La technique aurait-t-elle perdu l’hornrne

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La technique est donc presque une constante de l’histoire humaine, elle est presque toujours-déjà là. Il y aurait donc comme une permanence de la technique qui ferait que l’homme a presque toujours vécu en sa présence et c’est sans doute parcellisée apportait des moyens de se sortir de situations précaires et d’améliorer sans cesse sa condition de vie ; en choisissait les matériaux les plus adaptés l’action, l’homme a pu se sauver de sa condition originelle et progresser à une vitesse sans cesse croissante. Seulement voilà, cette vitesse n’est elle pas plutôt une course ?

Il semble en effet que la technique, dans sa course effrénée, aurait pu dépasser l’homme et gagner du terrain. On remarque donc que, d’un côté la technique, est un l’homme premier boy ruelle I parapha 22, 2009 15 pages est presque toujours-déjà là. AI y aurait donc comme une progrès swaps toi vie nixe page progrès, un pouvoir de l’homme sur la matière qui a consacré son évolution mais, paradoxalement, ce même progrès semble avoir un effet néfaste sur la vie humaine en tant qu’il aurait dépassé l’homme, qui n’en est plus maître. Alors, la technique-a-t-elle perdu l’homme ?

I/ L’homme sauvé par la technique ; la maîtrise de la matière. * On ne cesse de louer chaque jour les progrès que l’homme fait dans tous les domaines, par sa maîtrise effective de la technique et c’est pourquoi on voit mal pourquoi elle aurait perdu l’homme ou l’aurait devancé ; il semble plutôt plus que jamais la maîtriser. Par sa maîtrise de la matière et par une collaborait de l’intelligence et du corps, l’homme a même su maîtriser la nature : il suffit de voir les barrages qui canalisent les courants, les digues pour éviter les inondations etc. C’est ce qui sauve ‘homme des aléas de la nature. En effet, la technique aurait en quelque sorte sauvé l’homme et on le voit déjà aux sources de notre culture, dans La Bible : l’homme est d’abord un être quasi-divin qui doit régner sur l’univers mais, seulement, sa soif de connaissance va l’entraîner dans le tout premier pêché : voler le fruit interdit de la connaissance. En guise de punition, Dieu les chasse du paradis originel, mettant ainsi fin à l’abondance sans effort et forçant l’homme à travailler pour subsister à ses besoins.

Partant de là, on peut donc dire que la technique réveillera pour subsister à ses besoins. Partant de là, on peut donc dire que a technique a vraiment sauvé l’homme puisque, le travail étant étymologiques une torture (et présenté comme tel dans la Bible :  » C’est dans la peine que tu t’en nourriras [le sol] tous les jours de ta vie, il fera germer pour toi l’épine et le chardon et tu mangeras l’herbe des champs »), c’est par la fabrique d’outils et la maîtrise de la technique que l’homme à pu survivre => victoire de l’homme sur les famines.

L’homme semble donc bien depuis le début de notre histoire être un « technicien ». C’est vrai si l’on remonte dans l’histoire : la préhistoire a vu les hommes se munir peu à peu d’outils et créer ce qui restera comme un socle dans nos sociétés ; des formes primitives d’agriculture, de chasse ou encore de gomment. Il semble donc bien que l’homme ait assez vite compris l’usage qu’il pouvait faire de la technique et la maîtrisée, loin de se perdre par elle. Puis, toute l’histoire semble vérifier cela ; les techniques ne cessent de s’améliorer et les hommes ne cessent de la maîtriser (donc, homme pas perdu) que l’on pense aux pyramides des égyptiens ou aux cathédrales du Moyen- âge, qui associent le travail de l’artisan et de l’artiste (sculpture aussi, on pense même qu’elles ont été peintes) ou que l’on pense aussi aux machines à vapeur qui ont amené de grands progrès dans la mobilité et le travail, maintenant facilité. Vapeur qui ont amené de grands progrès dans la mobilité et le travail, maintenant facilité.

L’homme produit donc de la culture (cathédrales et pyramides en font bien partie) grâce à la technique et contre la nature qui représente l’étrangeté et la grossièreté dont il cherche à se défaire. * N’oublions pas non plus les progrès de la technique dans e domaine de la médecine, qui a permis à travers les âges de sauver de plus en plus de vies. => Bref, on pourrait multiplier es exemples qui nous montrent a priori que la technique est loin d’avoir perdu l’homme ; en d’autres termes l’homme aurait maîtrisé la matière et en aurait tiré des effets positifs.

Autrement dit, la technique vise à se saisir de la matière que représente la nature et à la transformer pour la maîtriser, c’est-à-dire la contrer, en réduire les effets négatifs sur notre existence d’homme tri : ces dessertes qui résume le mieux cela dans le Discours de la Méthode, présentant la technique tel qu’un moyen de « nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature ». Mais ce « comme » a une importance toute particulière : cette maîtrise ne serait-elle qu’une illusion ? L’homme maîtrise-t-il vraiment cette technique ? Ne la-t- elle pas condamnée ?

