La Soci T Spartiate

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La société spartiate Ce qui caractérise Sparte c’est son expansion militaire qui est le principal moteur de l’évolution politique. Sparte a connu une évolution hoplitique qui s’est opérée lors des conflits de frontières avec sa principale rivale qul est Argos. A l’époque archaïque Sparte était engagée dans les guerres de Messénie. Il y a entre la deuxième moitié du Be siècle et la deuxième moitié du 7e siècle il y a eu trois guerres de Messénie, c’est une guerre d’expansion entreprise par Sparte qui se traduit par la conquête de la Messénie.

Sparte apparait comme une cité dont le territoire est gigantesque (8000 km carré). A partir de ce moment, Sparte Sni* to devient la Cité une d Elle va soumettre les arcadiennes et Argos la tête de la ligue de La ligue de Péloponn or7 Peloponnese. nèse : les cités s le que Sparte prend c’est aussi une ligue destinée à prévenir les rebellions des populations mycéniennes promises. Sparte qui prenait la tête des opérations dans la ligue de Péloponnèse. Les institutions spartiates L’organisation auraient été données à Sparte par Lycurgue (légis ateur).

Au 7e siècle il cherche à dénouer les conflits sociaux entre aristocrates et le reste du peuple notamment à la suite de la révolution hoplitique. Ce Lycurgue n’a pas d’existence historique. Ily a deux idées qui s’imposent, la première : Lycurgue aurait transporté la constitution de Sparte depu Swlpe to vlew next page depuis la Crète. La deuxième version c’est celle de la consultation d’un oracle il aurait été chargé par l’oracle du soin de donner à Sparte sa constitution. On la connait par la paraphrase qu’en donne Tyrtée, poète contemporain de la deuxième guerre de

Messénie et P utarque. Cette constitution en lignes versifiées et rythmées rend la mémorisation facile. Plutarque ne s’autorise pas à donner un avis distancier, il rapporte ce que les différents auteurs rapportaient depuis les origines de la cités. Dans ce processus de sédimentation, on a prêté à Lycurgue une série de décision (alors qu’elles ont été prises en plusieurs étapes). On a eu des processus qui se sont joués sur plusieurs siècles. Sparte est une double monarchie (deux rois héréditaires) qui appartiennent à deux familles distinctes de l’aristocratie (les

Agiades et les Euripondides), les alliances matrimoniales entre les deux familles sont proscrites. Ces deux familles étaient présentées comme issues de deux jumeaux descendants d’HéracIès. Le tombeau de ces deux rois est situé dans des lieux distincts. Ce pouvoir se transmet comme la monarchie selon la règle de primogéniture masculine (fils ainé qui hérite de la couronne). Les fils qui étaient nés pendant le règne du père avaient la primauté sur ceux qui étaient nés avant. Ces rois sont des personnages sacrés (ascendance héroïque) ils ont des pouvoirs assez larges.

Leurs attributions sont essentiellement militaires et religieuses. Ces rois sont avant tout les chefs des expéditions militaires, il y a d’ailleurs une évolution en 506 (divorce diéleusis) guerr PAG » rif 7 des expéditions militaires, il y a d’ailleurs une évolution en 506 (divorce diéleusis) guerre Sparte/ Athènes, un des deux rois abandonne l’expédition, depuis cette date là il est décidé que seul un des deux ros prendra la quête des expéditions extérieures tandis qu’un restera veiller au bon ordre de la cité. A l’armée, le roi avait un pouvoir très fort sur l’ensemble des soldats.

Des prérogatives religieuses (rituels, nommer ceux qui interrogerait la Pitti de Delphes) ils n’ont pas un pouvoir absolue, ils ne sont pas irresponsable et peuvent être poursuivit en justice. Ils n’assurent pas le pouvoir du gouvernement. Les rois n’admistrent pas la cité au quotidien, ils sont cantonnés dans certaines fonctions spécialisées. Parmi les cinq épohores il y avait le magistrat éponyme, celui qui donnait son nom à l’année. Ces rois sont secondés par les éphores (les magistrats) ils auraient été au nombre de cinq. Leur durée d’exercice est fixée à 1 an.

Ils sont élus par l’assemblée des citoyens et ont un pouvoir judiciaire. Ces éphores (magistrats instructeurs), peuvent prononcer des peines. Ce sont ces éphores qui décident des questions soumises par l’assemblée. Ce sont ceux sui sont chargés du gouvernement sur la cité + assurer la cité en l’absence des rois. Ce sont eux aussi qui peuvent engager une action contre les rois s’ils ne respectent pas le nomos. Leur pourvolr est égal à celui des tyrans selon Aristote. Ce qui manifestait cette indépendance c’est qu’ils étaient dispensés de se lever quand les ois apparaissaient.

Il n’y avait pas de condition pour être désigné comme épho PAGF3C,F7 lever quand les rois apparaissaient. Il n’y avait pas de condition pour être désigné comme éphore. Leur pouvoir est limité par la brièveté de l’achat, la condition de non-éligibilité. Il y avait quand même une succession de compte. La géronsia (conseil des anciens), est l’élément aristocratique composé de 28 membres élus à vie par l’assemblée parmi les hommes de plus de 60 ans (l’âge ou cessaient les obligations militaires). Ces 28 membres étaient recrutés par les familles.

C’était toujours les plus riches des spartiates qui étaient choisit. Il y a un rôle judiciaire, la gérousia a la valeur d’une haute cours de justice qui juge les crimes de sang et pas les affaires banales et aussi les causes politiques. Fonction proboulematique, c’est la fonction qui consiste à rédiger les projets de lois qui sont ensuite examinés par [‘assemblée des citoyens. Contrairement au deux précédant pôles, ils sont irresponsables. Il y a aussi l’apella qui regroupe tous les spartiates libres, c’est l’assemblée des citoyens.

Son rôle apparaît limité car les décision u’il est amené à prendre est sur des projets qu’elle n’a pas élaboré elle-même elle n’est pas maitresse de son ordre du jour (élire les éphores et les membres de la géronte). Elle approuve ou rejette les textes soumis par les uns et les autres. Les historiens sont partagés, il n’y a pas de possibilité d’amendement (chambre de décisions prises en amont). La décision n’était pas prise selon la règle de la majorité : c’était aléatoire. A l’époque classique, l’assemblée a le pouvoir de décider de l’appel de la guerre. Il y avait une