Le Dollar Est Il Encore Le Soleil Autour Duquel Gravitent Les Autres Monnaies
Le dollar est-il toujours le soleil autour duquel gravitent les autres monnaies satellites ? « Le dollar est le soleil autour duquel gravitent les autres monnaies satellites ». Henri Bourguinat évoque cela en faisant référence à son rôle dans le SMI de BW. Comme le soleil, exerce une force d’attraction sur l’ensemble du système car on aait institutionnalisé son rôle de monnaie nationale. On confiait à un pays la capacité de réguler les besoins de l’économie mondiale en liquidités internationales.
Malgré la disparition de ce GES et la fin d’un système universel de change fixe, la question du rôle u dollar se pose da choisis par de nombr ses reste-t-il la monnaie i ernatl monnaies gravitent ? elle encore valable d nges flottants sont quel point le dollar laquelle les autres aie centrale est- nétaire « actuel ou laissera-t-elle la place à l’émergence d’un système à plusieurs pôles ? (permet d’ammener l’annonce du plan). – Le SMI de BW consacre la suprématie du dollar (incontournable dans un tel sujet) 1) Le GES lui confère une place centrale C’est la seule devise convertible en or et monnaie de réserve. Toutes les autres monnaies fixent leur parité officielle par apport au dollar et doivent la maintenir. L’or conserve son rôle d’étalon mais le partage avec le dollar qui est la vraie monnaie internationale de transaction. Le système est de fait asymétrique, n monnaies, n-l taux de change, le dollar n’est pas soumis page soumis à la nécessité de défendre sa parité.
Par contre cette contrainte est supportée par toutes les autres monnaies qui doivent intervenir sur le marché des changes par des achats ou ventes de dollars contre leur propre monnaie. Le dollar est donc la principale monnaie d’intervention sur les marchés de change, onc la principale monnaie de réserve. Cette place centrale s’explique par le poids de la puissance américaine. Le dollar est la seule monnaie à pouvoir assumer ce rôle (livre échoue). ) Les US profitent de cette asymétrie Théoriquement, système doit mener pays émetteur à une autodiscipline car monnaie reste convertible en or, force de rappel. Mais cette discipline du stock d’or n’a pas fonctionné. Les USA sont exonérés de solder leurs déséquilibres par des sorties de devises car ils émettent la monnaie internationalement acceptée. Ne sont pas obligées de se procurer de la monnaie ?trangère pour payer leur déficit. Vont donc effectuer des sorties de K selon leurs intérêts.
Le déficit est sans pleur, pas de contrainte car émettent la monnaie. Cette douce négligence a un coup pour les autres pays car deviennent des créanciers de plus en plus importants des USA. Doivent soutenir le cours du dollar en l’achetant sur le marché des changes contre leur propre monnaie et financent de ce fait le déficit extérieur américain. Mais cette attitude finit par se heurter à la limite ultime du système • paradoxe de Triffin, en maintenant à 35 dollars l’once, pas ‘incitation à la production de l’or. – Passage aux changes flottants n’a pas modifié le rôle du dollar 1) Dollar est resté étalon de fait Aucune monna flottants n’a pas modifié le rôle du dollar Aucune monnaie ne peut rivaliser avec le dollar : principale monnaie de transaction (75%), de financement (45%). Avec le flottement, bcp de pays en dvp choisiront d’arrimer ou d’acrer leur monnaie sur le dollar, ce qui continue de faire de lui u étalon auquel de nombreuses monnaies restent attachées par des parités fixes. Les LJSA maintiennent de plus une attitude ouce négligence en laissant leur déficit courant se dégrader.
Il n’existe pas de mécanismes contraignants pour eux. Peuvent toujours régler en dollar, reste la liquidité internationale. Dollar reste asservi aux choix de la politique économique. Les USA ont compté sur la dépréciation continue du dollar pour rétablir leur déséquilibre extérieur. La dépréciation a été si forte qu’elle a stimulé l’inflation importée et remis en cause ce choix. Les USA mettent alors en place une politique monétariste, relèvent fortement les taux d’intérêt et provoquent vaste mouvement d’appréciation du dollar.
Cela finit par nuire à la compétitivité des produits americains. Les USA mobilisent la coopération quand leurs intére’ s propres sont en jeu (accords du Plaza ou du Louvre). Depuis la crise des subprimes, politique monétaire très accomodante menée à Paide de mesures non orthodoxe d’assouplissement quantitatifs qui maintient les liquidités en dollar surabondantes sur tous les marchés de K. Le flottement de la monnaie internationale reste donc dirigé par les USA qui continuent d’avoir des objectifs de change pour le dollar. 2) Pour les autres pays et monnaies, les fluctuations du cours