Histoire de nissa

essay B

Histoire de Nissa Nice fut fondée au alentour du IVe siècle av. J. -C. par les Grecs venant de Phocée en Asie mineure qui possédaient déjà des villes dans l’ancienne Ligurie comme Antibes, ou en Corse avec Aleria ainsi qu’un comptoir en Gaule qui deviendra Marseille. Les Phocéens veulent obtenir une hégémonie sur le nord du bassin occidental de la Méditerranée. Nice fut fondé par les Grecs pour contre carrer l’expansion étrusques et punique en Ligurie ainsi que dans le nord ouest de l’Italie et commercer avec les ligures peuple autochtone de la région.

Une tradition remont it été donné à l’impl des grecs phocéens s les, de la région (Nikaia si la victoire »). Cependa e le nom de Nikaia victoire militaire seuls habitants ar qui est arrivée s/Nic… est assez répandu en Italie et en Espagne et ne semble avoir aucun lien avec la déesse grecque Nikél. Aucune source ne fait état dune bataille entre Grecs et Ligures à l’origine de la fondation de Nikaia. Nika•lë se développe néanmoins, grâce à la proximité de Cemenelum (Cimiez), et elle supplante celle-ci en importance au IVe siècle apr.

J. -C. L’existence d’une communauté chrétienne Nikaïa est attestée en 314, de même qu’un centre épiscopal se trouve à Cemelenum. Cest aussi à Cemelenum que serait apparue au Ille siècle apr. J. -C. la première communauté juive de la région niçoise. ce 15 août 1543 Sv. ‘ipe to 1543, le château de Nice et la ville sont sous le feu de cent- vingt galères franco-ottomanes placées sous le commandement de Barberousse et sorties dès les premières heures du matin de la rade de Villefranche3. Sur terre, quatre batteries ciblent la ville.

Dans le même temps, les troupes franco-turques donnent l’assaut à la porte Pairolière (située au sud-ouest de ‘actuelle place Garibaldi) puis à la tour Sincaire3. Les soldats turcs parviennent à se hisser jusqu’au sommet de la tour et l’un d’entre eux agite en signe de victoire un étendard vert frappé d’un croissant d’or. Elle brandit son battoir à linge avec lequel elle assène un coup violent sur la tête du janissaire. Celui-ci aurait été tué sur le coup, le crâne fracassé3, ou selon dautres sources, il aurait été simplement assommé2,11.

Elle lui arrache alors son drapeau, en brise la hampe et en déchire le tissu3. Enfin, elle aurait jeté en leur direction l’étendard mis n pièces, en signe « de bravade et de mépris »3. Toutefois, l’occasion de la commémoration du 15 août 1855, il est expliqué qu’elle jeta le drapeau turc dans la mer 12. D’autre part, certains ouvrages parlent de plusieurs combattants turcs assommés coups de battoir par Catherine Ségurane puis repoussés en bas des rempartsl 3.

Tous notent qu’elle parvient à galvaniser la résistance niçoise. Il est parfo’s relaté qu’en plus de son acte de bravoure, Catherine Ségurane aurait dévoilé une « partie charnue » de son anatomie, et se serait essuyée avec le drapeau de l’ennemi7. Ce geste provocateur, surtout pour des musulmans, aurait finalement mis en fuite les assaillants7. Jea 2 provocateur, surtout pour des musulmans, aurait finalement mis en fuite les assaillants7.

Jean-Baptiste Toselli explique que la légende à propos de ce geste fut inventée par le chroniqueur niçois Scalier au XIXe siècle, puis qu’elle a été selon lui reprise par ceux qui voulaient remettre en cause l’existence de Catherine Ségurane afin de contribuer à ôter tout crédit au récit qui lui est associé7,14. L’accordéon diatonique est un instrument de musique à clavier, tilisant des anches libres, excitées par un vent variable fourni par le soufflet actionné par le musicienl . L’accordéon diatonique est, par opposition à l’accordéon chromatique, organisé selon une ou plusieurs gammes diatoniques.

L’appellation accordéon diatonique est très souvent utilisée pour désigner les différentes variantes d’accordéon bi-sonore. Dans un accordéon bi-sonore, chaque touche produit deux notes différentes produites par deux anches montées sur un même sommier, suivant le sens d’action du soufflet (poussé ou tiré). Même si certains modèles d’accordéon possèdent toutes les otes de la gamme chromatique (comme certains modèles continentaux à trois rangées ou les accordéons irlandais), ils conservent une organisation par gammes diatoniques.

De même, il existe des accordéons diatoniques qui ne sont pas bi-sonores comme l’accordéon diatonique russe (garmoshka) La vielle à roue est un instrument à cordes frottées par une roue en bois au lieu d’un archet. La roue est tournée avec une manivelle, pendant que la main gauche du musicien joue la mélodie sur un clavier. a vielle à roue apparaît au Moyen Âge, dès le IXe siècl 3 musicien joue la mélodie sur un clavier. vielle à roue apparait au Moyen Âge, dès le IXe siècle.

