Jean de la fontaine
En 1641, il entre l’Oratoire. Mais dès 1 642, il quitte cette carrière religieuse, préférant lire l’astre, d’Honoré d’urf, et rebellais, plutôt que Saint augustes. AI reprend des études de droit et fréquente un cercle de jeunes poètes : les chevaliers de la table ronde, où il rencontre polisson, français Charpentier, tellement des réseaux, et antenne de Rambouillet de La Sablière, qui épousera la future protectrice du poète narguerait de La Sablière. Il obtient en 1649, un diplôme d’avocat au parlement de Paris.
Entre temps, en 1647, son père lui organise un mariage de complaisance avec Marie arracherait, à la forte-million. Marie arracherait est la fille du lieutenant civil lois arracherait, criminel du balisage de La forte-million, et d’gènes Petit. Le premier boy princes I baffle 22, 2009 7 pages Entre temps, en 1 647, son père lui organise un mariage de contrat de mariage est signé dans cette bourgade proche de Château-théière le 10 no novembre 1647, chez le notaire théière français. AI est alors âgée de 26 ans et elle de 14 ans et demi. Elle lui donne un fils, charges. Il se lasse très vite de son épouse qu’il délaisse.
Ses fréquentations parisiennes, pour ce que l’on en sait, sont celles des sociétés précieuses et libertines de ‘époque. En 1652, La Fontaine acquiert la charge de maître particulier triennal des eaux et des forêts du duché de Château-théière, à laquelle se cumule celle de son père à la mort de celui-ci. Tâche dont on soupçonne La Fontaine de ne guère s’occuper avec passion ni assiduité et qu’il revendit ?intégralement en 1672. C’est aussi qu’il amorce une carrière de poète par la publication d’un premier texte, une comédie adaptée de étrenne, L’Eunuque, en 1 654, qui passe totalement inaperçue.
En 1658, il entre au service de évoquée, sursautaient des Finances, auquel, outre une série de poèmes de reconnaissances prévus par contrat – une « pension poétique » – il dédie le poème épique adonnais tiré d’évidé et élabore un texte composite à la gloire du domaine de son patron, le Songe de Vaux, qui restera inachevé, car évoquée est arrêté sur ordre de lois SUIVI ; La Fontaine écrit en faveur de son patron en 1662, l’Ode au Roi puis l’Élégie aux nymphes de Vaux.
Certains biographes ont soutenu que cette défense de évoquée lui avait valu la haine de Jean-baptisé colvert, puis celle de lois SUIVI lui-même, sans que l’on ne dispose de témoignages clairs à ce sujet. On ne sait pas exactement si son voyage en Limousin e dispose de témoignages clairs à ce sujet. On ne sait pas exactement si son voyage en Limousin en 1 663 est un exil ordonné par l’administration lois SUIVI, ou une décision librement consentie d’accompagner son oncle jeûnant, lui exilé.
Il tire de ce déplacement une Relation d’un Voyage de Paris en Limousin : il s’agit d’un récit de voyage sous forme de lettres en vers et en prose adressées à son épouse, publié de façon posthume. En 1664, il passe au service de la duchesse de Bouillon et de la duchesse d’Orléans. La Fontaine partage alors son temps entre Paris et Château-théière en qualité de initialement – ce qui assure son anoblissement. C’est le moment où La Fontaine fait une entrée remarquée sur la scène littéraire publique avec un premier conte, tiré de l’arrosée, jockey.
Cette réécriture suscite en effet une petite querelle littéraire, sous forme d’une compétition avec la traduction qu’en a proposée Bouillon peu de temps avant ; le débat porte sur la liberté dont peut disposer le conteur par rapport à son modèle : là où le texte de Bouillon est extrêmement fidèle, voire parfois littéral, celui de La Fontaine s’écarte à plusieurs reprises du récit du râlant furieux. La Dissertation sur jockey, qu’on attribue traditionnellement à bouleau, tranche le débat magistralement à l’avantage du conte de La Fontaine.
Deux recueils de contes et nouvelles en vers se succèdent alors, en 1665 et 1666, dont les canevas licencieux sont tirés notamment de bocage et des Cent nouvelles nouvelles. C 1666, dont les canevas licencieux sont tirés notamment de bocage et des Cent nouvelles nouvelles. Continuation de cette expérience narrative mais sous une autre forme brève, cette fois de tradition morale, les Fables choisies et mises en vers, dédiées au Grand Dauphin, paraissent en 1668.
