Istanbul / byzance
Photos (c) auréole louchait – Décembre 2007 millénaire. Mais puisqu’ faut choisir… Nouveaux chapitres. Après la modernisation par tatouer, l’Union européenne, peut-être ? Dans ce marathon-là, statuais joue clairement le rôle de moteur du pays. Dans la ville, chacun a son opinion sur la question : faut-il ou non plus occidentale de turque. Son ambiance unique I [Pic] I [pic]Zoom De cette richesse historique résulte une ambiance singulière. Une ville entre tradition et modernité. Des coupures d’électricité à répétition dans le veux quartier de
sultanat, des muezzins qui chantent la grandeur de Dieu à 5 heures du matin, des chats qui se promènent jusque dans Sainte-sophiste sous l’Oiil bienveillant de l’ensemble de la population… statuais, c’est aussi une passion pour le football et le bookmaker, un regard amusé sur les touristes persuadés que tous les Turcs s’habillent en derviches tourneurs, une envie de croissance économique et des klaxonner qui retentissent sans cesse. C’est la ville la plus laïque du pays ; mélange hétéroclite des genres, les habitudes vestimentaires oscillent entre le voile irrationnel et l’universel jean-baskets.
On achète des épices comme des téléphones portables et des téléphones portables comme des épices. Lorsqu’ est touriste, on négocie. En quelques phrases, la barrière commerciale tombe et la chaleur méridionale apparaît. La descendance de byzantine offre une atmosphère inimitable. Ses monuments Cette ambiance résulte en partie de la présence de lieux exceptionnels à chaque coin de rue. Connue pour être la plus d’une vaut le coup d’Oiil. D’abord, la fameuse mosquée bleue, Sultan émet campa de son vrai nom.
Une réveiller d’esthétiser qui fit jaser lors de sa construction six minarets, de quoi égaler la moque. En face, un autre témoin du riche passé stimulation. Ah sofa se dresse fièrement habillée de mosaïques chrétiennes et symboles musulmans. Comme pour réconcilier tout le monde, le lieu de culte est aujourd’hui devenu musée. On découvre quelques pas de là le palais de tapotait, ses multiples cours, ses bijoux, son harem. Si des hordes d’étrangers ne circulaient pas appareils photo et caméras greffés au poing, on imaginerait facilement les événements passés entre ces ours.
Son paradis gustatif Pour quelques livres turcs, on déguste de délicieux bâcleras, touriste diligent et autres merveilles sucrées. Le paradis à portée de bouche, comme souvent lorsqu’ s’agit de nourriture à statuais. On saute du lit le matin pour engouffrer un petit-déjeuner servi presque partout sur un toit-terrasse avec vue imprenable sur la ville. Du fromage, des olives, tomates, concombres, quelques gâteaux, du yaourt, de la confiture et des oranges : ce ne sont pas les Anglais mais les Turcs qui convertiront le monde au petit- déjeuner sucré-salé.
Qui aurait encore faim après ça ? Personne, mais comme à midi, en sortant du Grand bazar, un stand proposera des « képi » à 2,50 livres turques (moins de 2 héros), on ne pourra pas résister. Sceptre proposera des « képi » à 2,50 livres turques (moins de 2 héros), on ne pourra pas résister. Sceptique ? Vous n’avez encore jamais goûté le véritable « sandwich grec » turc. Rien à voir avec l’énorme chose saturée de graisse qu’on nous sert en France. Ici, on parle viande fraîche et épices. Suite la mayonnaise, le ketchup et, le plus souvent, les frites.
Et pour ceux qui ne seraient pas carnivores, il suffit d’un saut au port d’éminent pour trouver son bonheur. Seule contrainte : éviter les nombreux rabatteurs qui tentent désespérément de remplir leurs bateaux de touristes pour des phosphores tour. On peut alors dévorer en paix son sandwich au poisson fraîchement pêché. Ses quartiers I [pic] Tant qua être à éminent, autant en profiter pour passer le pont galant et rejoindre l’autre berge. On tombe dans une autre statuais car ici chaque quartier se différencie singulièrement de ses voisins.