Le Haka Néo-Zéolandais
sans arme, généralement pour exprimer des sentiments personnels ou collectifs, et qui était le « haka taparahi », et celui qu’on dansait avec les armes, le « haka peruperu » On dansait le « haka peruperu », traditionnellement, avant de partir à la bataille, avec les armes utilisées pour faire la guerre. C’était une façon d’invoquer le dieu de la guerre, et d’avertir l’ennemi du sort qui l’attendait. Ce haka était dansé avec des expressions féroces du visage – grimaces, langue tirée, yeux exorbités, grognements et cris, en agi Le Haka Néo-Zéolandais
Premium gy Victor Bruyere 13, 2014 | 4 pages Le Haka Définition Le haka est une forme traditionnelle de danse Maori, interprétée à l’occasion de cérémonies, de fêtes de bienvenue, ou avant de partir à la guerre. C’est une danse accompagnée de cris, souvent à connotation guerrière. Il s’agit originellement d’une danse utilisée par les Maori avant de partir à la guerre à fin d’intimider leurs ennemis.
Littéralement, le terme « haka » veut dire « danse » quelle qu’elle Swipe to nex: page soit. 2 Types de Haka : Ily avait de nombreu européenne, selon le e joie, et des hakas dansait avant de part Les hakas de guerre cc oque pré- s hakas de chant et (vengeance) qu’on elui qu’on dansait agitant les armes de guerre. Le guerrier qui menait le « taua » – peloton de guerre – se plaçait au centre du groupe pour crier « Tika tonu mai Tika tonu mai Ki ahau e noho nei Tika tonu mai I a hei ha !
Ce qui signifie : « Venez par ici, venez vers moi A cet endroit où je suis maintenant Venez directement par ici A cet appel, les guerriers se préparaient pour le haka « peruperu », pendant lequel ils étaient inspectés minutieusement par les nciens. Si le haka n’était pas dansé en synchronisation totale, cela pouvait être considéré comme un présage de désastre pour la bataille à venir. Le haka était exécuté en guise de défi à l’ennemi. Les guerriers fixaient leurs yeux sur ceux des ennemis.
Parfois on insistait sur un geste particulier, comme un mouvement du bras mimant celui d’une hache, pour prévenir l’opposant du sort qui l’attendait. Très souvent les guerriers partaient en guerre nus, à part, à la taille, une ceinture en lin servant à accrocher de petits gourdins. Tandis que le haka tapahari, lui pouvait aussi être utilisé pour de grandes festivités, ou pour souhaiter une bienvenue spéciale à un invité de marque. Un haka pouvait aussi exprimer des griefs, ou, dans les temps anciens, être une priere adressée à l’un des dieux Maoris.
Mais aussi lors de fête nationale comme le montre cette Image. Le haka de ‘Te Rauparaha » PAG » OF d aussi lors de fête nationale comme le montre cette image. Le haka de « Te Rauparaha’ Il existe donc des multitudes de haka différents mais le haka de « ‘Te Rauparaha » reste le plus connu notamment par le ayonnement de l’équipe nationale de rugby qui le pratique lors de chacun de ses match. Les parloes : Ka mate! Ka mate! Ka ora! Ka oral Je meurs ! Je meurs ! Je suis vivant ! Je suis vivant !
Tenei te tangata puhuru huru C’est l’homme poilu Nana nei i tiki mai, Whakawhlti te ra Qui fait briller le soleil ? nouveau pour moi A upane! ka upane! autre Whiti te ra! Hi!! un pas vers le haut, puis un Un pas vers le haut, puis un Le soleil brille ! Selon la légende, Te Rauparaha venait d’échapper à une tribu ennemie, le Ngati Tuwharetoa. Ses guerriers approchaient. Te Rauparaha entendait déjà leurs Incantations, quand il rencontra Te Wharerangi, chef de la région Rotoaira, et lui demanda sa protection.
Te Whareangi, d’abord hésitant, permit finalement ? Te Rauparaha de se cacher dans son « kumara pit », un genre de fosse où les Maoris stockaient leurs kumaras (patates douces). La tribu ennemie se rapprochait encore et Te Rauparaha, bien que caché au fond de la fosse, était certain d’être découvert et tué ; il s Te Rauparaha, bien que caché au fond de la fosse, était certain d’être découvert et tué ; il se répétait tout bas « je meurs, je eurs ». Quand il se rendit compte que ses ennemis ne l’avaient pas trouvé , Te Rauparaha se mit à crier « Ka Ora, Ka Ora ! e vis, je vis ! Lihomme « poilu » qui est allé chercher le soleil l’a fait briller ? nouveau ! Le soleil brille ». (Te Rauparaha parlait de Te Wharerangi, qui était célèbre pour son corps très velu. ) Equipe de rugby : Cette équipe néo-zélandaise de rugby pratique donc ce haka lors de ses match. Cette danse vlse à intimider leurs adversaires. Mais cette équipe ne pratique pas seulement le hake de Te Rauparaha il existe aussi des variantes telles que le « Kapa o
Pango » qui est une danse plus guerrière en effet, les All Blacks miment en effet l’égorgement de l’adversaire à la fin du chant. Certaines équipes ont souligné le caractère anti-sportif d’un tel geste. Les Néo-Zélandais ont dansé ce haka face à FAfrique du Sud, PAngleterre (le 19 novembre 2005 à Twickenham) et l’Australie (le 8 juillet 2006). Le XV de France n’a jamais eu l’occasion de « l’affronter » En bref, le haka est un symbole de la Nouvelle-Zélande qui est pratiqué lors de fêtes nationales et d’événements sportifs et culturels.