Guy de maupassant
Tablant sur la répétition de la mise en scène à la naissance u second fils, rêve, et sur plusieurs indices concordants de dissimulation, les biographes contemporains accréditent de plus en plus l’origine focalisée, habilement escamotée par la mère, leurre de impuissant née Le poitrine, entichée de noblesse. C’est, en tout cas, Fécamp, parmi les enfants de pêcheurs, à deux pas de la mer et des grands voiliers qui l’attireront toute sa vie que le jeune gué passe ses premières années.
Une enfance ballottée dans un foyer désuni, entre une mère excessive et avortée qu’il adore et un père faible qu’il méprise jusqu’ douter de la légitimité de son ascendance. La scolarité se déroule au Lycée impérial napoléonien à Paris, puis à l’institut ecclésiastique d’veto, où il restera de treize à dix-huit ans. Élève « ouvert », « docile », « poli », selon ses maîtres, il supporte difficilement les contraintes du pensionnat solitaire dans lequel il se trouve « .