Humanisme
C’est par l’entremise de cet ouvrage : tréteau et la fin d’un rêve indien que nous verrons quelle place a occupé M. Pierre lotit tréteau à l’intérieur de la vie politique du canard lors de la campagne réfrénerai de 1 980, du rapatriement de la Constitution sans l’accord du cubée en 1 982 et en terminant dans la saga de l’Accord du Lac éméché. Nous ferons également un bref retour dans le temps afin de constater que le débat sur la dualité entre deux nations distinctes est présent depuis fort longtemps en observant le dialogue entre deux intellectuels, M. Antre lauréate et franc. R. Scout.
Une brève critique des points forts et faibles de l’ouvrage concluront cet essai. Au canard, depuis la Révolution tranquille, règne un climat de crise politique où les canadiens français du cubée rêve de l’égalité à deux. Ces cubiques partagent une vision dualiste reposant sur une entente entre deux sociétés distinctes, deux peuples fondateurs pouvant occuper des premier boy jeûnèrent horripila 22, 2009 8 pages désormais impossible à réaliser? Plusieurs événements ont espaces de pouvoir significatifs dans les infarctus swaps toi vie nixe page infrastructures constitutionnelles canadiennes.
De grands personnages politiques et intellectuels tels que Antre lauréate, clause rayant ou Robert bourreras ont investi beaucoup dans ce rêve dualiste. Mais un homme politique parmi tous c’est démarqué, il s’agit de Monsieur Pierre lotit tréteau qui a joué un rôle plus que déterminant dans l’histoire du cubée. Animé par le désir de mettre fin au nationalisme cubiques ainsi que de rapatrier la constitution du pays, il fût présent à chaque point tournant de l’histoire cubiques.
Mais ce rêve de reconnaissance comme nation distincte pour le cubée n’ subi que des revers ce qui amène aujourd’hui à penser que c’est peut- être la fin d’un rêve canadien et dualiste des cubiques. Première défaite importante du cubée face à une reconnaissance de ce dernier en tant que société distincte fût le référendum de 1980. Le paysage politique de 1979-1980 était alors très mouvementé. Deux élections fédérales eurent lieu au canard dans l’année précédant le référendum. La première campagne électorale au printemps 1 979 eut une issue diamétralement opposée celle de l’hiver 1979-1980.
En 1979 on retrouvait M. tréteau confortablement installé dans son poste de Premier ministre défendant ses idées avec e plus de transparence possible sur un gouvernement central fort et n projet de rapatriement de la Constitution. Malgré toute la franchise qu’on lui reconnu lors de cette élection, il la perdit au profit de joie clair et du parti progressiste- conservateur. Ce parti connut de graves problèmes en début de mandat ce qui replonger le cubée en campagne connut de graves problèmes en début de mandat ce qui replonger e cubée en campagne électorale à peine 6 mois plus tard.
Monsieur tréteau à la tête du parti libéral gagna cette fois-ci les élections. C’est lors de cette deuxième campagne que l’attitude et les positions de tréteau furent méconnaissables. En aucun temps il ‘aborda les thèmes de la question constitutionnelle ni du référendum à venir tout en ignorant complètement le cubée. Cette campagne savamment orchestrée fût beaucoup moins éclatante que la première mais lui permis de se faire réélire. C’est à ce moment de l’histoire que l’on vit naître dans le comportement de tréteau une tendance à l’ambiguïté, à l’imprécision dans ses discours. La Campagne électorale gagnée, M.
tréteau devait immédiatement se tourner vers la campagne réfrénerai. C’est lors de cette campagne que lui valu es plus virulentes critiques : celle d’avoir trompé et délibérément menti à la pou donation cubiques dans ses promesses de réforme de la structure du fédéralisme canadien aussitôt le référendum passé. 1980 était une année importante pour le sort du peuple cubiques. Pour la première fois, celui-ci avait l’occasion de s’exprimer sur la question du choix d’un régime politique. La campagne réfrénerai fût marquée par des déclarations de réforme en profondeur du fédéralisme canadien.
Pierre lotit tréteau, câblant plutôt des moments clés pour intervenir dans cette campagne, disait que la souveraineté-association mènerait à un cul-de- AC, qu’il garderait le cubée dans les mailles du statut quo. Toutefois il promis de consacrer toutes ses énergies au cubée dans les mailles du statut quo. Toutefois il promis de consacrer toutes ses énergies au renouvellement de la Constitution en lui apportant des changements majeurs par un fédéralisme renouvelé. A l’issu de ce référendum, les cubiques réitérant leur confiance envers M. tréteau et le fédéralisme canadien fut bien vite déçu de constater que M.
tréteau allait briser ce lien de confiance en imposant aux cubiques sans leur consentement une nouvelle constitution. Ce qui eut comme conséquence de remettre en cause la légitimité des institutions gouvernementales canadienne. Croyant que le fédéralisme renouvelé dont parlait tréteau lors de cette campagne allait dans le même sens que les leaders politiques du cubée à ce moment, le peuple cubiques compris qu’il s’agissait plutôt d’un retour significatif aux aspirations traditionnelles du cubée et non au remaniement des structures politiques et d’un nouveau partage des pouvoirs entre les 2 niveaux de gouvernement.
