Interer Des Microorganism OGM

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Plan Introduction l- Généralité sur les microorganismes A- Définition B- Quelque exemple de microorganismes ll- L’importance des microorganismes dans l’amélioration des conditions humaines A- Quelques exploits len org microorganismes B- L’intérêt des micro Sni* to View ce aux tian des OGM Ill- Conséquence des OGM sur la santé animale et végétale Conclusion vivants à structure cellulaire simple (un chromosome dans le cytoplasme), de petite taille (1 ou 2 micromètre). 1 -Bactéries lactiques du yaourt; 2-Paramécies; 3-Pénicillium; 4-Staphylocoques dorés; 5-Virus de la grippe; 6-SalmonelIes

Certaine sont inoffensives (bactéries du yaourt), d’autre sont pathogène (provoquent des maladies). Les virus : 10 à 1 000 fois plus petit que les bactéries. Ils sont inertes en dehors de cellules. Les champignons, pathogènes (mycoses) ou non (bleu des fromages, levures,… ). Il y a aussi les protozoaires, (paramécies par exemple). Les micro-organismes (microbes) sont très divers et se trouvent partout dans notre environnement. Les microorganismes longtemps considéré comme des organismes nuisible a la vie ; ont permit aux scientifiques de réaliser beaucoup de succès dans l’amélioration de la condition humaine.

Ses succès se remarque aussi bien sur le plan agricole ; médicale que industriels. A- Quelques exploits scientifiques réalisés grâce aux La première utilisation des micro-organismes génétiquement modifiés est la production de médicaments – insuline, vaccins, etc. – ou de molécules industrielles. Ainsi, certains industriels travaillent actuellement à la mise au point de biocarburants issus de micro-organismes transgéniques. La plupart du temps les micro-organismes ne quittent as les laboratoires vivants.

Dans le domaine agricole, I Wisconsin a déposé une l’Université du Wisconsin a déposé une demande d’autorisation ‘essais en champ pour des bactéries Erwinia carotovora génétiquement modifiées afin d’inactiver la pathogénicité de cette bactérie pour les pommes de terre… Et l’Université du Kentucky a déposé une demande similaire pour des champignons Neotyphodium génétiquement modifiés qu’elle entend aussi disséminer à grande échelle Dans l’alimentation transformée, il est de plus en plus courant que les additifs et les arômes soient produits, en milieu confiné, par des micro-organismes génétiquement modifiés.

Ces derniers sont concrètement présents dans le produit fini. Ils figurent donc ur la liste des ingrédients. Ils sont aussi soumis à une procédure d’évaluation et d’autorisation, quasiment identique à celle des plantes génétiquement modifiées. B- L’intérêt des microorganismes dans la création des OGM Un Organisme Génétiquement Modifié (OGM) est un organisme (une plante, un animal, une bactérie, un virus) dans lequel on a introduit artificiellement un ou plusieurs genes, soit inconnus de l’espèce à laquelle appartient cet organisme, soit appartenant à l’espèce mais ayant subi plusieurs manipulations génétiques.

L’introduction de ces gènes conduit à la production e protéines qui confèrent de nouveaux caractères à l’organisme génétiquement modifié. L’intérêt des OGM réside dans les propriétés que nous pouvons leur apporter et qui visent à améliorer par exemple la culture d’une plante, ou ses qualités nutritives. Les gènes les plus souvent retrouvés chez les OGM sont généralement de résistance à un antibiotique, à un désherbant retrouvés chez les OGM sont généralement de résistance à un antibiotique, à un désherbant ou à une toxine.

Ill- Conséquence des OGM sur la santé et l’environnement A- Les OGM et la santé Les allergies : Tout OGM est potentiellement allergisant car il n’est pas reconnu par l’organisme qui le reçoit, que ce soit par voie digestive ou par voie aérienne. Les expériences ont montré le pouvoir allergisant du « soja à la noix » : la noix de Brésil est un aliment reconnu pour provoquer des allergies chez certains individus. Par conséquent, on a dû soumettre le soja OGM qui a été créé à partir d’un des gènes de la noix à une multitude de tests pour vérifier si la protéine produite par ce gène avait conservé son pouvoir allergène.

Pour le savoir, les chercheurs ont mis en contact la dite rotéine avec du sérum de patients connus pour être allergiques. On observa une réaction immunitaire immédiate. Pour cette raison, ce nouveau soja n’a pas été commercialisé, même s’il avait été développé pour Falimentation animale mais qu’en sera-t-il pour les fraises, tomates, et autres bananes transgéniques ? Les intoxications . Aucune preuve expérimentale n’a permis d’éliminer les risques potentiels des molécules insecticides fabriquées par les plantes transgéniques. Ces substances peuvent être toxiques pour le foie, les reins, le cep,’eau.

De même les aliments fabriqués à partir des égétaux qui tolèrent les herbicides peuvent devenir toxiques en raison de leur forte teneur en poisons. Ces derniers peuvent aussi se retrouver dans toute la chaîne alimentaire (lait, viande) jusqu’? des doses maximales PAGF aussi se retrouver dans toute la chaîne alimentaire (lait, viande) jusqu’à des doses maximales autorisées. Les maladies auto-immunes Certaines maladies auto-immunes sont secondaires à l’apparition de complexes immuns circulants formés de substances étrangères fixant des anticorps spécifiques développés contre ces substances extérieures.

