jean denis bredin
Jeanne Le Perthuis des Vauds Personnage principal, Jeanne est une jeune fille, blonde aux yeux bleus. Ayant reçu une éducation destinée a éveiller en elle l’amour de la nature, elle ne connait rien des réalités et rêve de l’homme idéal. Elle est persuadée de la beauté et de l’innocence du manage. Si elle croit le trouver en Julien, elle ne connaîtra comme amour que la bestialité sexuelle de son mari, et son hypocrisie. Elle consacre sa vie à son fils qui part à l’âge de 15 ans. Elle reste en contact avec lui mais il lui manque énormément et elle souffre beaucoup de son absence.
Le personnage de Jeanne est inspiré de Laure de Maupassant, d’Emma Bovary et de Mme Aubain (Un cœur simple). Les parents de Jeann Le baron Simon-Jacq est fidèle à Rousseau grande force et sa gr qui n’avait pas assez ors s : le père, qui mais faible : « Sa bonté, une bonté our donner, pour étreindre, une bonté de cr ateur, eparse, sans résistance, comme l’engourdissement d’un nerf de la volonté, une lacune dans l’énergie, presque un vice. » Il est rousseauiste dans son amour pour la nature. Ce personnage est inspiré des grands-pères paternel et maternel de
Maupassant. La baronne, Adélaïde : la mère, atteinte d’une h page hypertrophie cardiaque dont elle se plaint souvent. Elle garde en secret des souvenirs d’une aventure à laquelle elle se rattache. Elle se promène souvent dans l’allée du manoir familial, appelée pour cela « l’Allée de petite mère » par Jeanne. Julien de Lamare Mari de Jeanne. Ils se rencontrent peu de temps après l’arrivée de Jeanne aux Peuples (nom donné à l’imposante bâtisse familiale du baron, qui deviendra la propriété du couple Jeanne/Julien). Ils se marient 3 mois après.
Ils partent en voyage de noces en Corse, mais à leur retour, Jeanne découvre que son mari est avare et égoÉte. Peu de temps après, elle découvre qu’il a mis enceinte sa servante. Julien veut alors abandonner la servante, mais sa femme s’y oppose et lui trouve un mari. Jeanne tombe enceinte, elle s’éloigne vite de son mari pour s’adonner entièrement ? son fils. Mais Julien se désintéresse totalement de celui-ci et se tourne vers une voisine avec laquelle il noue une liaison. Jeanne l’apprend mais ne réagit pas. Mais quand le mari de la voisine est verti de sa liaison avec Julien par l’abbé, il devient fou.
Il précipite alors le couple d’une falaise. Après la mort des amants, Jeanne, veuve, ne dit rien, malgré ce qu’elle sait. Elle donne naissance ? une fille morte-née le jour de la mort de son mari. Paul Fils légitime de Jeanne surnommé Poulet par Jeanne, Lison -la tante et le baron. Il vit aux Peuples, la ma légitime de Jeanne surnommé Poulet par Jeanne, Lison -la tante et le baron. II vit aux Peuples, la maison familiale. Enfant chéri par sa mère, son grand-père et sa grand-tante, il ne dispose pas ‘une très bonne education. À 15 ans, il est envoyé au collège au Havre. Il fugue cinq ans plus tard sans laisser de nouvelles.
Il voyage entre Londres et paris à la recherche d’une affaire qui le rendra riche. Malheureusement, il s’endette et n’a plus comme solution que de demander de très grosses sommes à sa mère qui doit vendre ses propriétés pour aider son enfant qu’elle n’a pas vu depuis de nombreuses années. Paul rencontre une fille dans les bas-fonds de Paris qu’il n’épouse que juste avant sa mort pour sauver leur enfant juste née. Malgré tous ses défauts, Paul occupe constamment l’esprit de sa mère, qui voit sa maitresse (une prostituée rencontrée à Paris) comme une rivale, mais recueillera cependant son enfant dans le dernier chapitre.
Rosalie Servante pendant presque tout le roman. Elle était la sœur de lait de Jeanne, puis elle l’accompagne dans sa vie, malgré le désespoir que vit Jeanne tout le long de sa vie par sa faute. Elle quitte la famille après avoir été mise enceinte par Julien mais revient 24 ans plus tard pour aider sa sœur de lait en difficulté avec son fils. Le fils de Rosalie, Denis Lecoq, est un jeune fermier ; il décide de reprendre la ferme de sa mère et de se Denis Lecoq, est un jeune fermier ; il décide de reprendre la ferme de sa mère et de se marler. Tante lison l. ortrait Cest la sœur de la baronne. Célibataire, pas jolie, vieille fille (chapitre 11 : « restée fanée dès l’âge de 25 ans ») Très émotive, n’a jamais reçu d’affection ; elle est très émue face aux marques d’affection adressées aux personnes de son entourage : Jeanne et Julien (chapitre 4 : « N’avez-vous point froid à vos petits pieds ; Tante Lison se mit à pleurer par gros sanglots car on ne lui avait jamais dit ces choses-là ») mais aussi Paul (chapitre 11 : « Tante Lison en voulait au chien de prendre une si grande part de l’affection du petit de l’affection qu’elle aurait tant désirée ».
Très religieuse, très pieuse, ne comprend pas qu’on puisse ne pas aller à l’église ; parle de Dieu à Paul lorsqu’ils sont seuls. Malheureuse : tentative de suicide à 20 ans « poursuivie par l’idée qu’elle gênait tout le monde, qu’elle était inutile et importune » DÜCII.
Inexistence Quelque chose comme une ombre, un objet familier, un meuble vivant qu’on est accoutumé à voir tous les jours mais dont on ne s’inquiète jamais » ; « elle n’avait jamais compté pour rien dans la famllle » ; « on ne l’embrassait guère » Familiarité/mépris « c’est un de ces êtres qui ne savent ni entrer dans l’existence ni dans les habitudes, ni dans l’amour de ceux qui vivent à côté d’eux ». Sa tentative de su PAGF l’existence ni dans les habitudes, ni dans l’amour de ceux qui vivent à côté d’eux’. Sa tentative de suicide ratée est considérée comme un « coup de tète ».
Elle s’est isolée toute seule : dès sa jeunesse, lorsque la baronne lui propose de la garder, elle refuse et va s’enfermer dans une maison religieuse. Inconnue de ses proches, sa présence et ses larmes sont vite oubliées. Cl POURTANT : seule invitée au mariage de Jeanne ; à la mort de petite mère elle joue en quelque sorte le rôle de seconde mère pour Jeanne ; c’est la marraine de Paul ; Jeanne la regrettera « Jeanne, chaque nuit, rêvait qu’elle habitait aux Peuples. Elle s’y retrouvait comme autrefois avec père et petite mère, et parfois même avec tante Lison ». 0ûC Ill.
Présence Personnage à la fois discret et très présent aux moments les plus importants du roman : n- nombreux cadeaux pour le mariage • « elle s’occupa du trousseau avec une énergie singulière, une activité maladie de Jeanne qui suit la découverte de l’infidélité de son époux0- période de la grossesse et de l’accouchement de Jeannen- baptême de Paula- enterrement de petite mère, enterrement de Julienn- éducation de Paul. Elle représente la religion : pensionnaire dans un couvent, très pieuse, seule à aller à la messe, se charge de l’éducation religieuse de paul. o