Les actions de ce dernier à la suite du NON réfrénerai ne fit que renforcer la thèse de ses détracteurs. On lui reprocha d’avoir joué sur les mots et d’avoir induit la population en erreur. On alla même jusqu’ parler de fraude pour décrire l’offensive de tréteau lors de cette campagne réfrénerai. Dans les jours qui suivirent le verdict réfrénerai, tréteau se inca dans l’entreprise d’un des ses plus grands rêve, le rapatriement de la constitution assorties d’une Charte des droit et libertés.
Malgré cette initiative fédérale perçue par la Cour Suprême comme illégitime, M tréteau alla de l’avant dans ce projet avec l’accord l’avant dans ce projet avec l’accord de neuf provinces anglophones. Cet accord se fit sans la présence ni le consentement du gouvernement du cubée. Pour le cubée ont l’interpréta comme une défaite qui tinta d’illégitimité les institutions canadiennes. D’ailleurs aucun gouvernement cubiques jusqu’ ce jour n’ VOYOU signer ce document constitutionnel. Ce comportement outrageux vis-à-vis la pope donation cubiques peut être analysé en faisant un parallèle avec les pensées de local.
Ces dernières reposent sur le principe que les mêmes personnes ne devrait pas être titulaire des responsabilités du pouvoir legs hâtif et celles du pouvoir exécutif. Que la légitimité des gouvernants provient de la confiance qu’ont les gouvernés envers ceux-ci. Et lorsque cette confiance est rompue, l’autorité souveraine devrait revenir au peuple Pour utiliser local dans la relation cubée-canard nous devons voir l’existence d’un peuple majoritaires francophone sur le territoire du cubée.
En reconnaissant ce fait, il est primordiale pour local que les gouvernants ne doivent modifier la constitution d’un pays sans avoir préalablement eu l’accord de la communauté dans son ensemble ce qui devrait inclure obligatoirement le peuple cubiques. Ces pourtant ce qui se produisit en 1982. Jamais l’Assemblée nationale ni le gouvernement cubiques n’ont consenti à cela. Selon local ce comportement représente la brèche dans la confiance, l’abus de pouvoir législatif du gouvernement tréteau. Cette nouvelle ai constitutionnelle excluait clairement l’idée d’un canard Fo gouvernement tréteau.
Cette nouvelle loi constitutionnelle excluait clairement l’idée d’un canard formé de 2 nations. La revendication cubiques d’un droit de veto sur les modifications constitutionnelles fut également rejeté. Elle fut perçue comme une grande défaite et un affront pour le bulle cubiques. En suivant la théorie de local, e peuple aurait alors été, à ce moment, en droit de dissoudre le gouvernement, ce qu’il ne fit pas… Il encaissa le coup et attendit les élections fédérales suivantes pour élire un parti favorable à une réforme constitutionnelle.
C’est dans cette recherche d’une réconciliation nationale que brion mouliner fut élu en 1984 en promettant d’??uvrer au rapatriement du cubée dans le giron constitutionnel. Dans le but de concrétiser ce rêve, M. mouliner réuni au printemps 1987 ses homologues provinciaux afin de s’entendre sur un accord commun qui vint L’Accord du Lac éméché. Cette entente est considérée jusqu’ ce jour comme le meilleur effort de toute une décennie pour réparer l’injustice causée au cubée lors de ce rapatriement de la Constitution en 1982.
L’entente entre brion mouliner et les premiers ministres de provinces comportait une clause interprétative reconnaissant le cubée à titre de société distincte. De plus cet Accord aurait limité tout en reconnaissant le pouvoir de dépenser du gouvernement central, elle aurait limité la capacité d’intervention du gouvernement fédéral dans des sphères e juridictions exclusives aux provinces, elle aurait accordé également aux provinces un droit de veto sur toute transformation ultérieur d’institutions fade transformation ultérieur d’institutions fédérales.
La sphère d’influence provinciale s’accroissait dans le champ de l’immigration, dans le processus de nomination au Sénat et à la Cour Suprême. Si cette entente avait été ratifiée elle aurait mis fin à tous ces problèmes reliés au fédéralisme canadien. Dans la pensée de local, elle aurait restituée la légitimité des institutions politiques canadiennes. La dualité entre deux nations distinctes aurait enfin été reconnue.
Après avoir été ratifié par l’assemblée nationale du cubée en juin 1987, l’Accord du Lac éméché devait passer par un long processus de ratification étalé sur 3 ans où chaque assemblée législative des provinces devait confirmer son approbation. Cessé à ce moment que M. Pierre lotit tréteau, retraité de la vie politique, refit surface. Étant le promoteur le plus important de tout le vingtième siècle du nationalisme canadien, tréteau se lança bien évidemment dans une tentative pour empêcher la ratification de ‘Accord.