Histoire des arts: photographie les ouvriers du Rockfeller
Sur cette photographie on peut voir des ouvriers en train de manger leur repas. Ce qui nous frappe c’est qu’ils sont assis sur une poutre sans filet ni harnais de sécurité à plusieurs dizaines de mètres de hauteur. Ils sont onze hommes, la plupart inconnu, habillés modestement. Je pense qu’il prenne leur déjeuner sur cette poutre car à cette époque il n’y a pas les outils modernes d’aujourd’hui, les ouvriers ne possèdent qu’un temps de pause restreint, préférant ainsi rester à cette hauteur et bénéficier d’un temps de pause plus long. II n’ont pas le temps de redescendre.
En arrière plan, on aperçoit le quartier de Manhattan des années 30 ainsi que le m to Wew next page mythique Central Park. Dès le début du XXème siècle, le quartier de Manhattan commence à se développer, il y a l’apparition de grands gratte-ciel comme l’Empire State Building ou le Rockfeller Center. Le quartier s’enrichit et devient de plus en plus prisé. En voyant cette photographie, nous avons le vertige et peur qu’un ouvrier tombe de cette poutre alors qu’il n’a aucune sécurité. Cette photographie a été prise du haut du bâtiment presque qu’à la auteur des ouvriers.
Peut-être que le photographe à lui aussi mis sa vie en danger pour prendre cette photographie. Bien évidemment, elle est en noir et blanc puisque les les photographie en couleurs n’existait pas à cette époque. Cette photographie a été prise au 79ème étage du Rockfeller Center. Pourquoi l’artiste a-t-il choisi de photographier ces ouvriers ? 1) L’objectif de cette photographie En réalité, cette photographie de ces ouvriers sur une poutre déjeunant les pieds dans le vide serait une publicité organisée pour le Rockefeller Center.
Selon « historien Ken Johnston, l’événement était bien préparé : « II semble assez clair que les travailleurs étaient de vrais ouvriers, mais l’événement était organisé avec un certains nombre de photographes En effet, l’auteur de cette photographie est inconnu du fait des nombreux photographes présents ce jour là comme Charle 2 cette photographie est inconnu du fait des nombreux photographes présents ce jour là comme Charles Ebbets par exemple. Il y avait beaucoup de journalistes envoyés par des agences de presse pour couvrir Févénement.
Cette publicité ervait à promouvoir le fait qu’à cette époque, c’était le plus grand immeuble de bureaux de New-York. 2) Lien entre ces photos et les années 1930 En 1932, nous sommes en pleine période d’industrialisation ( la deuxième, 1880-1950), période pendant laquelle se réalise de nombreux progrès techniques et où de nombreuses innovations voient le jour. Au XXeme siècle, les États-Unis et plus particulièrement le quartier de Manhattan devient très riche et très prisé.
De nouveaux bâtiments apparaissent, de plus en plus grand et de plus en plus beau comme celui de Rockfeller Center n 1932. Les États-Unis ont été touché par une crise boursière nommée la Grande Dépression du au krach boursier de 1929. Malgré cette crise qui provoque des faillites d’entreprises, de banques, une chute de la production et un taux de chômage qui a atteint les , les ouvriers du bâtiment ne sont pas énormément touchés car c’est à cette époque que Manhattan voit se construire ses plus hauts immeubles .
Cela nécessite un grands nombre d’ouvriers issus de l’immigration , de plus d’après la photographie, nous pouvons voir les conditions 3 ‘ouvriers issus de l’immigration , de plus d’après la photographie, nous pouvons voir les conditions de travail de ces ouvriers, il devait y avoir beaucoup de morts ou de blessé à remplacer sur les chantiers . 3) Les thème représentés Cette photographie est une des photographies les plus célèbres du monde avec des ouvriers déjeunant sur une poutre.
Nous avons dit précédemment que c’était une publicité pour promouvoir ces nouveaux bâtiments. Cette photographie aurait un but lucratif et sen’irait à montrer des ouvriers heureux en train de déjeuner. Même si la photographie a été préparée, les ouvriers seraient de vrais ouvrier du fait qu’ils n’aient pas le vertige puisqu’ils sourient.