Hydrologie

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En gros dans les latitudes tropicales l’effet de saisonnière est atténué, il ha donc une stabilité d’apport des entremets des milieux marins provenant de l’érosion des continents du à l’action du climat, et particulièrement par la pluie. Et dans les hautes latitudes le contraste est plus fort, apports variables. Sauf exception due à des facteurs locaux. Cette distinction est fondée sur la spécialisation alimentaire des organismes, les organismes dit spécialisés occupent une niche écologique précise contrairement aux organismes désignés comme généralistes.

Pour les milieux tables marins on peut prendre pour exemple les récifs coralliens, et pour les milieux stables continentales les forêts pluvieuses. Dans ces milieux stables il y a un partage premier boy loyers empâta 23, 201 1 13 pages des ressources, il n’ a donc pas de gaspillage, les niches écologiques sont liées entre elles de façon très étroite, il n’ a pas de places pour les opportunistes. Dans les milieu milieux instables il n’ a pas de structures communautaires d’organismes, la boiterais y est plus faible et le gaspillages des ressources y est plus important.

AV. 10. L’évolution des communautés raciales Formation d’un atoll corallien d’après dirais (1842) Force de corsais Équateur Tout commence par l’émergence d’un volcan sous-marin, due à un point chaud, qui forme ensuite une île, autour de cette île se met en place des colonies de coraux formant ainsi une couronne (récif fragment). Ces coraux sont des polypiers vivant en symbiose avec des microcosmes, les soixantièmes, photoélectriques nichées dans ses tissus, pour que cette symbiose soit efficace ces coraux doivent vivre dans la zone infiltrerait.

élite est posée sur la croûte océanique qui en s’éloignant de la dorsale où elle s’est orme connaît une augmentation de la profondeur. De ce fait l’île s’enfonce avec elle de plus en plus profondément, c’est le phénomène de subsistance (ou substrat). Or pour vivre les coraux dans la zone poétiques ou les rayons du soleil sont assez abondants. Le niveau de la mer étant constant, le taux de subsistance et taux d’activité des coraux doivent être équilibrés.

Pour cela le récif construit au fur et à mesure que l’île s’enfonce, tout en formant un bassin récital ou lagon de plus en plus large. Jusqu’ moment où Lille disparaisse sous le construction raciales. Les coraux sont des organismes très exigent (ostentatoire, ostentatoire (23-CC) et ostentation), ils ne supportent pas les fortes variations du point de vu des conditions de vie, ils vivent donc préférentielles dans les milieux stable de vu des conditions de vie, ils vivent donc préférentielles dans les milieux stables.

De plus, ils sont toujours orienté vers le coté orientale. Cela est du aux forces de corsais qui s’exerce à la surface de la Terre du fait de sa rotation autour de sont axe, dans l’hémisphère Nord elle est dirigé vers la droit et à gauche dans l’hémisphère Sud. Les observations sont faites sur des organismes actuels. Premier groupe est celui des Rugueux (totalitarismes), qui fait place au scelleraient (scolariserais) à la crise premier-triais, ce groupe est très proche de ceux observés actuellement.

Les perforations du corail, se fait par les spongieuses, les protozoaires qui sont des organismes coloniaux, ils ont le rôle de rétention des grains carbonates. AV. 11. Conseillées Les conseillées sont de traces fossiles de marche ou de progression d’un animale (ou piste), de sont habitat ou de u tout vestiges de son activité. V Classification et règles de nomenclature V. I . Systématique, Taxinomie et Nomenclature Zoologique La systématique est la science qui s’occupe de la diversité des organismes et de leurs relations.

Elle tient compte de toutes les sciences biologiques (anatomie, écologie, ichtyologie, etc.. ), analyse les propriétés exclusives des taxons (catégories systématiques) et interprète les causes biologiques qui ont déterminé les différences et les méthodes pour obtenir une classification des organismes qui corresponde, autant que possible, à l’ordre naturel de leurs relations. La classification ordonne les organismes en groupes taxons) sur la base de leurs relations, en respectant une certaine théorie, et peut être considérée comme l’aboutissement de la taxinomie.