On a certes bien vu qu’elle avait pu sauver l’homme car elle était apparue presque avec lui mais en même temps, c’est là qu’est le pp : spontanément les hommes n’ont pas été portés à réfléchir sur les technique c’est là qu’est le pp : spontanément les hommes n’ont pas te portés à réfléchir sur les techniques qui les ont accompagnés et l’on peut parler d’une sorte de cécité de l’homme face à la technique, qu’il ne voit littéralement plus ; il est comme perdu. AI/ L’homme perdu par la technique. * En effet, il semble parfois que l’homme soit dépassé par cette technique qu’il semble à mal de maîtriser parfaitement.

La nature, par exemple, que l’on croit tant maîtriser par l’usage de la technique reprend parfois ses droits et montre que le dit pouvoir de l’homme sur la nature est bien fragile => Catastrophes naturelles encore inévitables de nos jours. Alors, s’il est vrai qu’on loue la technique, on ne saurait ignorer les mises en gardes presque aussi fréquentes contre celle-ci ; on se méfie du progrès. On peut même quelques fois y voir la marque d’une véritable technologie : les techniques et les techniciens ont inspiré pendant longtemps un véritable mépris, et de la méfiance.

Déjà chez les anciens, les mythes contribuaient à faire naître une méfiance vis-à-vis de la technique. On pense immédiatement au mythe de promettre, qui est puni pour avoir volé la technique et l’avoir donné aux hommes qui, de reçoit, sont incapables de vivre avec cette seule technique, il faut la politique pour la contenir (on voit donc déjà se dresser une hiérarchie). On peut donc nettement observer une technique qui a perdu l’homme, se dresser une hiérarchie). On peut donc nettement observer une technique qui a perdu l’homme, et même l’homme divin.

cf. promettre enchaîné d’scelle : « C’est cause des faveurs que j’ai procurées aux mortels que je me vois sous le joug de la nécessite, infortuné que je suis ». Pour avoir sauvé les hommes avec la technique, promettre est donc puni et, ironie du sort, il est lui même, ans la pièce, puni par la technique (insistance sur les outils qui le clouent à son rocher) => présentant du caractère à double tranchant de la technique. Alors pour quel es raisons se méfie-t-on de la etc.. ? Comment la technique-t-elle perdu l’homme ? S’il est vrai que, comme nous l’avons vu, la technique donne un certain pouvoir à l’homme, il semble que ce pouvoir aie pris le pas sur le reste, il a en quelque sorte dépassé l’homme et a gagné la course, il la laissé perdu quelques mètres derrière ; l’évolution de la technique marque bien cette course à la puissance, au mépris de la autre et du travailleur : sa capacité à libérer du travail a été source de chômage et de déshumanisation = on voit de plus en plus dans le domaine du travail l’homme disparaître pour laisser place à une machine qui fait le travail à sa place.

C’est donc bien une perte de l’homme au sens le plus concret du terme. * Pour rousseur, c’est aussi la technique qui a perdu l’homme, qui la en que sorte dénaturé, éloigné de ce qu’il était vraiment. Technique qui a perdu l’homme, qui la en que sorte dénaturé, éloigné de ce qu’il était vraiment. Dans le Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, il fait partir la naissance de l’homme moderne depuis la technique (avec ses premiers efforts d’agriculture, de travail du fer etc. … Et montre que l’homme, lorsqu’ était à l’état de « sauvage » , tirait a contraria sa force de son corps, et non pas des outils (il n’en avait pas, et il était donc bien obligé de div. son corps). rousseur arguer que c’est donc bien l’outil (z la technique) qui a affaibli l’homme : homme sauvage homme civilisé AC. Outils MAIS homme sauvage homme civilisé sans outils.

Le corps de l’homme sauvage est le seul instrument qu’il connaisse ». A partir de là, il est clair pour rousseur qu’en dépassant la Nature de la sorte, l’homme s’est condamné, il s’est perdu dans un chemin sans retour : cela a fait naître les premières inégalités (faim, richesse qui permettait que certains soient plus oisifs que d’autres … ).

Ce comportement, qui a pris le contre pied de la Nature, fait dire a rousseur que l’homme civilisé est donc un « homme dépravé » bien loin de la « bonne constitution des sauvages », homme devient de + en + faible alors que l’homme primitif est apte à survivre sans les acquisitions techniques de l’état social => rejet de la médecine, santé animal homme social (en acquisitions techniques de l’état social rejet de la médecine, santé animal homme social (en effet, AC la médecine de l’époque de rousseur, on avait peu de chance de sortir en bonne santé « Avec si peu de sources de maux, l’homme dans l’état de nature n’ donc guerre besoin de remèdes, moins encore de médecins ». rousseur en déduit donc une certaine inutilité de l’outillage pour l’homme sauvage, qui peut très bien vivre sans : « le premier qui se fit des habits ou un gomment se donna en cela des choses peu nécessaires ».