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SAINT-LEGER 24 Mars 2015 1ère S Roxane DM de Français – Séquence IV Question de Corpus : Montrez la variété de transfigurer le banal. Sni* to View lisées pour Le corpus est composé de trois textes d’auteurs français. Le premier est un le poème La Pipe écrit en 1857 qui est un extrait du recueil Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire, recueil qui est l’une des œuvres majeures de la poésie moderne.

Le deuxième extrait est une fable, Le homard et la boite de corned-beef écrite en 1898 qui est issue de Gestes et Opinions du docteur Faustroll, pataphysicien de Alfred Jarry, poète, romancier, écrivain et ramaturge français qui fut aussi dessinateur et graveur. Le troisième texte est un extrait de L’appareil du téléphone tiré de Pièces écrit en 1962 par Francis Ponge, poète du XXème siècle. Enfin, le quatrième texte est le poème Le balai tiré du recueil Album zutique d’Arthur Rimbaud, poète du XIXème siècle.

Je montrerai en quoi les textes du corpus montrent la variété des est constitué des deux quatrains et de deux tercets, c’est un sonnet. Il comporte quatorze vers formant des octosyllabes. Le quatrième texte est également un poème de forme régulière, c’est un dizain. Le rythme est régulier et les vers sont des lexandrins. En revanche la fable d’Alfred Jarry échappe à la versification classique. En effet, les vers n’ont pas un nombre fixe de syllabes, ils sont donc de longueur inégal.

La seule contrainte de cette fable est le retour à la ligne, ce qui lui donne un rythme ainsi que son suspens. Enfin, le texte de Francis Ponge est un poème en prose, dans lequel on retrouve une forme plutôt libre et assez linéaire. La présence de paragraphes montre une unité de sens. Bien que un poème en prose soit moins reconnu qu’un poème en vers, il est soumis à des contraintes métriques, des principes syllabiques ainsi que des lexiques poétisés. De plus, les rimes jouent également également un rôle dans les formées poétiques.

En effet, dans le premier texte on retrouve des rimes masculines « auteur – fumeur », « douleur — laboureur » qui sont des rimes pauvres, qui encadrent des rimes féminines « mine — Cafrine « chaumine — cuisine » qui sont des rimes suffisantes. Dans les tercets, il y a d’abord des rimes embrassées « âme — dictame » et « bleu — feu » puis des rimes suivies « guérit – esprit Dans le deuxième texte, Alfred Jarry n’a pas fait de rimes, en revanche le retour à la ligne marque le rythme. Le texte PAG » OF d