G Nocide Arm Nien AP

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Accompagnement Personnalisé Le sujet de cette dissertation est sur le génocide arménien. La problématique est « pourquoi peut-on parler de génocide arménien ? En premier lieu nous allons parler de l’historique du génocide, puis de la thèse des Turcs sur le génocide et enfin de la thèse des historiens pour enfin conclure. Le samedi 24 avril 1915, à Constantinople, capitale de l’empire ottoman, 600 notables arméniens sont assassinés sur ordre du gouvernement.

C’est le début d’un génocide, le premier du XXe iècle. un génocide e intentionnelle, systé Iq d’une partie d’une po Sv. i* to religieuses ou sociale première fois en 19 ue, panifiée, d’une population ou s origines ethniques, est apparu pour la ael Lemkin, d’origine juive-polonaise. Il vient du grec g nos, « genre », « espèce » et du suffixe —cide qui vient du latin qui signifie « tuer « massacrer Il va faire environ 1,2 million de victimes dans la population arménienne de l’empire turc.

L’empire ottoman a longtemps été l’un des plus puissants états e la planète, il est centré sur la Turquie actuelle. Depuis le XVIIIème siècle, l’empire perd l’essentiel de ses possessi Swipe to View next page possessions européennes dans les Balkans, après les guerres balkaniques de 1912 à 1913. Au tournant du siècle, l’empire ottoman compte environ 36 millions d’habitants dont 2 millions d’arméniens. Ces arméniens vivent, pour la plupart, en Grande Arménie et en Cicilie, au sud de [‘Asie Mineure..

En 1909, le mouvement des Jeunes-Turcs prend le pouvoir dans l’empire. Ils rassemblent les populations de langue turque et souhaitent créer une « nation turque racialement homogène » ce qui explique le massacre de 25000 arméniens. La République turque, qui a succédé en 1923 à l’empire ottoman, ne nie pas la réalité des massacres mais en conteste la responsabilité et surtout rejette le qualificatif de génocide. Les Turcs les plus accommodants attribuent la responsabilité des massacres à un régime disparu, le sultanat, ou aux aléas de la guerre.

Le gouvernement d’Istanbul, llié de l’Allemagne contre la Russie, la France et l’Angleterre, pouvait craindre une alliance entre les Russes et les Arméniens de l’intérieur, chrétiens comme eux. Ils font aussi valoir que ces massacres ne fussent pas motivés par une idéologie raciale. Ils ne visaient pas à l’extermination systématique du peuple arménien. Ainsi, les Arméniens de Jérusalem et de Syrie, alors possessions ottomanes, n’ont pas été affectés par les massacres. Beaucoup de jeunes filles ont PAG » OF d