Elle nécessitait deux personnes, une pour tourner la roue, l’autre pour jouer. On trouve de nombreuses représentations de vielle à roue sculptées (chapiteaux d’église) ou peintes, par exemple par Jérôme Bosch. D’abord instrument de cour pour qui Bâton et Vivaldi ont écrit quelques pages, la vielle fut détrônée par le piano-forte et son usage fut alors plutôt réservé aux mendiants. À la fin du XVIIe siècle, l’aspect de la vielle est encore simple et rustique, d’une forme à peu près carrée (on l’appelle alors « chiffonie »).

C’est seulement à la fin du siècle qu’un luthier de Versailles commence à monter des mécanismes de vielle sur des corps de guitare ou de luthDepuis, l’instrument est en constante évolution : on l’électrifie et la vielle électroacoustique apparaît Névolution de la vielle, n’est pas sans liens avec les génies d’hier tels que Gilbert Malochet (1859-1945), le légendaire Gaston Guillemain (1870-1965), le créatif Georges Simon (1902-1986, qui a formé Claude Taillade, Gilles Chabenat, Jean François Dutertre, René Zosso, Dominique Regef, Évelyne Girardon, etc. , et Gaston Rivière 1909-2004) . Aujourd’hui, Finstrument continue à évoluer : on affine toujours et encore la qualité de la vielle et les luthiers sont en quête d’un son pur et précis. L’intérêt pour la vielle a grandi, on la retrouve parfois même dans les compositions modernes de la chanson française (Stefan Eicher, Oliwa Ruiz, Stille Volk, ou encore Yves lamait), mais aussi dans le folk metal, tel le groupe Eluveitie qui 4 Volk. u encore Yves Jamait), mais aussi dans le folk metal, tel le groupe Eluveitie qui utilise cet instrument. Les chants traditionnels du comté de nice font partie de la famille es chants polyphoniques. Ils se modifient au fur et a mesure des années grâce au bouche à oreille. Ces chants sont chantés en niçois et en italien. pour pouvoir chanter ces textes il faut avoir un bonne accent tonique. La mandoline est un instrument de musique à cordes pincées originaire d’Italie.

Cest un petit luth à manche court répandu tout autant dans la musique classique que populaire ou traditionnelle, notamment dans les pays méditerranéens, mais c’est la chanson napolitaine qui lui a donné ses lettres de noblesse. Longue de 70 à 75 cm, la mandoline comporte une caisse de résonance ombée en lamellé-collé, une table dharmorme avec une grande ouïe centrale ovale, un manche court, étroit et muni de frettes, se terminant par unchevillier qui sert à accrocher les cordes.

On distingue deux grands types de mandolines mandoline milanaise ou mandurina, à six cordes doubles — le plus souvent en boyau, jouées avec les doigts, ou en acier, jouées avec un plectre — accordées à l’unisson comme suit : s012, S12, mi3, la3, ré4, 5014. L’instrument actuel s’accorde toutefois souvent comme la guitare. Elle dérive directement des instruments appelés uintern par Sebastian Virdung dans son Musica getutscht (1 511) et pandurina par Michael Praetorius dans son Syntagma musicum (1619).

Sa caisse de résonance est en forme d’amande, son dos bombé est composé de côtes en bois dur, et sa table d’harmorme comporte une ouie circ S d’amande, son dos bombé est composé de côtes en bois dur, et sa table d’harmonie comporte une ouïe circulaire. la mandoline napolitaine ou mandolino est apparue dès le XVe siècle, comme l’attestent quelques documents iconographiques. La première source écrite mentionnant cet instrument, due à Francesco Redl, date de 1685. D’après Richard Campbell, il existerait encore 3 exemplaires de mandoline napolitaine, datant respectivement de 1609, 1655 et 1660.

Le Corou de Berra naît en 1986. Au début, c’est un grand choeur populaire mixte revisitant les chants traditionnels des Alpes du sud. Beaucoup de convivialité, peu de technique. La direction artistique et musicale est assurée par Michel Bianco peu a peu, le Corou mute. Il devient un ensemble vocal musicalement exigeant, au service d’une démarche artistique très pointue. Il crée un courant musical spécifique qui donne naissance à des dizaines dautres groupes ou formations, dans out le grand sud.

Fidèle à sa démarche artistique d’ouverture tout azimut, le Corou surgit toujours ou on ne l’attend pas : musique du film Dogora (Patrice Leconte, Etienne Perruchon), avec un symphonique et un grand choeur, premiers pas polyvocalité / percussions avec l’extraordinaire batteur jazz André Ceccarelli ou le percussionniste Carlo Rizzo, avec le guitariste rock Sebastien Chouard, avec le compositeur « déjanté » Gilberto Richiero, avec Francis Cabrel, Jan Maria Testa, Michel Montanaro, Michael Lonsdale…. Depuis 1986, le Corou de Berra ouvre des voix