En 1669, La Fontaine ajoute un nouveau genre à son activité en publiant le roman Les amours de Psyché et de coupions, qui suscite une relative incompréhension au vu de sa forme inédite : mélange de prose et de vers, de récit mythologique – cette fois tiré d’épaule – et de conversations littéraires, le texte contrevent à des principes élémentaires de l’esthétique classique. C’est à partir de la fiction des « quatre amis » que met en scène ce roman qu’on a spéculé sur l’amitié qui unirait La Fontaine, molaire, bouleau et Racine, sans grande preuve : si La Fontaine est lié de façon éloignée à la famille de
Racine, leurs relations sont épisodiques ; les rapports avec molaire ne sont pas connus si tant est qu’ils existent ; quant à bouleau, il n’ a guère de trace d’une telle amitié. Après sa participation à un Recueil de poésies chrétiennes et diverses édité en 1670 par Port-Royal, La Fontaine publie successivement, en 1671, un troisième recueil de Contes et nouvelles en vers, et un recueil bigarré, contenant des contes, des fables, des poèmes de l’époque de évoquée, des élégies, sous le titre de Fables nouvelles et autres poésies.
En 1672 meurt la Duchesse d’Orléans : La Fontaine connaît lors nouvelles et autres poésies. Alors de nouvelles difficultés financières ; narguerait de La Sablière l’accueille et l’héberge quelques mois après, probablement en 1673. En 1674, La Fontaine se lance dans un nouveau genre : l’opéra, avec un projet de collaboration avec Jean-baptisé ululer, qui avorte. C’est l’occasion d’une violente satire de La Fontaine contre ululer, registre rare dans son couvre, mais où il excelle en ce poème intitulé Le flottèrent.
La même année, un recueil de Nouveaux Contes est publié – mais cette fois-ci, sans qu’on sache très bien pourquoi, ‘édition est saisie et sa vente interdite : si La Fontaine avait chargé le trait anticlérical et la licence, reste que ces contes demeuraient dans la tradition du genre et dans une utopique qui rendait relativement inoffensive leur charge. Après deux recueils de Contes, c’est à nouveau un recueil de Fables choisies et mises en vers que publie La Fontaine en 1678 et 1679, cette fois-ci dédié à Madame de montantes, maîtresse du Roi : ce sont nos actuels livres VIA à SI des Fables, mais alors numérotés de I à V.
Période moins faste, où les productions sont quantitativement moins importantes, mais non moins versée : ainsi, en 1682, La Fontaine publie un « Poème du Quinquina », poème philosophique dans la manière revendiquée de lucre à l’éloge du nouveau médicament, et accompagné de deux nouveaux contes. L’activité littéraire des années 1665-1679 se solde en 1 accompagné de deux nouveaux contes.
L’activité littéraire des années 1665-1679 se solde en 1684 par une élection, néanmoins tumultueuse, à l’Académie française, sans qu’on puisse préciser les exactes raisons de cette difficulté : on a pu faire l’hypothèse que l’administration lois-quatorzième gardait rancune au ôté qui avait publié deux poèmes en faveur de évoquée lors du procès de celui-ci ; le discours des opposants à cette entrée de La Fontaine à l’Académie s’appuie quant à lui sur l’accusation d’immoralité lancée contre les recueils de Contes et nouvelles en vers.
Toujours est-il que La Fontaine, après une vague promesse de ne plus rimer de contes, est reçu le 2 mai 1684 à l’Académie, où, en sus du remerciement traditionnel, il prononce un Discours Madame de La Sablière où il se définit, en une formule fameuse, comme « papillon du paresse ».
L’année suivante, l’Académie est encore le cadre d’une veuille affaire dans laquelle est impliqué La Fontaine : antenne fruitière, qui en composant son propre dictionnaire a passé outre le privilège de la compagnie en cette matière, est exclu, et lance une série de pamphlets notamment contre La Fontaine, son ancien ami, qu’il accuse de trahison et contre lequel il reprend l’accusation de libertinage.