Fran Ais Abenaki

essay A+

Lhistoire de l’Abenaki est une nouvelle, écrite en ancien français par Jean-François de Saint-Lambert (1 716-1803). Elle est écrite en 1769. Elle raconte l’histoire d’un jeune officier anglais sauvé par un Abenaki. Nous commencerons par analyser la partie narrative du texte puls nous commenterons la partie dialogué. I une partie narrative Dans un premier temps, les Abenaki sont perçu comme des individus sauvage et barbares. En effet,nous pouvons voir : « sauvage Abenaki barbare » et « un vieux sauvage »

Le texte commence par une guerre entre les anglais et les Abenakis. Cest derni les anglais. L’Abenaki arc s’approche de lul l’homme a un Chang mots : « tout à coup ors to View -toyablement tous sauvages armé d’un d’une flèche mais t, symbolisé par les complètement d’idée et sauve l’anglais : « abaisse son arc, et court se jeter entre le jeune officier et les deux barbares qui allaient le massacrer ». L’Abenaki réconforte, alors, le jeune officier anglais : « le vieillard prit Panglais part la main, le rassura par ses caresses

L’Abenaki transmettra, au jeune officier anglais, tous ce qu’il sait . « il lui apprit le langage des Abenakis et les arts grossiers » Les deux personnages n’ Swipe to View next page n’ont pas une relation de maître et prisonnier mais d’amis : « Il en fit moins son esclave que son compagnon », « il vivait fort content l’un de l’autre » plus le récit avance et plus l’Abenaki ressemble à une personne normale et non à un sauvage.

Cela est montré grâce à l’apparition des sentiment chez l’Abenaki : « quelque fois le vieillard fixait les eux sur lui, et après l’avoir regardé il laissait tomber des larmes » Les sentiment de l’officier sont aussi exprimé par son inquiétude vis-à-vis de son geôlier : « Une seule chose donnait de l’inquiétude au jeune Anglais » Il Le dialogue Dans le dialogue, l’Abenaki raconte tous ce qu’il lui a appris : « Écoute, je t’ai sauvé la vie ; je t ‘ai appris à faire un canot, un arc, des flèches, à suspendre l’orignal dans la forêt, à manier la hache, et à enlever la chevelure à l’ennemi. ? L’Abenaki fait une moral u jeune homme en lui rappelant tous ce qu’il a fait pour lui ainsi qu’en lui posant des questions rhétoriques :« Qu’était-tu, lorsque je t’ai conduit dans ma cabane ? » L’officier reste fidèle à son ami alors qu’ils s’apprêtent à tuer des Anglais « L’anglais protesta qu’il aimerais mieux perdre mille fois la vie que de verser le sang dun Abenaki. » Le dialogue résout le mystère du sauvetage du jeune officier car le combat du jeune homme ressemblait à la mort de son fils : « Sais-tu que j’ai été père…. Je ne le suis plus. J’ai vu mon fils tom