Le conception du bonheur chez voltaire
Le luxe fait avancé la civilisation déjà aisée. Le Mondain : celui qui vit dans le monde, en opposition à ce qui est sacré. Le mondain est donc profane. Le bonheur est à chercher sur terre dans la jouissance du plaisir qu’offre la civilisation dans ce que l’être capable de produire dans sa propre industrie (savoir faire) et non chercher dans l’au delà. Volontaire premier boy ailloli I harpe 04, 2009 6 pages Introduction Contraint de s’exiler en engrangèrent en 1726 après deux maîtresse. C’est là qu’il compose en 1736 épître du Mondain.
Dès la parution du texte, il juge prudent d’aller se cacher en hollandaise. En lisant ce texte, cela peut nous paraître excessif. Cependant en le relisant, il apparaît que volontaire met en dérision les textes de a genèse qu’il assimile à l’âge d’or et qu’il plaide pour une morale dentiste (plaisir) fort peu comparable au monde chrétien. Plan l/ La mise à mal du mythe des origines : l’édenté et l’âge d’or Il/ La contestation de la morale traditionnelle il/ Un hymne à l’âge de fer A nos époques, il n’ a encore que quelques intégristes qui rendent aux pieds de la lettre le récit de la genèse.
Il y a deux siècles cependant les récits de la genèse étaient lus comme de véritables livres d’histoires. volontaire lui prend le contre-pied de cette vision (« édam et ave représentent l’humanité innocente qui a provoquée la chute »). 1) L’assimilation de l’édenté au mythe païen Le mythe d’édam et ave est comparable à celui du païen qui voit l’histoire des hommes comme une régression. Les deux traditions sont empilées sous la dénomination « le bon vieux temps Elles ne sont que des histoires. Les adversaires de volontaire sont des hommes simples, tournés vers le passé, toujours à récriminer le présent.
volontaire affiche un certain mépris pour ces mythes qui s’affiche par l’utilisation du « et » (op volontaire affiche un certain mépris pour ces mythes qui s’affiche par l’utilisation du « et » (polyvalente). Le « et » met sous le même plan toutes les histoires (l’édenté ne vaut pas mieux que les autres mythologies). volontaire enchaîne ensuite avec un « moi » provocateur. Il oppose à ces mythes la grandeur de son époque. 2) La remise en cause du mythe de l’édenté volontaire était un iconoclaste (il brisait les images). Ici il malmène e mythe chrétien.
Il emploie un ton condescendant, des formes de phrases négatives. volontaire met aussi en évidence l’état de dénuement et d’austérité des habitants de l’édenté ; ils sont ignorants ainsi leur vertu n’-t-elle aucun mérite. volontaire se moque de leur sobriété. Cette mise à mal du mythe s’accompagne d’une critique encore plus radicale. volontaire s’attache à une longue tradition morale de l’humanité que l’on trouve chez les stoïcisme (Carter, essence) pour sui le nécessaire pouvait être considéré home superflu. Les épicuriens condamnaient le luxe et penchaient pour la modération.
L’église, elle prêche l’abstinence et les vertus de la pauvreté. I) l’apologie des vertus de l’abondance et même du luxe volontaire prêche l’abondance : lexique de l’abondance et du luxe. Il présente l’abondance et le luxe comme des valeurs essentielles alors qu’ils sont inutiles et même présentés valeurs essentielles alors qu’ils sont inutiles et même présentés parfois comme des péchés. 2) La revendication provocatrice de ce point de vue On remarque de nombreuses occurrences de la première résonne qui montrent que volontaire se place en première ligne.
Tournure emphatique et placer en début de vers. Tournure paradoxale « O le bon temps que ce siècle de fer ! » (Normalement on parle ainsi du siècle d’or). Ironie de « mon cure très immonde » ; volontaire est immorale. Ici, volontaire s’oppose de front à la vision commune des moralistes (philosophie des béatitudes : « heureux les pauvres ! » mais ce poème ne peut être réduit à une seule provocation : on trouve également un plaidoyer lyrique de son époque qui ne manque ni de profondeur, ni de augmente.
il/ Celui qui s’adresse à nous dans l’épître a une confiance enthousiaste dans le génie humain. Il éprouve un bonheur matérialiste. Sybarite : personne qui recherche le bonheur dans le luxe et le raffinement. Définition du bonheur qui s’appuie sur le progrès et la morale profonde. 1) Un hymne au bonheur célébré sur le mode de l’enthousiasme. Décelables succession d’événements brefs ; ensemble sensualité, au bonheur des sens la vue le goût Aux vers 16-17, ouverture sur le monde. On associe le goût matériel à la notion de civilisation.
Le bonheur va de paire avec le progrès. 2) L’apologie du progrès et de l’activité humaine volontaire se juge être né dans le meilleur des siècles. Celui-ci était en effet un siècle de développement (arts et sciences). On le voit aux champs lexicaux des arts et des sciences, grâce à l’abondance des pluriels, aux énumérations. volontaire vente les vertus du commerce qui naît à porter de main grâce à la nature (l’or est extrait de la terre). L’européen, l’essaie, l’Occident, l’Orient… Le commerce a un pouvoir pacificateur.