La conception du mariage
La première chose qu’on peur voir dans « Les Femmes savantes » sur la conception du mariage c’est que les amants sont dans une position difficile parce qu’il y a une contradiction entre le mariage d’intérêt et le mariage d’amour. Dans la pièce on voit que c’est les parents qui décident pour le mariage de leurs enfants. Philatélie a décidé de marier sa fille à transition et veux imposer ce choix : Vers (633-635) : « Est celui que je prends pour l’époux qu’il lui faut ; Et je sais mieux que vous juger de ce qu’il vaut. La contestation est ici superflue » premier boy boubou achoppa 22, 2009 5 pages cette couvre.
Comme la conception du mariage change Les critères de Philatélie pour choisir le mari de sa fille sont qu’il ait des qualités soie toi vie nixe aie intellectuelles, de l’esprit et qu’il puisse lui donner l’envie du savoir. Vers (1067-1072) : « J’ai donc cherché longtemps un biais de vous donner La beauté que les ans ne peuvent moissonner, De faire entrer chez vous le désir des sciences, De vous insinuer les belles connaissances ; Et la pensée enfin ou mes vécue ont souscrit, C’est d’attacher à vous un homme plein d’esprit » Mais inhérente et Philatélie ont une opinion différente sur le mariage.
inhérente veut faire elle-même le choix de son futur mari. Elle veut se marier par amour et pas par intérêt. Vers (20-22) : « Et qu’est ce qua mon âge on a de mieux à faire Que d’attacher à soi, par le titre d’époux, Un homme qui vous aime, et soit aimé de vous ; » Le deuxième choix qu’on voit dans « les femmes savantes » par rapport aux conceptions du mariage c’est qu’il a y une contradiction entre l’éducation des femmes et leur mariage. A cause de cela, les personnages vont avoir des encensions du mariage différentes. Pour chrysalide et renarde la femme ne peut pas se marier et être éduquée.
Il faut choisir. Même si elle rêve en secret d’épouser éclairante, renarde argumente contre le mariage. Elle dit que le mariage est un « n?du », qu’il fait de la femme une esclave asservir. Elle ne comprend pas pourquoi sa mariage est un « n?du », qu’il fait de la femme une esclave asservir. Elle ne comprend pas pourquoi sa s?Ur veut se marier. Vers (29-32) : « Et de n’entrevoir point de plaisirs plus touchants Qu’un idole d’époux et des marmottes d’enfants ! Laissez aux gens grossiers, aux personnes vulgaires, Les bas amusements de ces sortes d’affaires. » renarde va jusqu’ dire que le mariage est dégoûtant.
Au début de la pièce elle dit à sa s?Ur : Vers (9-12) « Ne concevez-vous point ce que, dès qu’on l’entend, Un tel mot à l’esprit offre de dégoûtant, De quelle étrange image on est par lui blessée, Sur quelle sale vue il traîne la pensée ? » Pour renarde il faut choisir entre la passion et savoir. Elle essaie de pousser inhérente vers le choix du savoir : Vers (43-48) « Mariez-vous, ma s?Ur, à a philosophie, Qui nous monte au dessus de tout le genre humain, Et donne à la raison l’empire souverain, Soumettant à ses lois la partie animale, Dont l’appétit grossier aux bêtes nous ravale. Philatélie est l’exemple à suivre : elle a réussi à se marier et à être éduquée en même temps. Mais chrysalide a une opinion opposée : il pense que la femme dans le mariage doit rester dans l’ignorance, s’occuper des enfants et du ménage. Il regrette que les femmes de sa maison ont d l’ignorance, s’occuper des enfants et du ménage. AI regrette que les femmes de sa maison ont des savoirs élevées au eu de s’occuper des choses concrets : vers (593-600) « Et dans ce vain savoir, qu’on va chercher si loin, On ne sait comme va mon pot, dont j’ai besoin…
Raisonner est l’emploi de toute ma maison, Et le raisonnement en bannit la raison. L’un me brûlé mon rot, en lisant quelque histoire ; L’autre rêve à des vers, quand je demande à boire : » Cependant on peut dire que dans cette ?ouvre, les hommes sont dans une position paradoxale face au mariage. Le mariage place chrysalide dans une position paradoxale : d’un coté il a une vision et un discours machisme à propos du ragée, mais d’un autre coté il se comporte en homme soumis et accepte tout de sa femme.