Histoire Des IdC Es Politiques Locke Syntha Se 1

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John Locke, Le Second Traité Du Gouvernement. Chapitre 1 : Introduction 1/ Locke a montré ds le précédent discours que le pouvoir gouvernemental ne vient pas du « pouvoir personnel d’Adam et de la juridiction paternelle Donc, il faut trouver un autre mode de naissance au gouvernement, une autre origine au pouvoir politique. 2/ Tous les pouvoirs sont distincts : Magistrat Sujets, Maître Serviteurs, Père Enfants, Mari Femme, Seigneur Esclaves Tous ces pouvoirs pe 3/ Le pouvoir politiqu être sanctionné parl ein de mort ou une moin également à employ eul homme. or 20 re s lois qui peuvent a propriété.

Il sert force de la communauté pour le bien de la république. Chapitre 2 : De l’état de nature 4/ Pour comprendre ce qu’est le pouvoir politique, nous devons voir ds quel état tous les hommes se trouvent par nature. Ily a 2 définitions : – état ou l’homme a une parfaite liberté d’ordonner ses actions et de disposer de ses possessions. État d’égalité pour tous, mêmes droits. – état d’égalité où tout pouvoir et toute juridiction sont réciproques. Hommes vivant ensembles conformément à la raison sans aucun maître commun sur terre qui ait autorité pour juger entre eux. Hooker considère cette égalité des H comme évidente, et en Aspects de l’état de nature pour Locke . – Il est régi par une loi de nature instituée par Dieu. Etant tous égaux et indépendants, aucun ne doit nuire à l’autre ds sa vie, sa santé, sa liberté et ses possessions (principes de justices). Chacun est tenu de se conserver soi-même. Lorsque sa propre préservation n’est pas en jeu, il doit préserver le reste du genre humain. 7/- Afin que la loi de nature (paix et préservation du genre humain) soit observée, Hexécution de cette loi de nature est, ds cet état, confiée aux mains de haque homme.

Car la loi de nature, comme toutes les autres lois qui concernant les hommes, ne servirait à rien s’il n’y avait personne, ds l’état de nature qui ait le pouvoir de la faire exécuter. Ds cet état d’égalité parfaite, ce qui est permis a un homme de faire en exécution de cette loi, tout homme doit avoir le droit de le faire. 8/ Ds l’état de nature, un homme acquiert un pouvoir sur un autre. C’est un pouvoir de lui faire subir ce qul est proportionné à sa transgresslon, donc réparation et répression punition. Tout homme a le droit de punir le coupable, et de se faire ‘exécuter de la loi de nature. / On ne punit pas un étranger, car Locke ne voit pas comment les magistrats d’une communauté peuvent punir un étranger d’un autre pays, puisqu’ils ne peuvent pas avoir par rapport à lui un pouvoir +grand que celui que tout homme possède naturellement sur un autre. 10/ Une transgression comporte ordinairement une injustice commise à l’égard de quelque personne en particulier, Celui q OF ordinairement une injustice commise à l’égard de quelque personne en particulier, Celui qui a subit un tel dommage a en + du droit de le punir, un droit de demander réparation au coupable. / Chaque individu a 2 droits distincts ds l’état de nature : a) celui de punir le crime pour réprimer et prévenir le retour de fautes semblables chez chacun. b) celui d’exiger des réparations appartient qu’à la partie lésée. Donc ds rétat de nature, tout homme a le pouvoir de tuer un meurtrier, à la fois pour détourner les autres de commettre un pareil méfait, et aussi pour garantir tout un chacun contre les atteintes d’un criminel. L’une des bêtes sauvages avec lesquelles l’homme ne peut avoir ni société ni sécurité est Vhomme qui tue un meurtrier.

C’est sur cela que repose la rande loi de nature : quiconque a versé le sang d’un homme, son propre sang sera versé par l’homme. Le droit de punir et de demander une réparation n’est pas un rapport de forces mais des principes de justice ds l’état de nature. Ce double rôle constitue une faiblesse de l’état de nature selon Locke. 12/ Le degré de punition, pour qui a fait une infraction, et le degré de sévérité permis sont ceux qui suffisent à transformer la faute en mauvaise affaire pour le coupable, à lui donner un motif de se repentir et à terrifier assez les autres pour les dissuader de falre la même chose.

