ce qui est beau et laid : «il vaut mieux être beau que d’être bon. Mais, d’autre part, il est mieux d’être bon que laid (OSCAR WILDE, LE PORTRAIT DE DORIAN GRAY).

Mais, avec la prise de position envers la société . ce qui inévitablement amène a des opinions, lesquelles sous-tendent en réalité sa theorie. Par ailleurs, si on peut choisir entre l’estime et le mépris il serait plus judicieux de choisir le mépris d’après la théorie de Lord Henry. Car, même si le mépris au sens propre est négatif, il n’en demeure pas moins qu’il rend service au bien commun de notre société. À Finverse, une question se pose, n’est-il pas plus judicieux de vivre dans une société ou chacun a son importance, même si soumis à ces règles ?