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Devoir de français : PARTIE 1 Vers le mois d’octobre 1 749, Cecile Volanges, une jeune aristocrate de 15ans écrit une lettre a sa chère amie Sophie Carnet. Toute deux ont été élevées au couvent des faubourgs de St Jacques. Cecile a été sortie de son couvent et vit maintenant avec sa mère. Tout est si different de là bas. Elle se plait dans sa nouvelle vie quand bien même le temps paraît long et qu’elle regrette parfois les moments à causer et à rire avec ses amies. Elle se livre a des activité artistique tel que le dessin ou la harpe et lis pour passer le temps.

C’est ce qu’elle raconte dans sa ettre adréssée à Sop porte et sa mère lui pas sa mère autant q heures planifiées et personne qu’elle voit Swape nextp g s un carosse a la e . Ceclle ne voit ne sont qu’a des ne des seules stiques ou de ses cordonniers. Cest d’ailleurs l’un de ces derniers qui l’attends en bas. Mais Cecile n’en sait rien. Toute éxité, elle s’imagine un tas de choses insencés. Et si c’etait Monsieur ? Elle a toujours été pleine d’illusion, ignorante et très naive parfois. Josephine, la Tourière du couvent ou elle etait, lui avait quelque jours plutot fais une confidence.

En effet, on comptait la marié. Swige to next page Madame Volanges invite M. Cabe a entré. Elle s’excuse pour le retard de sa fille, et précise qu’elle ne va pas tarder. Cecile entre alors dans la pièce et salue un homme tout vétu de noir. Elle était pétrifié. Le coordonier ne pu s’empecher de complimenter la charmante jeune fille. A ce propos, Cecile ne put se soutenir et s’assit sur un fauteuil, rouge d’embarras. Elle vit l’homme s’agenouiller devant elle et poussa un cri. Sa mère, lui demanda se qui lui prenait d’un coup.

Elle ne savait pas pourquoi Cecile ne donnait pas son pied a ce cordonier. Elle regarda Cecile et alors elle comprit. Mme Volanges a toujours connue sa fille comme tel. Semballant pour chaque petite chose insignifiante. Elle sourit et lui presenta le coordonier. Cecile voulut se cacher a ce moment là. Morte de honte, elle tendit son pied. Ses souliers enfilés, elle demanda de disposé. Cecile finit par être amusée de ce petit incident, et en parla dans sa lettre à Sophie. Elle pense que quand elle sera mariée elle ne se servira pas de ce cordonier là.

Pendant ce temps là, de l’autre côté de la ville, au Chateau de Stors, la marquise de Merteuil est assise dans son cabinet. Elle réfléchit. Elle doit écrire au Vicompte de Valmont. Elle se souvient lorsqu’ils étaient amants dans le passé. Beaucoup de choses les rapprochaient dont le fait que c’etait tout deux, deux libertins. 2 OF s Beaucoup de choses les rapprochaient dont le fait que c’etalt tout deux, deux libertins. Madame la Marquise a toujours été une femme libre, autoritaire, parfois hautaine.

Plus jeune, elle a toujours été très surveillée par une mère stricte, vigilante, parfois cruelle. Elle n’avait que très peu d’amies. Elle a du tout apprendre delle même, privée de son entrée au couvent. Il s’est révélé que son histoire avec le Vicompte de Valmont était impossible. homme se sentait trop souvent sous contrôle et soumis par la marquise. La rupture fut inévitable. La Marquise décida d’ecrire au Vicompte afin de lui demander son aide. Elle a aprit récemment que Mme Volanges comptait marié sa fille. C’est elle meme qui le lui a dit.

Seulement l’homme n’est autre que le Compte de Cercourt. Surprise, la Marquise avait cacher son indignation. Elle se rappelle la façon dont ce sot l’avait délésser pour partir avec « Intendante de. La Marquise a toujours eu un esprit de vengeance. Elle decide donc d’ecrire au Vicompte afin de lui faire part de son plan. Elle souhaite qu’il séduise la fille e Mme Volanges afin de ridiculiser ce Compte de Gercourt. Joséphine est arrivée chez Cecile. Elle lui dit qu’elle doivents se dépéchés car elles sont invités chez une amie de Mmme Volanges pour le souper.

Seulement, Cecile avait prévue d’ecrire une autre lettre à Sophie afin de lui faire part de toutes ses dernières gaucheries et encore lu 3 OF s gaucheries et encore lui raconter sa vie ici. Elle prends un stylo et décide d’ecrire. Elle lui parle de sa dernière soirée. Beaucoup de monde étaient invités. Hommes et Femmes n’ont fait que de la scruter lors du souper. Elle rougissait. Le plus pénible était e ne pas entendre ce qu’ils disaient a son propos. Elle croit avoir entendu le mot « jolie » a plusieurs reprises et « gauche h. Cecile mentionne la marquise. C’est la seule a lui avoir parlé de la soirée.

Elle ne se doute de rien, mais la marquise avait eu un certain interet pour elle durant la soirée. Elle voulait absolument echanger quelque mot avec la jeune fille. Le Vicompte de Valmont ne pris pas longtemps a répondre a son amie La Marquise. Il rejeta sa proposition. La jeune Cécile etait beaucoup trop facile pour lui. Elle n’avait aucune education, elle lui serait livré sans défense. Or, il a toujours préféré l’inaccessible. I parle de Mme de Tournel. Il est bien trop occupé a la séduire elle. Mme de Tournel est deja mariée le Vicompte aime les obstacles.

Son mari a du s’absenter ses derniers temps, elle passe donc ses journées avec le Vicompte, au plus grand plaisir de celui- ci. La marquise fut choquée et scandalisée par l’insolence du Vicompte. Elle ne pouvait pas concevoir qu’il lui desobeisse. Elle ne comprenait pas ce qu’il trouvait a cette ingrate de Mme de Tournel. 4 OF S concevoir qu’il lui desobeisse. Elle ne comprenait pas ce qu’il trouvait a cette ingrate de Mme de Tournel. Elle pense que ‘est qu’une prude avec qui ne lui apportera rien dans la vie et elle le lui dira dans sa lettre de reponse.

Elle n’oubliera pas de lui apprendre que le Jeune Danceny raffole de Cecile. Ils ont d’ailleurs chanté ensemble, et il ne sait pas ce qu’il perd. De plus, elle mentione sa querelle qu’elle aura avec le Chevalier. Elle veut rompre avec lui. Elle l’evoque d’un ton détaché, sans que l’on puisse déceler le moindre chagrin. Le Vicompte reçu la lettre de la marquise le lendemain. Il fut plus qu’offusqué de sa réponse. Madame la marquise et lui avait toujours eu cette relation conflictuelle mais ils se reconcilialent rès facilement.

Mais ici, madame la Marquise l’avait réélement froissée. Il était déterminé plus que jamais à conquérir la Presidente. Aujourdhui lors d’une promenade, il y avait un fossé a franchir. Mme de Tournel s’etait accroché au Vicompte paniquée de devoir le traversée seule. Il avait senti son cœur battre plus vite. Sa tante avait dit qu’elle avait seulement eu peur. Seulement, la Presidente l’avait maladroitement contredis. Il la distingue des autres meme si la marquise pense le contraire. Il ne se gena pas pour mentionner tout cela dans sa lettre. S OF s