français
Bruno Betteheim spécialiste des contes de fées. « Les personnages des contes de fées ne sont pas ambivalents, il ne sont pas à la fois bons et mauvais, comme nous le sommes tous dans la réalité. » Tout conte appartient au genre de l’apologue (court récit en prose ou en vers qui contient une morale. Apparu dès l’Antiquité) Mots qui désignent interlocuteurs : La Bête : « le monstre » 1. 1, « pauvre monstre » 1. 21, « pauvre bête » 1. 5 La Belle : toujours désignée par « la Belle » qui est une Wen next caractéristique phys La bête, répétition q différences physique, Opposition : antithès Swape nextp g n apparence, ses fférente des hommes mais son aspect intérieure est comme celui des hommes : « bonté » 1,4. « Elle est si bonne » 126 : l’apparence physique ne reflète pas l’aspect intérieur d’une personne. Comme King Kong, ils ont une part d’humanlté en étant des bêtes. « Si laide » 1. 26 adverbe d’intensité.
Grâce au « si » l’adjectif « laide » est intensifié. « Si bonne » 1. 26 Antithèse qui remet en cause la loi de l’apparence. La Belle montre la dualité de la Bête Morale : ne pas se fier aux apparences. C’est une morale implicite. Caractéristique du monstre : Ligne 2 : « Ceci est à vous » ; générosité. ? J’aurai du chagrin » ; sensibilité. Ligne 7 : « J’ai le cœur bon » ; tendresse Ligne 14 : « Je vous suis bien obligé » ; humilité Ce sont des qualités morales.
La démarche de la Belle nous pousse à faire comme elle. A ne pas avoir de préjugés « Le pauvre » ; « tristement » registre pathétique. Conclusion : Cet objet d’étude nous conduit à réfléchir sur l’Homme dans sa relation avec l’autre. La Belle se préoccupe de l’autre, elle a un aspect exemplaire. La Belle est un idéal Honnête, modeste, sensible, ouverte d’esprit. Avec ces qualités elle échappe aux aprioris. 2