Idiot Atelier Du Spec
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Idiot « parce que nous aurions dû nous aimer » C’est un spectacle, de Vincent Macaigne , un metteur en scène de théâtre, acteur et réalisateur français . Ce spectacle est créé en 2009 , librement inspiré du roman éponyme de Dostoïevski . Ceci et « Au moins j’aurai laissé un beau cadavre » (201 1), d’après Hamlet, restent ses meilleures œuvres théâtrales . Il a repris son spectacle de Idiot » de 2009 et l’a retravaillé cinq ans plus tard . Il présente sa nouvelle version de cette pièce en 2014.
La pièce se présente une sorte de lecture e l’ oeuvre de Dostoïevski avec des éléments de la folie et des démesures. La réalis vue des décors et l’a are or 4 portent une nouvelle pr Snivxto les indications donné époque contemporai u roman et libre en es. Ces décisions alité en respectant adaptées à l’ Isages Jusqu’a nos jours. Le spectacle est compos de deux parties, séparées par l’entracte. Premièrement, le spectacle présente une partie consacrée à l’espoir.
L’un des personnages principaux, le prince Mychkine – un jeune homme idéaliste qui croit à l’ amour, à la confiance entre es gens – arrive dans une société différente qui ne respecte pas tous ces valeurs et qui sera complétée avec des vices de l’ avidité, du carriérisme, de la médiocrité et de hypo Swipe to nex: page hypocrisie. Deuxièmement, l’ action se déroule vingtaine d’ années plus tard dans un moment où les espoirs et les illusions sont perdus. La réalité n’ est plus si agréable .
Par conséquence , on établit une liaison entre le passé et le présent Le décor reste un concept très intéressant dans cette représentation de la pièce . Il lie le décor et le jeu des acteurs pour en produire un effet spectaculaire de dramaturgie Par conséquence on va choisir un problématique qui se traite de cette observation : Comment le décor et le jeu théâtrale représentés par ce spectacle résonnent le texte de Dostoievski dans son intégralité et fait incorporer les spectateurs dans son univers .
Avant le début , il y a une « quasi-partie» qui se passe dans la rue . Catmosphère de chaos qui prédomine pendant tout le spectacle de Macaigne commence dès l’entrée du théâtre avec les ries qui introduisent une fête et notamment celle de l’anniversaire de Nastasya. La présence de tous les diffuseurs ( les haut-parleurs des comédiens qui sont sortis dans la rue devant le théâtre et les cris incessants, font une atmosphère de révolte- la révolte de l’ esprit qui est non seulement sur le plateau mais aussi parmi les gens dans la rue.
Ce moyen évoque une relation très proche du publique avec tout ce qui se passe dans le spectacle , y compris toutes les idées de personnages de la pièce. L’ introduction de I’ histoire est présentée aux spectateurs dès qu’ ils attendent l’ ouverture de la salle et PAG » OF d l’ histoire est présentée aux spectateurs dès qu’ ils attendent l’ ouverture de la salle et on perd le sentiment d’ un spectacle mais on sent une action plutôt réelle qui est en train de se dérouler devant nous et parmi nous- au même niveau et non éloignée sur un plateau. L’ exa tation et la folie qui se transmettent aux gens. ?galement il y a plusieurs moyens dans le spectacle pour aire se sentir les spectateurs plus proche de l’ action . Comme, par exemple, après l’ entracte, la décision du metteur en scène de faire fermer les yeux des spectateurs pour qu’ils puissent plonger dans un monde plus confortable et plus intime. Quand on ferme les yeux on se sent seul et on peut se concentrer sur nos pensées intimes. C est un moyen de rester seule avec nous- même . En plus , on n’ est plus des spectateurs , on a l’air de participer dans l’ action De plus, un autre jeu parmi les spectateurs est présenté lors du spectacle .
On observe des comédiens qui sortent et entrent d’ une porte , à gauche de la scène, et les parcours devant la scène . C’ est peut-être un moyen de garder cette proximité avec les spectateurs pendant toute l’ action et de les faire sentir plus proche de l’ histoire. En outre tous les cris et même les touches que Le prince fait aux certains des spectateurs donnent un sentiment de participation dans l’ action. Il semble que le Prince, en touchant quelqu’un, l’invite à partager sa colère et ses émotions. Le décor du spectacle demeure , lui aussi , autant énor