La nomenclature établit les règles avec séquelles un nom est assigné à chacun des groupes taxinomies qui ont été reconnus. Déterminer un fossile c’est lui attribuer un nom, c’est établir l’espèce à laquelle il appartient. L’espèce représente donc l’unité fondamentale de la classification paléontologique mais quelles sont les règles de nomenclature ? De plus, comment pouvons-nous définir une espèce et à partir de quels critères ? Nous allons d’abord répondre à la première question pour aborder ensuite le problème de la notion d’espèce.

La taxinomie est la science de la classification, notamment des êtres vivants ou fossiles. Dans ce sens restreint, le mot systématique en est un synonyme, mais s’applique toutefois, et plus spécialement à la classification. La classification est un ensemble de catégories auxquelles peuvent être rapportés des individus de telle sorte qu’ils forment des groupes ayant des caractères voisins. Les classifications des animaux et des végétaux s’efforce de traduit le phénomène de l’évolution. Ces catégories sont souvent hiérarchisées.

La classification n’est pas définie car c’est une science récente (environ 150 ans). V. I . 1 . Hiérarchie des catégories taxinomies A la base de la classification il y a l’espèce qui est indiquée base de la classification il y a l’espèce qui est indiquée par deux noms: le premier est e genre et le second, qui est propre à l’espèce, est le nom spécifique. Par exemple, panthère le, panthère tigres, respectivement le lion et le tigre. Remarquons ici que ces deux espèces appartiennent au même genre panthère.

A Eure tour, tous les genres apparentes sont regroupés dans la même famille (par exemple les genres panthère et fêlés dans la famille félidé), les familles sont regroupées dans les ordres, les ordres dans les classes, les classes dans les embranchements. Lorsqu’ monte dans une hiérarchie, on entre dans le besoin humain de classification qui se base sur des principes qui correspondent à des choses réelles. Entre deux espèces d’une même familial e il y a une parenté étroite, reconnue par des caractères génétiques ou anatomiques.

On observe les degrés de similitudes globales, on associe ceux qui se ressemblent pour les séparer du reste. C’est une hiérarchie intuitive, où il y a un traitement équivalent de tous les caractères. V. I . 2. Origine des noms spécifiques et terminaisons des taxons L’origine des noms spécifiques est très variée et n’est pas contrôlée par des règles particulières. Les noms spécifiques peuvent dériver d’un adjectival qui indique une propriété morphologique des espèces (ex.

aspireras longilignes, aux longues épines), ou du nom de la localité géographique où l’espèce a été découverte (ex. Déshéritées boudinées, de La boudée), ou du nom d’une personne (ex. Médication rabougrira, en l’honneur de élucide ‘rabonnir). rabougrira, en l’honneur de élucide d’rabonnir). La terminaison du nom spécifique dépend du genre (masculin, féminin ou neutre) du nom générique (par exemple phylloxeras hétérosexuelle, trilogie ornant, pêchent jacobins, etc.. ). La terminaison du genre suit dans tous les cas les règles de la déclinaison latine.

Les terminaisons les plus couramment adoptées en nomenclature zoologique sont celles indiquées en majuscules italiques dans l’exemple ci-dessous: Embranchement moulus Classe copropriétaire amoncelée Sous-Ordre nomination Super-Famille ploutocratie Famille appliquée Sous-Famille stalinienne Genre travailleras Sous-genre métamorphoseras travailleras (métamorphoseras) stockerai (APPEL, 1 863) Un taxons est groupement hiérarchisé de la classification zoologique ou botanique.

Du plus petit au plus grand ensemble on distingue : une variété, une sous-espèce, une espèce, un genre, une tribu, une sous-famille, une famille, un sous-ordre, un ordre, une sous-classe, une classe, un sous-embranchement, et un embranchement (ou plume). V. 2. Règles de nomenclature La règles de la nomenclature binaire (introduite par lien en 1758) sont contenues dans le Code International de Nomenclature Zoologique (CINQ).

