Gouvernance économique mondiale
En renonçant à assumer leur leadership, les États-Unis ouvrent une période où es pays industrialisés vont rechercher des solutions individuelles, notamment à travers le jeu sur la valeur des monnaies ou l’attraction des capita B. La coopération e Dans les années 198 individuelles, privilégi qui échappent alors Is rec is an este décevante. e à des solutions des marchés entrent alors en concurrence pour attirer ces flux financiers (grâce aux IDE).
Cette dérégulation des marchés financiers est facteur de spéculation et est à l’origine de krachs boursiers dans les pays industrialisés (Wall Street en 1987 et 2009) et dans les pays émergents (crise siatique de 1997). Le GATT montre aussi ses limites et son inadaptation à l’économie moderne. Dépourvu d’organe de sanction, il est incapable de mettre fin à certaines pratiques des pays riches qui se protègent de la concurrence des pays en voie de dévelop Swipe to Wew next page développement. IIA. la suite du premier choc pétrolier, un petit groupe de 6 pays décide de se réunir pour traiter les questions économiques et financières de façon informelle. Le G6, qui par la suite après intégration du Canada deviendra le GI, finira par être le GB n 1998 avec l’intégration de la Russie, cependant il sera vite stigmatisé comme un « club de riche » L’existence du G20 remonte quant à lui en 1 999, il s’agit alors de favoriser la stabilité financière internationale à la suite des crises financières des années 1990.
Contrairement au GB, le G20 a pour finalité de faciliter le dialogue entre pays industrialisés et pays émergents. B. L’OMC est créée en 1995 pour remplacer le GATT qui apparaissait inadapté au nouveau contexte économique. Son champ de compétences est élargi puisqu’elle s’occupe non eulement d’industrie et d’agriculture, mais aussi de services et de la propriété intellectuelle.
Elle a aussi pour mission de promouvoir le développement durable et de permettre aux pays émergents ou aux pays pauvres de s’intégrer harmonieusement au commerce mondial. Elle regroupe quasiment tous les pays grâce à sa « libéralisation » des échanges, cependant limité dans son progrès car les pays pauvres manquent de moyens pour faire valoir leurs droits face aux pays riches, par rexistence d’ensembles régionaux comme l’Union Européenne ou l’ALENA et ne déréglementation qu’elle ne peut contrôler.
III. A. Beaucoup de problèmes persistent, en effet, ce processus libérale profite toujours d’abord aux pays développés sans tenir compte des situation 2 libérale profite toujours d’abord aux pays développés sans tenir compte des situations des pays du Sud, que révèle l’altermondialisme, un courant de pensée, organisateur de plusieurs manifestations notamment lors des sommets du FMI (Fonds monétaire international), de L’OMC ou encore du G8, il ne cessera de dénoncer cette fracture Nord/Sud.
De plus les olutions prises en compte sont « injustes et inefficaces » (Aurélie Trouvé) car elles ne servent qu’aux pays qui prennent la décision dadopter la solution, prouvé avec les négociations de l’OMC en 2006 qui n’aboutissent pas en raison des difficultés à trouver un compromis entre les États membres qui veulent sortir des nombreuses crises économiques, de la misère, du chômage etc..
B. Déjà exposé dans le rapport Brundtland en 1987, le problème du développement durable touche les débats mais c’est à la fin des années 1990 qu’il y a une véritable prise de conscience, ancement de recherche de solutions à l’échelle internationale entrainé par le réchauffement climatique.
Plusieurs normes environnementales s’imposent progressivement notamment avec le protocole de Kyoto appliqué en 2005 visant à réduire les émissions à gaz à effet de serre ( grâce à un nombre de pays suffisant l’ayant ratifié sauf les États-Unis encore aujourdhui). Les problèmes de pauvreté et l’inégal accès aux soins sont encore très ressenis, cependant d’après le document on observe un meilleur développement et une baisse de la pauvreté (Pascal Lamy).