Les lois civiles ne sont justes que ds la mesure où elles se fondent sur la loi de nature, d’après laquelle il faut les régler et les interpréter. 13/ Ds l’état de nat la loi de nature, d’après 13/ Ds l’état de nature tout un chacun a le pouvoir de mettre la loi de nature à exécution. Dieu a donc certainement institué le gouvernement pour réprimer la partialité et la violence des hommes. Locke reconnaît volontiers que le gouvernement civil est le remède qui convient aux inconvénients de l’état de nature.

Mais, Pétat de nature vaut bien mieux puisque les hommes n’y sont pas obligés de se soumettre à la olonté injuste d’autrui. 14/ Où trouve-t-on des hommes vivant ds l’état de nature ? Ds les gouvernants de communautés indépendantes, qu’ils aient ou non conclu des alliances avec des autres : car ce n’est pas n’importe quel contrat qui met fin à Pétat de nature entre les hommes, mais seulement celui qui consiste à se mettre d’accord les uns avec les autres pour entrer dans une seule communauté, et pour former un seul corps politique. 5/ Locke affirme que les hommes sont naturellement ds rétat de nature et qu’ils le restent jusqu’à ce que, de leur propre consentement, ils deviennent embres d’une société politique. Chapitre 3 : De l’état de guerre 1 6/ L’état de guerre est un état d’inimitié et de destruction, lorsqu’on manifeste en paroles et en action que l’on veut enlever la vie de l’autre de manière ferme, nous atteignons l’état de guerre, l’enjeu devient vital entre les 2 parties (agresseur/ agressé). Droit de détruire ce qui me menace de destruction.

C’est une loi fondamentale naturelle : l’homme doit être préservé autant qu autant que cela est possible, et si tous ne peuvent être préservés, prlorité à l’innocent. 17/ ‘enjeu est vital puisque sans consentement de réduction au ouvoir d’autrui, le droit de liberté est bafoué. Tout homme qui tente d’en assujettir un autre à son pouvoir absolu, se met par là ds un état de guerre avec lui. Il existe une légitimité pour un homme de tuer qqun qui a atteint à sa liberté et donc à son pouvoir. (Cagresseur s’est mis ds un état de guerre avec 18/ Il est légitime, pour un homme, de tuer un voleur. 9/ Différence entre l’état de nature et fétat de guerre. a) état de paix, de bonne volonté, d’assistance mutuelle et de préservation. Vivre ensemble conformément à la raison sans aucun supérieur pour juger. ) état d’inimitié, de méchanceté, de violence et de destruction d’autrui. Recourir à la force contre qqun pour l’assujettir à son pouvoir. Dans l’état de nature, où il n’y a pas de lois positives, ni de juge autorisé auquel il soit possible de faire appel, l’état de guerre, une fois commencé, continue, ou jusqu’à que l’agresseur propose la paix à des conditions qui permettent la réparation des torts causés.

Le désir d’éviter cet état de guerre (on peut qu’en appeler au ciel puisque aucune autorité commune n’existe pour aider les innocents et obtenir des réparations) est l’un des prlnclpaux otifs qui poussent les hommes a formé des sociétés et ? abandonner l’état de nature. Chapitre 4 : De I PAGF s OF poussent les hommes a formé des sociétés et à abandonner rétat de nature. Chapitre 4 : De l’esclavage État de guerre qui persiste entre un conquérant et un captif. L’esclavage marque la limite de tout consentement, car un homme ne peut renoncer à sa liberté naturelle.