Le graphisme obéit aux règles suivantes: initiale du nom générique majuscule, initiale du nom spécifique minuscule, sous-genre correspond à une subdivision du genre. Les sous-genres doivent être écrits entre parenthèses. Exemple: pêchent (félicitèrent) affilierions (BRIOCHE, 1814). pêchent est le genre et félicitèrent le sous-genre. La règle de priorité s’applique dans les cas de synonymie et d’homonymie. Une seule et même espèce peut être décrite, de façon indépendante, par deux auteurs différents avec deux noms différents.

Par exemple aménités strictes CATAPULTA 1 846 et aménités fasciste CONSÉQUENTS 1848. AI s’agit en effet d’une même espèce et donc fasciste et strictes sont synonymes. Selon la règle de priorité, strictes est le nom valable car créé par catapulta antérieurement à fasciste. Lorsque des auteurs différents attribuent le même nom deux ou plus taxons du même rang hiérarchique ces taxons sont homonymes. La règle de priorité considère que seul le nom créé le premier est valide. Les noms les plus récents devront être remplacés par des noms nouveaux.

Si après la création de l’espèce il s’avère qu’elle est plus récemment classée dans un autre genre, le nom de l’auteur de l’espèce doit être mis entre parenthèses: Par exemple altérerons strictes (CATAPULTA, 1846). Une espèce n’est valable que si elle est définie selon les règles du CINQ. Elle doit être définie à partir d’un exemplaire-type qui s’appelle houlette. Toutefois chaque espèce est cosmonaute par des populations dotées d’une variabilité des caractères que le seul houlette ne peut représenter.

La description d’une nouvelle espèce doit être basée donc sur tous les du niveau sténographique de provenance. La création d’un un nouveau taxons doit être oc tous les du niveau sténographique de provenance. La création d’un un nouveau taxons doit être accompagnée d’une daignons où sont synthétiquement résumés les caractères propres au taxons et qui permettent son identification. Si nous prenons l’exemple d’une nouvelle espèce doivent être indiqués explicitement l’houlette, les parasites, l’origine du nom (dérivation nommions), la localité- type, le niveau sténographique.

La daignons devrait être accompagnée, de préférence, d’une description plus approfondie et d’une discussion sur les affinités avec les espèces proches. Remarquons que toutes les catégories simiesques jusqu’ niveau de la famille sont définies sur la base d’un critère typologique. Un genre doit avoir une espèce-type et une famille un genre-type. Exemplaires disponibles, c’est à dire un ensemble dénommé série-type constitué par l’houlette et les parasites.

La plus grande source de problèmes de nomenclature est représentée par les noms spécifiques créés avant la publication du CINQ, lorsque les règles de nomenclature n’avaient pas encore été définies. Par exemple l’auteur de l’espèce peut ne pas avoir désigné l’exemplaire-type qui doit alors être désigné successivement au sein de la série- épée originale, dont les éléments seront appelés saynètes. Le type désigné postérieurement ne s’appelle pas houlette mais leucocyte.

De la même manière on désignera des préélectorales. Dans le cas où tous les saynètes ont été perdus il faudra désigner un nettoyé qui, de préférence doit être choisi parmi les tapotées, c’est à dire des exemplaires qui proviennent de la localité-type et La nomenclature est un ensemble de reg dire des exemplaires qui proviennent de la localité-type et La nomenclature est un ensemble de règles qui permettent de donner des noms scientifiques à des organismes vivant u fossiles, et qui sont soumis à des accords internationaux.

Pour qu’un auteur puisse donner son nom à une nouvelle espèce découverte, il doit s’assurer que ce dernier n’ait pas été utilisé valablement, qu’il désigne un type de l’espèce (l’houlette) qui représente l’espèce, les parasites qui sont les autres exemplaires qui sont figurés en même temps. Les parasites doivent admettre des variabilité antidiphtériques.

Une des conditions de validité est le fait d’utiliser une nomenclature abominable (ou lointaine), qui consiste à désigner les êtres vivants ou fossiles par un nom latin ou latiniste formé de deux mots, ont e premier désigne le genre (générique) commençant toujours par une majuscule, et le second ‘espèce (spécifique) qui commence par une minuscule. Mais il faut aussi le nom de l’auteur et l’année de publication, qui sont eux entre parenthèses.