Les nouveaux aliments OGM, leurs virus, e peuvent-ils pas passer la barrière digestive et ne peuvent- ils pas créer des phénomènes identiques? S’il n’en est pas ainsi pour les aliments habituels que VHomme a connus peu à peu dans son évolution millénaire, c’est parce que nous avons appris à créer des enzymes adaptées à les disséquer dans notre tube digestif avec l’aide du pancréas notamment. Ces enzymes ont été acquises peu à peu, au cours de l’évolution, et notre corps sait les fabriquer, au jour le jour, en fonction des aliments ingérés.

Encore faut il que l’organisme ait eu un jour connaissance de ces aliments. Il est donc fort probable que le corps mette un certain temps avant d’apprendre à dégrader les brins d’ADN manipulés. Ce qui renforce conséquemment les risques de pénétration digestive, d’allergies et de maladies auto-immunes. Les résistances aux antibiotiques Comme nous l’avons vu précédemment, les chercheurs intègrent souvent un gène de résistance à un antibiotique en même temps que le transgène à la cellule qu’ils veulent modifier.

Le développement de la résistance aux antibiotiques doit être envisagé comme une fatalité. En effet, si la recrudescence de micro-organismes pathogènes due au développement de ésistances aux antibiot recrudescence de micro-organismes pathogènes due au développement de résistances aux antibiotiques est réelle, nous pouvons espérer une parade grâce aux progrès incessants de la blologie moléculaire, qui ne se contentera bientôt plus de produire en masse des substances antibiotiques naturelles, mais qui sera capable d’inventer de nouvelles molécules entièrement synthétiques.

A l’exemple de la bataille à laquelle se sont livrées les espèces au cours de l’évolution, nous ne pouvons pas rester sur des acquis mais devons toujours développé de nouvelles tratégies pour contrer celles de l’adversaire. B- Les OGM et l’environnement Les mutations génétiques • Les plantes génétiquement modifiées pour s’auto protéger contre un insecte, par exemple, pourraient susciter l’apparition d’insectes résistants à ces plantes transgéniques, à la suite d’une mutation génétique « naturelle » chez ces derniers.

Il existe des indices de probabilité de réalisation de ce risque, qui ne découlent pourtant pas des plantes génétiquement modifiées, mais bien des méthodes utilisées classiquement en agriculture. En effet, une toxine produite par la bactérie Bacillus thuringiensis, st utilisée dans différents pays, dont la France, notamment en agriculture biologique, sous forme de bio-pesticide (mélange de bactéries pulvériséés). Il y a donc de nombreuses toxines dans cette pulvérisation.

On en connait actuellement plus de 250 Or, dans certains pays (Malaisie, Japon, Hawai), son application répétée, sous forme de pesticide, a entrainé la sélection de populations d’insectes ravageurs capables de résister à l’act pesticide, a entraîné la sélection de populations d’insectes ravageurs capables de résister à l’action de ce produit. Les effets non désirés : Les plantes Génétiquement Modifiées (PGM) en vue de leur donner une résistance naturelle à un insecte peuvent affecter des insectes non visés par la modification de la plante.

C’est le cas par exemple pour les abeilles et le monarque qui, bien que non indésirables, sont éliminés par certaines plantes génétiquement modifiées. En effet, il a été mené en 1999 une expérience sur le monarque, papillon d’Amérique du Nord réputé pour sa beauté. Des chenilles de ce papillon ont été nourries avec des feuilles artificiellement recouvertes de pollen d’une variété de maïs génétiquement odifié par l’introduction d’un gène commandant la production d’un insecticide contre la pyrale.

Ces chenilles ont connu une croissance plus lente et une mortalité plus élevée que d’autres nourries de feuilles recouvertes de pollen de mais classique. L’expérience a donc démontré le « danger » encouru par le papillon. L’éventuel impact sur les insectes « non cibles » Des insectes utiles comme les abeilles, risquent d’être affectés par le développement des plantes transgéniques. On parle alors d’effet sur les insectes « non cibles c’est-à-dire sur ceux qui e sont pas visés par la modification génétique, mais sur qui la plante transgénique pourrait néanmoins influer le changement de métabolisme de la plante.

Des études portant sur des colzas résistants à un herbicide sont menées à l’Institut Nationale de la Recherche Agronomique (INRA) depuis 1990 et n’ont pas perm l’Institut Nationale de la Recherche Agronomique (INRA) depuis 1990 et n’ont pas permis de mettre en évidence, pour l’instant, des effets sur la mortalité des abeilles, ni sur leur comportement de butinage. Toutefois, même s’il n’est pas encore apparu clairement, surtout en comparaison avec les effets actuels des nsecticides, ce risque ne peut être écarté.

Il est donc nécessaire de procéder à l’analyse des sécrétions des plantes transgéniques mellifères (par exemple le colza), ainsi qu’à l’évaluation de l’incidence d’une exposition à des plantes transgéniques. Conclusion : La technique de transgénèse est encore toute jeune et de nombreuses questions restent en suspens. On constate qu’elle présente de nombreux avantages mais également des risques non négligeables. Utilisés de façon appropriée, les OGM pourraient apporter de nombreux moyens pour contribuer ? l’amélioration des conditions de vie.

Cependant, la rapidité avec laquelle peuvent survenir les modifications entraînées par le génie génétique peut avoir des effets encore inconnus. Le développement technologique intéresse directement la population. Dans la plupart des cas, les interrogations relatives aux OGM sont en lien avec l’environnement. Quant au processus d’obtention de ces derniers, c’est la transformation du vivant qui fait l’objet de préoccupations et soulève des questions de nature éthique sur l’impact que l’avènement de cette nouvelle technologie peut avoir sur la société et sur les individus qui la composent.