Le franc avant
Les lois annales primitives le confirme (qu’elles soient grecques ou romaines) car le montant des amendes était fixé en quantité de bataille. Cependant le bétail n’est pas la seule monnaie originelle, par exemple les peuples nordiques avaient pour unité d’échange la fourrure. Le pas décisif fut franchi lorsque se substitua au bétail sa représentation sous forme métallique. Les pièces ont toujours été en métal quoique une cité telle que carénage a préféré une monnaie en cuir. La monnaie de fer a précédé la monnaie d’argent dont on date la naissance en 900 av JUCHÉ, en grec.
Les premières pièces d’or naquirent en assura-achalandé. La frappe du métal était la garantie de la force publique, les unités de prix dépendaient des unités de poids. De même un rapport fixe était établi entre l’or et l’argent. Intéressons maintenant au si e toi vie nixe a e Le franc avant 1914 premier bu bréchets empara 23, 2011 | 19 pages swaps toi vie nixe page aux monnaies de la France antique. Elle reflète assez largement l’histoire de l’état et de l’unification du royaume. C’est la méditerranéen qui a favorisé l’élargissement des aires monétaires en facilitant d’abord l’expansion de la civilisation. – La genèse du franc : de 1360 à 1803. L’avènement des valoir (1328) précède de peut la naissance du Franc. Cette période est formatrice du Franc germaine dont sortent deux aspects qui se chevauchent dans le temps : la maîtrise de la monnaie de métal et l’apprentissage de la monnaie de papier. La maîtrise de la monnaie de métal. Durant trois siècles le métal était le constituant exclusif de la monnaie en France. En 1492, la découverte de l’marquée a permit un apport de métal important a l’occident et par conséquent un renouveau monétaire.
Le désordre monétaire des valoir Au début de l’ère de ce peuple deux phénomènes ont eu n effet réciproque multiplicateur. La raréfaction des métaux précieux en occident et le début de la guerre de 100 ans (1337). Du fait des besoins d’argent et de la pénurie de métal pillée VIE et surtout Jean LOBENT procédèrent a de constante dévaluations ou réévaluations au grés des événements. En 36 ans, la monnaie or aurait été manipulé 50 fois, la monnaie d’argent au moins deux fois plus. C’est a l’occasion d’une de ces manipulation que Jean LOBENT donna le nom de « FRANC » a la monnaie.
Quelques temps après, l’ordonnance de Paris du 5 décembre 1360 baptisa « franc » de « bon derniers d’or ni » , d’une valeur de 20 sous et d’un poids de 3. 88 g d’or pur qui correspondait a la livre, monnaie de compte. Livre et franc était alors synonymes jusqu’ la révolution. Comme la trêve Franco-anglaise, la nouvelle restauration monétaire fut de courte durée et les rois de la dynastie des valoir tirèrent de la manipulation des monnaies l’essentiel de leur trésorerie de guerre. Quelques rois furent consciencieux comme lois SI dont le règne coïncida avec une longue période de stabilité.
En revanche, deux systèmes monétaires coexistèrent sous le roi charges VIE le fol. Profitant de l’afflux de métal précieux qui venait des index occidentales, les valoir tirèrent du monnayée des bénéfices appréciables. Cependant cet afflux bouleversait prix et monnaie : C’est a cette époque qu’intervint la fameuse controverse (1566-1568) entre M. De MOLESTERAIT et Jean BOUDIN sur l’enrichissement des choses et les moyens d’ remédier. L’?ouvre monétaire de hennir il Sur les instances d’une commission formé au lendemain des états généraux de 1575, le roi fit siennes les suggestions de la cour des monnaies.
Cette cour pensé avoir trouvé, d’une part dans la dualité de la monnaie de empoté et la monnaie réel et d’autre part dans le pointillisme, les causes des manipulations. Le fait de ne pas afficher sur les pièces leurs valeur facilitait les manipulations : le roi fixé le nom afficher sur les pièces leurs valeur facilitait les manipulations : le roi fixé le nombre de pièces pour une livre. Cependant, la libre circulation des pièces et l’action des changeurs qui définissaient le juste prix des pièces (par rapport a la livre poids) était rendu difficile. De plus, la plus part des contrats étaient établis en monnaie de compte.
