HDA Jules

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Œuvre NOI . Pragerstrasse : (la rue de Prague) or 5 Sni* to View Présentation de l’œuvre Titre: Pragerstrasse (la rue de Prague) Auteur: Otto Dix (1891-1969) Date de réalisation :1920 Lieu de conservation: Stuttgart, Galerie der Stadt Peinture : Huile sur toile (101 x 81 cm) Genre : Peinture d’Histoire artistique spécifique. Après la Première guerre mondiale, Otto Dix a réalisé deux tableaux montrant les conséquences physiques de la Grande guerre sur les anciens combattants. Il a représenté les « Gueules cassées» avec les Joueurs de cartes (1920), et les estropiés avec la Rue de Prague(1920).

Les caractéristiques physiques sont exprimées jusqu’au grotesque. Au début des années 1920, les États et les soldats survivants n’ont pas peur de montrer la dévastation physique laissée par la guerre, à la fois par fierté et par devoir de mémoire. La laideur,jusque là cachée par la censure, a été récupérée par les discours officiels et les associations d’anciens combattants. Dix choisit de montrer ces soldats comme des pantins ridicules. Il) Présentation de l’œuvre membres inférieurs et son bras gauche ne sont faits que de bois.

Autour d’eux, l’agitation de la ville est pressante. Nul ne ait attention à ces infirmes. Près d’eux, de part et d’autre, deux chiens traversent la rue. Ainsi les invalides sont amoindris, ms au même niveau que les chiens. A l’arrière-plan des vitrines contiennent des perruques, des corsets et des prothèses. 2)couleurs : Les couleurs présentent des couleurs vives pour les premiers plans (bleu du veston du personnage au premier plan, robe rose de la dame traversant la rue) et acres pour les personnages en arrière-plan (le mendiant, renfant… 3) Composition Le mélange de représentation picturale et de collage évoque les recherches cubistes de Braque et Picasso (les premiers « papiers ollés » de Picasso datent de 1912), mais également les collages critiques dadaïstes. IV) Interprétation Le tableau montre : 1 Les conséquences de la guerre les victimes directes de la guerre (gueules cassées mutilées, les prothèses). Les victimes indirectes de la guerre (orphelins, les veuves obligées de se prostituer pour survivre). Une crise sociale Dix représente ceux qui s’en sortent après la guerre (Le mutilé bien habillé a réussi à se reinsérer dans la société et les deux hommes dont on ne perçoit que les bras sont des bourgeois : des profiteurs de la guerre ? ). ll représente aussi es perdants de la guerre (La femme seule pourrait être une prostituée, l’orpheline et le mutilé qui est obligé de mendier pour survivre). Otto Dix nous montre des rapports violents.

L’absence de solidarité entre les deux gueules cassées, et le mépris affiché envers le mendiant ar l’un des deux b solidarité entre les deux gueules cassées, et le mépris affiché envers le mendiant par fun des deux bourgeois. (Il remet un timbre comme aumône). 3 Une crise politique avec le tract et le journal, Dix témoigne de la montée du nazisme Avis personnel : J’aime beaucoup le style d’Otto Dix et particulièrement sur cette œuvre. Elle montre la cruauté des humains envers les mutilés de la guerre , mais également leur cruauté en général.

Car oui , combien de personnes croisent des SDF tous le jours sans même leur adresser un regard ? Combien jettent et gaspillent tout et n’importe quoi chaque jour ? Mais c’est ça que J’apprécie dans le mouvement Expressionniste , et particulièrement le style d’Otto Dix. ll critique, Il dénonce et rappel à l’ordre le caractère inhumain de beaucoup de monde dans ce tableau. V) Conclusion : Après la Première Guerre mondiale, Dix a été choqué par les horreurs de la guerre et dénonce publiquement les conséquences ffroyables de la guerre et les dérapages sociaux entrainés par le captalisme.

L’œuvre est la réalité vécue, qui n’est pas représentée, mais plutôt interprétée. Cest un travail critique et une prise de position : on fait la lumière sur les choses, on prend une position. Dix choque pour dénoncer les horreurs de la guerre. PAGF sur l’image photographique, ce qui a révolutionné le journalisme. l) L’auteur : Margaret Bourke-White est née le 14 Juin 1904 dans le quartier du Bronx à New-York d’un père juif et d’une mère irlandaise. Elle fit ses études à l’université Conlubia de New-York où elle commença ? s’intéresser à la photographie.

Elle épouse Everett Chapman en 1925 mais divorce deux ans plus tard. Elle fréquente d’autres établissements d’enseignement supérieur et est diplômée de l’ université Cornell en 1927. L’année suivante, elle s’installe à Cleveland, où elle travaille comme photographe pour l’entreprise Otis Steel Company. Elle intègre en 1929 le magazine Fortune et fait un voyage en URSS en 1930. Puis elle est ensuite embauchée par Henry Luce en tant que photographe de presse pour le magazine Life après avoir collaboré au magazine français VU Elle se marie au romancier Erskine Caldwel, ils restent ensemble e 1939 à 1942.

Elle travaille comme correspondante de guerre pendant la seconde guerre mondiale et retourne en URSS : elle trouve refuge à l’ambassade américaine de Moscou au moment de l’invasion allemande. Elle photographie d’autres fronts pendant le conflit en Afrique du Nord, en Italie et en Allemagne. Elle suit le général George S. Patton dans l’Allemagne vaincue et prend des clichés du camps de concentration de Buchenwald. Elle voyage également en Indeoù elle rencontre Gandhi, qu’elle suit jusqu’à son assassinat le 30 janvier 1948. Elle meurt le 27 aout 1971 à Stamphord.