En effet, la liberté de l’homme ds la société, c’est de n’être soumis à aucun autre pouvoir législatif que celui qui a été établi dans la République par consentement. (Selon Locke, out homme est la propriété de son créateur et ne peut renoncer à la liberté qu’Il lui a été donné). Cette liberté vis-à-vis du pouvoir arbitraire et absolu est si nécessaire et si étroitement liée à la préservation de l’homme qu’il ne peut s’en défaire que par un acte qui le prive tout ensemble du droit à la préservation et à la vie.

L’esclavage est le prolongement de l’état de guerre où le captif a perdu son droit ? la vie. Le pouvoir du conquérant sur ceux qu’il a soumis légitlmement (le conquérant a été agressé à la base) apparaît comme une généralisation du pouvoir u maître sur son esclave. Il n’est cependant pas arbitraire : le droit de conquête ne s’étend pas à la descendance du vaincu. Chapitre 5 : De la propriété Locke utilise ce concept à la fois au sens strict, désignant la possession de bien matériels, et au sens large recouvrant la vie, la santé et la liberté. er lieu : Les hommes sont la propriété de leur créateur (101 naturelle) et sont doté de raison afin qu’ils usent la terre selon leur besoin (puisque l’homme est la propriété de dieu, il n’a pas le qu’ils usent la terre selon leur besoin (puisque l’homme est la le droit de se suicider). ème lieu : la préservation de la propriété au sens large constitue le motif poussant les hommes a rentré en société (état civil=peuple à quelques propriété). ème lieu : la propriété constitue une limite infranchissable pour tout pouvoir, y compris le pouvoir législatif qui a pour fonction principale de la préserver (loi fondamentale de la propriété). 4ème lieu : elle constitue un critère permettant d’affirmer qu’un homme a donnée son consentement (tacite) aux lois de son pays puisqu’il entend jouir de la propriété. Objectifs du second traité du gouvernement : d’établir que ‘origine et le fondement de la propriété privée et de sa légitimité résident dans le travail.

Cette légitimation entraîne à la fois une limitation (nul ne peut s’approprier + qu’il ne peut consommer) et une extension du concept de propriété lié au concept de travail : un homme s’approprie tout ce qui fait l’objet dun travail (cueillette, chasse). (La même loi de nature qui, par ce moyen, nous confère la propriété, limite également cette propriété. L’objet principal de la propriété n’étant plus aujourd’hui les fruits de la terre ni les bêtes qui vivent à sa surface, mais la terre elle-même.

La quantité de terre qu’un homme laboure, plante, amende et cultive, et dont il peut utiliser le produit, voi à ce qui définit ‘étendue de sa propriété. ) Selon Locke, la propriété prend naissance à l’état de nature, elle ne peut se rédu 7 OF sa propriété. ) Selon Locke, la propriété prend naissance à fétat de nature, elle ne peut se réduire à un contrat (société). Il parle de divers fondements de la propriété 1) droit d’usufruit octroyé par Dieu à tous les hommes sur l’ensemble des biens de la terre. 2) Le second fondement de la propriété est constitué par le travail.

Ce dernier permet la élimitation des biens communs (de la terre) et leur appropriation légitime, et ceci dès l’état de nature. II faut prendre le travail comme un concept vaste (cueillette, chasse). La légitimité de la propriété repose sur un critère moral. Ces 2 fondements sont compatibles puisque selon Locke, le travail fait partie de la loi naturelle édictée par Dieu. La propriété à l’état de nature s’exerce sur les biens périssables et n’est pas égalitaire, puisqu’on « travaille » pour ses besoins. Le travail augmente la valeur des produits naturels, « le travail donne à une terre la + grande partie de sa valeur »

Au sein d’une société CIVile, la propriété résulte d’un consentement, le travail continue d’y jouer un rôle essentiel, mais celui-ci a varié et devient un simple critère de répartition : Le consentement politique se règle sur le travail. Ce consentement, tacite et volontaire, valide des inégalités et crée un nouveau régime, celui d’une propriété établie qui implique un renoncement au droit de propriété initial. Dans ce nouveau réglme, la propriété peut s’étendre au-delà des biens nécessaires et permettre l’accumulation de richesse grâce à la monnaie. Chapitre 6 : Du 8 OF