Nous pouvons supposer que toutes ces limites de la amputation sont un motif de leur fréquence. Attardons nous un instant sur le pointillisme, qui était officiel depuis saint lois. A cette époque il était source de graves perturbations. En effet, la découverte de mines augmenta le stock de métaux précieux (or : +25% argent : +650% au SUIVI). Le rapport instable entre ces deux métaux, perturbant l’économie national, fit place a la monnaie billion. Pour mettre un terme a se chah monétaire, hennir il par son édit de septembre 1577 déclara comme monnaie nationale l’écu d’or d’une valeur de 3 livres.
Le franc, quand a lui, n’était donc représenté que par une pièce idée. Hg soit 20 sous. Cette politique assura au royaume une stabilité économique oublié et le système de monnaie de compte tendit a disparaître. Gloire et misère des bourrons A cause des guerres de religion, e royaume de France n’allait pas connaître de paix monétaire : la variation des prix de métaux et des besoins sans cesse croissant de la cour a entraîne l’altération et l’effondrement des monnaies des bourrons. hennir AV renonça à la réforme de son l’altération et l’effondrement des monnaies des bourrons.
hennir AV renonça à la réforme de son prédécesseur en modifiant la valeur de l’écu, puis réajusta le rapport de l’or t de l’argent. Après avoir imité son prédécesseur, lois SI finit par procéder à une refonte générale des monnaies. C’est en 1640 que l’on frappa le lois d’or gravé par Jean airain ainsi qu’une monnaie d’argent, l’écu blanc. A cela, s’ajoutait une monnaie de billion en cuivre. La valeur du lois est à plusieurs reprises modifiée, ‘argent et l’or disparaissent alternativement et même simultanément.
La guerre de la succession d’espagnole pousse le roi soleil vers toutes sortes d’expérience (recours au papier monnaie). La défaite de villas à mallette en 1709 provoque la banqueroute du papier monnaie. lois SÈVE et lois SUIVI quant à eux rendirent à la monnaie métallique la stabilité qu’elle ne connaissait plus. En effet, lois SÈVE s’inspira de l’écossais la qui suspendit en 1720 le cours des pièces d’or puis d’argent. La liquidation du système de la about it à la refonte générale de 1726. Le lois d’or fut frappé au titre de 22/24. Des monnaies divisionnaires d’or et d’argent de billion furent aussi frappées.
Cependant, bien qu’obligatoire, la démonétisation des anciennes espèces ainsi que des espèces étrangères ne se fit que lentement. Ce phénomène a empêché l’apparition d’une nouvelle honnie. Ces donc avec la monnaie de lois SÈVE (corrigée par lois SUIVI en 1785) que la France lègue à la repues la monnaie de lois SÈVE (corrigée par lois SUIVI en 1785) que la France lègue à la République une riche expérience monétaire. Hélas, trop complète pour la monnaie métallique et pas assez avancé pour la monnaie de papier. B- L’apprentissage de la monnaie de papier. Les premières tentatives.
L’abandon du métal précieux au profit du vulgaire et fragile papier s’explique par deux principes. Sur le p an psychologique, les manipulations royales avaient finit par répandre une sorte de prévention l’égard de la monnaie de métal. De plus, le développement su système bancaire fortifiait la valeur d’échange du papier. D’autre part, l’extension du commerce au Emme siècle provoqua une extension de la circulation monétaire et de nouvelles techniques de transfert. Le système de monnaie papier créé à l’origine pour éviter les transferts de numéraire entre villes éloignées était utilisé en premier lieu par les banques.
AI ne s’appliquait qu’aux « lettres de change », ce qu’on appelle aujourd’hui en comptabilité nationale « le transfert financier ». Les lettres de change permettaient d’éviter e transport d’espèces ainsi que l’intervention immédiate du changeur. Le crédit se développait très largement mais le taux d’intérêt n’en demeurait pas moins très élevé (20 25%). Cependant, les crédits publiques restaient pratiquement inexistants, cela a permit aux banquiers d’aider la trésorerie des papes et monarques. On s’accoutumait alors au pouvoir du papier et a l’intervention des b trésorerie des papes et monarques.
