le mal et le bien
Le mal est à comprendre, le bien est évident La notion de « bien » est inclut à la racine même de l’humanité. Elle est le pilier central de notre évolution. Cest pourquoi, nous allons nous pencher en priorité sur la notion de « mal b. Le « mal » pris au sens moral et universel du terme*. Le « mal » moralement condamnable au nord comme au sud. par un hindouiste, un animiste, un bouddhiste, un chrétien, un juif ou un musulman. Le « mal » condamné par tout être humain élevé dans les valeurs humaines. Le mal condamné par l’inuit et le golden boy, le illiardaire et l’ascète.
Le « mal » scandaleux pour le plus grand nombre d’entre nous. La création ne peut s Il nous faudra alors e forcément inclure le passer de l’état « pri » sans sa lique Swipe v ation devait spèce ne pouvait omme constructeur présence. Et pourquoi, pourtant, Leibniz a raison d’écrire : « tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles Nous devrons également expliquer pourquoi le mal, n’est pas atavique ni innée. Pourquoi il résulte dun ensemble de facteurs sociaux et éducatifs. De carences affectives.. De défaut ‘éducation à l’empathie..
D’un manque d’apprentissage à la frustration.. D’absence de formation à la morale et à l’éthique.. De pulsions violentes stimulées par la société, etc. Nous aurons enfin à dire pourquoi les grandes valeurs humaines,* découlent de la faculté de juger. Pourquoi, sans « l’invention du mal », l’humanité n’aurait jamais pu se constituer. L’évolution de la sensibilité au mal La valeur négative du mal, n’est que la cheville ouvrière de la valeur contraire positive. Lhumanité ne va pas de plus en plus mal. Au contraire elle va de mieux en mieux. 2