Le métier de pédiatre
Pédiatre Vous aimez les études longues, vous êtes un bourreau de travail ? Les enfants vous passionnent ? La profession manque de bras. Pédiatre : Son job Cest le médecin des enfants ! Depuis leurs premières heures jusqu’à leurs quinze ans, le pédlatre les accompagne : aucun nouveau-né ne sort de la maternité sans être passé entre ses mains. De retour à la maison, la majorité des parents continuent aujourd’hui à consulter un de ces experts installés en cabinet.
Sa connaissance des maladies rares évite bien souvent l’hospitalisation. Il peut également déceler des problèmes plus arges d’ordre psychologique, scalaire, etc. Les journées du pédi consultation peut du moyenne de clnquan huit heures d’astrein visites en crèche ou ors longues. Chaque aines sont en E ns blier les quelque dix- ou le week-end, les r le bien-être des enfants en collectivit , et ventuellement son travail en maternité privée. En hôpital, une équipe de pédiatres est également dévolue aux services d’urgences.
Alors que la France compte de plus en plus de bébés, le nombre de pédiatres est passé de 3 600 en 1995 à 2 570 en 2007, soit proportionnellement trois fois moins nombreux que dans la oyenne des pays européens. Et 1 300 départs à la retraite sont p Swipe to View next page prévus dans les dix ans à venir. Avis aux passionnés ! Pédiatre : LES FORMATIONS Bac conseillé 1er cycle des études médicales en deux ans • 1re année (LI santé) : depuis la rentrée 2010, les étudiants qui souhaitent faire médecine, dentiste, sage-femme, pharmacie doivent tous s’inscrire en LI santé.
Ils doivent, en début d’année, choisir le ou les concours qu’ils souhaitent passer. Un tronc commun est mis en place au premier semestre, à l’Issue duquel es étudiants passent un premier concours. Un classement est proposé, tenant compte des différents coefficients de chaque concours et permettant ainsi aux étudiants de juger de leur niveau et de leurs chances d’être reçus à l’un ou l’autre des concours. La fin de la 1re année est sanctionnée par un concours sélectif : seuls 15 % environ des étudiants sont reçus (ce taux varie selon les universités) et, parmi eux, au moins une moitié de redoublants !
Le quota, fixé chaque année par le ministère de la Santé, limite le nombre de places en 2e année, en fonction des besoins estimés e la profession : en 2011, 7 400 places sont offertes au concours de médecine. Attention : un seul redoublement est possible dans le cas d’un échec. • 2e année (L 2) : l’année débute par un stage infirmier de quatre semaines à l’hôpital. Les étudiants y passent ensuite un après- midi par semaine. 2e cycle des études médicales en quatre ans – La 1re année (DCEMI Cest une année de formation g cycle des études médicales en quatre ans – La 1re année (DCEMI).
C’est une année de formation générale en médecine, ponctuées de stages hospitaliers. – Les trois années suivantes. Enseignements théoriques et pratiques sur la pathologie, la thérapeutique, la prévention. pour accéder au 3e cycle, on doit valider la formation théorique, les stages hospitaliers, le stage auprès d’un généraliste, et obtenir le certificat de synthèse clinique et thérapeutique. L’accès à l’internat est subordonné au passage des épreuves classantes nationales (ECN) qui permettent à l’étudiant en fin de 6e année de choisir la spécialité pédiatrie (200 postes offerts en 2010).
Be cycle : la spécialisation en quatre ans Les internes sont attachés à un centre hospitalier universitaire égional, où ils reçoivent une formation à temps plein et préparent le DES (diplôme d’études spécialisées) en pédiatrie. > Vous cherchez une idée de métier ou d’orientation ? Faites nos tests gratuits ! Autres pistes Médecin scolaire Les grippes à soigner ne l’intéressent pas. Son job à lui, c’est de détecter chez les enfants scolarisés un éventuel besoin de lunettes, ou encore une déficience auditive, un risque d’obésité, un retard de croissance, un mal-être… u cours de ses visites dans les établissements. Affecté à un secteur géographique, il ‘occupe de 6 000 à 8 000 élèves d’écoles primaires, de collèges et de lycées. On lui demande, en collaboration avec les 8 000 élèves d’écoles primaires, de collèges et de lycées. On lui demande, en collaboration avec les infirmières scolaires et les assistantes sociales, d’ouvrir l’œil pour prévenir tout souci de santé, mais aussi dépister une maltraitance, signaler un élève en danger ou suivre de plus près la santé de certains enfants handicapés ou atteints de maladies chroniques.
Pédopsychiatre Ce médecin spécialisé soigne les troubles mentaux de l’enfant t de l’adolescent. II peut être alerté par des parents ou des professionnels de la petite enfance qui ont remarqué une baisse de résultats scolaires, des troubles du sommeil, une agressivité inhabituelle, un désintérêt général ou même des signes de dépression ou d’autisme. Il travaille en libéral, dans son cabinet, à l’hôpital ou encore dans un centre spécialisé dans l’accueil des enfants et des adolescents.
Médecin généraliste Grippes, angines, entorses… tel est le quotidien du médecin généraliste, dont le job consiste à écouter et examiner son patient auscultation, prise de tension, fièvres, douleurs, antécédents, hygiène de vie, problèmes professionnels ou personnels, etc. ). Tout indice est à prendre en considération : des maladies différentes peuvent présenter des symptômes identiques. Puis il établit un diagnostic et prescrit un traitement.
Il peut demander des examens complémentaires (radios, analyses, scanner… ) et adresser le malade à un spécialiste. À la différence de ce d PAGF (radios, analyses, scanner… ) et adresser le malade à un spécialiste. À la différence de ce dernier, le généraliste s’occupe e l’ensemble des problèmes de santé d’un patient et le suit pendant plusieurs années, voire toute sa vie. Il peut travailler en libéral, mais l’installation demande des investissements importants et la constitution d’une clientèle.
Il peut aussi être salarié : à l’hôpital ou dans l’administration (médecin du travail, scolaire, des armées… ). Si vous avez la vocation, il y a des places à prendre : les départs ? la retraite, vers 2010, ne seront pas compensés par les étudiants aujourd’hui en formation. BAROMÈTRE Niveau d’études exigé Bac +4 et plus Salaire net mensuels de départ Plus de 2300 euros Recrutement et débouchés Importants ou en hausse QUALITÉS REQUISES • Sens du contact. ?? Capacité d’écoute et d’analyse. • Douceur et patience. SALAIRE Le pédiatre débutant perçoit entre 1 900 et 3 750 € brut par mois. Ensuite, il peut toucher 5 000 € en libéral, de 3 200 à 6 760€ ? l’hôpital selon son ancienneté. Aussi sur le web • Remede. org : le site regroupant des étudiants en médecine. • Le Syndicat national des pédiatres français • Le Syndicat national des pédiatres en établissement hospitalier • L’Association des étudia ine de France (ANEMF).