Jade

essay A

Titre : Sunday bloody sunday (dimanche sanglant) Date : Février 1983 Auteur : IJ2 (groupe Irlandais) Durée : 4m43 Style Rock Contexte historique ‘Le Contexte Historique : -> fin des années 1960, l’Association nord-irlandaise (NICRA) > met en place une campagne non-violente pour promouvoir l’égalité de droits entre catholiques et protestants. En 1972, le 30 janvier, lors du dimanche sanglant, des catholiques font une manifestation où 14 civils ont été tués par l’armée anglaise Il/AnaIyse de la chan Le groupe de IJ2 : or 3 112 est un groupe irla ais est composé de Bon Evans) à la guitare, a t Larry Mullen Junior la batterie. 76 à Dublin. II t, The Edge (David Clayton à la basse Ce titre est l’un des plus célèbres du groupe non seulement d’un point de vue musical grâce à l’orchestration mais aussi de son engagement politique. Dans L’introduction Le morceau commence par l’une des intro batteries les plu page plus connues au monde -> « riff » est repris tout au long de la chanson. rappelle le rytme militaire durant les défilés Dans le 1er couplet : Bono semble horrifiés par ce qu’il voit aux informations, il ne peut rester insensible et impuissant (« i canit beleive the news today, can’t close my eyes and make it go away »).

Combien de temps aura-t-il besoin de chanter cette chanson ? (« how long must we sing this song »). Dès ce soir les irlandais se réuniront pour ne former plus qu’un (« cause tonight we can be as one »). Dans le 2eme couplet : Le ton se durcit. Bono y décrit un champ de batallle (« broken bottle under children field »), des corps gisent sur le sol (« body accross the dead en street ») et il crie sa colère (« i put my backup against the Wall »). Dans le Solo : Le solo a une construction spécifique. Il ne reprend pas la ligne mélodique du morceau mais emprunte plutôt une technique ropre à la musique ‘rlandaise.

Il s’agit de la technique du bourdon qul utilise les cordes à vide afin de faire raisonner le solo. Dans le pont Juste après le solo arrive une parenthèse. Bono de faire raisonner le solo. Juste après le solo arrive une parenthèse. Bono demande d’arrêter de pleurer (« wipe your tears away »), preuve que la guerre n’est pas une fatalité et qu’il faut garder espoir envers l’avenir. Que l’on doit continuer à construire le futur en ayant conscience de cette tragédie ! Dans le 3eme couplet Bono y accuse les médias.

Ceux qui nous montrent la violence u quotidien et qui du fait rendent difficile le discernement entre la fictlon et la réalité et qui, en quelque sorte, banalisent la violence au point qu’elle ne choque plus personne (« and it’s true we are imune when fact are fiction and tv reality’). Pourtant les gens pleurent et de nombreuses gens risquent encore de mourir parfois dans une totale indifférence (« and tadays the millions Cry, we eat and drink while tomorow they die »). Mais la bataille réelle ne fait que commencer. Non pas celle qui va voir la victoire des catholiques et des protestants mais celle qui prouvera la victoire de Jésus.