On s’accoutumait alors au pouvoir du papier et a l’intervention des banquiers privé dans l’alimentation du trésor public. Il suffisait que les banquiers pourvoient par de la monnaie papier au besoin u trésor public. Dans le souci de préserver l’autorité de l’état certains tel que M. De FOND TENU (en 1608 a hennir AV) proposèrent que le roi devienne lui-même banquier et finance ainsi par le papier les besoins du trésor (que l’on crée une banque générale du royaume). Cela se fit en européen avec par exemple : création de la banque de soude en 1661 et celle d’engrangèrent en 1694.
Cependant, ce projet fut abandonné. Il fallu attendre le suivisme avec d’abord les billets de lois SUIVI puis avec les aventures de la sous lois SÈVE et des assignais sous lois SUIVI. lois SUIVI marqua les dernières années de son règne de fâcheuses expériences monétaires. Il développa en contrepartie des avances que lui faisait les banquiers, les assignations sur ses revenus. En 1702, il crée la caisse des emprunts sort de banque d’état ou moyennant le versement d’espèces, on remet des billets, bon du trésor avant la lettre portant intérêts a 6% ou 10%.
Cependant le remboursement n’est pas toujours régulier et le versement des intérêts et même fait en 1707 en billet de monnaie. Ensuite les cours chutent et le roi finit par supprimer la caisse en ne remboursant les billets que pour moitié de leur valeur. Dans le même temps il fait patienter les déposants de pièces taie de leur valeur. Dans le même temps il fait patienter les déposants de pièces démonétisé en leur remettant des billets portant intérêts à 7. 5 % lors d’une refonte des monnaies en 1704.
AI remet également ses billets de monnaie soit à des créanciers soit à des prêteur en particulier pendant la guerre d’espagnole. 2- Les grandes aventures. Sept ans après l’échec de la Caisse des Emprunts, fut mise en place la Banque Générale. Cette banque pratiquait l’escompte, et elle avait surtout le privilège de l’émission de billets rapportant un intérêt de 4% payable en écu de banque. Les comptables publiques furent obligés de recevoir des billets de banques en payement des impôts et de les acquitter à vue et sans escompte.
L’émission de billets de banque de valeur stable, après les nombreuses manipulations monétaires de la fin du règne de lois SUIVI, apporta un instrument de qualité favorable à l’extension du commerce extérieur. Mise part une brève et peu importante émission de billet en 1759, la seule tentative du règne de lois SUIVI fut la création de la caisse d’escompte. A l’origine destiné a l’escompte des effets ainsi qu’aux négoces de l’or et a la réception des pots, cet établissement financier émit des billets de façon modérée.
Cependant, en 1 783 a la suite d’un prêt de la caisse au roi les porteurs réclamèrent le remboursement des billets et la convertibilité dut entre suspendu pendant mois. En 1 788, la caisse prêta a nouveau au roi et le cours forcé fut rétabli suspendu pendant mois. En 1 788, la caisse prêta a nouveau au roi et le cours forcé fut rétabli (dans tout paiement même d’impôt, les billets de monnaies peuvent entrer pour leurs valeur nominal dans la proportion du tiers). Puis l’assemblé national eu recourt pour suppléer au ions values de rentrées fiscales, a la caisse d’escompte.
encrer en décembre 1 789 confirma le cour forcé et obtint une avance de 80 millions. En même temps, comme les besoins augmentent et que les ressources s’amenuisent, l’assemblée Nationale crée une caisse une « Caisse de l’extraordinaire ». Elle a pour but, de recevoir les fonds provenant de la contribution patriotique et surtout de la vente des biens de la Couronne et du Clergé, biens qui sont estimés à 400 millions. En contrepartie, la Caisse est habilitée à émettre, sur quatre ans, 400 millions d’assignais portant intérêts.
Les assignais sont notamment remis en contrepartie des billets de la Caisse d’Escompte, laquelle survit jusqu’ 1793, année de sa liquidation et de l’exécution de la plupart de ses administrateurs. Un cours légal est imposé par décret du 12 septembre 1 790, puis le plafond de l’émission porté à 1 200 millions. En 1 793, on renonce à ce plafond car la guerre approche et les impôts ne rentrent pas malgré prélèvements opérés dans les pays occupés (biologique). Il faut donc imprimer des assignais et les émettre plus rapidement. AI y a donc de l’inflation : les biens nationaux sont estimés à 2 400 millions puis 3 100,