Folleville

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Commentaire Cette pièce de théâtre « Embrassons-nous, Folleville ! » est une pièce écrite en 1 850 par Eugene Labiche ainsi que August Lefranc, des auteurs appartenant la bourgeoisie. II s’agit d’une comédie dont le but est de se moquer de l’aristocratie ayant eu lieu a l’époque de Louis XV. Dans cette première scène, le spectateur découvre le personnage principal Folleville, qui se trouve dans une situation délicate car celui- ci est contraint de se marié a la fille de Manicamp, Berthe, bien qu’il souhaiterait épousé Aloise, sa promise cousine.

Cependant, Folleville à du mal à le faire comprendre a Manicamp car a chaque fois qu’il essaye, celui- ci l’interrompe et lui montre toute son affection d’où le titre « Embrassons-nous F piège, mais, est bien se marié a Berthe. deux scènes ont une les procédés qu’utilis cette pièce plaisant. or4 to View ent donc pris au u’il ne souhaite pas ous verrons que ces suite nous verrons ndre le début de l) Fonction informative des scènes.

Dès la didascalie de la ligne 1 à 5 nous retrouvons le cadre spatio- temporel puisque le salon où se déroule la scène est décrit omme étant « un salon Louis XV » (Il). Le décor est ensuite décrit, cltons « cheminée « deux vases de porcelaine » (14) « chaises, fauteuils » (1 5). Swipe to View next page 5). De là, nous pouvons déduire qu’il s’agit d’un salon appartenant a un riche propriétaire, sans doute appartenant a la grande aristocratie française de cette époque.

De plus l’intrigue est mise en place des les premières Ignes puisque dans le monologue de Folleville, celui-ci explique sa contrainte a se marié a la fille de Manicamp, Berthe, malgré son désaccord incompris. En effet, Manicamp veut par tous les moyens les unir, bien que Folleville soit déjà promis à sa cousine Aloise, qu’il semble aimer. Nous devinons et comprenons de là le caractère des personnages.

En effet, Folleville semble être un jeune homme timide puisqu’il n’ose pas avouer son désaccord a Manicamp malgré sa détermination « Allons c’est décidé, il faut que j’en finisse aujourd’hui Folleville semble prendre son courage a deux main afin de dire la vérité au marquis de Manicamp. Quant à celui- ci, il semble être vif et enthousiaste et cela se remarque ès le commencement du dialogue avec Folleville à la scène 2, « Où est-il ? Où est-il ? Ah ! Vous voilà Mon cher Folleville… mon bon Folleville ! ? Manicamp semble en effet porter une grande affection ainsi qu’admiration pour Folleville, notamment avec l’emploi de l’adjectif « bon Folleville quant a lui semble exaspéré par cette situation « Voilà que ca commence ». Manicamp continue de montrer son affection à Folleville tout au long du dialogue « Embrassons-nous Folleville ! » Manicamp est attaché a Folleville et nous comprenons pourq PAG » OF d ? Embrassons-nous Folleville ! » Manicamp est attaché a Folleville et nous comprenons pourquoi cela empeche le timide Folleville de lui annoncer que le mariage avec sa fille, Berthe, est impossible.

Cela a un effet répétitif et a la fois amusant, et nous pouvons en conclure qu’il s’agit bien une comédie car bien que la situation dans laquelle se trouve Folleville est embarrassante, cela porte un coté drôle et amusant car a chaque fois que celui- ci prend la parole pour annoncer ce qu’il souhaite de dire depuis si longtemps « Cest que je suis venu causer avec vous… erieusement » , Manicamp lui répond gentiment « parlez, je vous écoute.. Mon gendre » l’emploie de mon « gendre » avant même le mariage prouve que Manicamp ne semble pas douter de l’envie de Folleville d’épousé sa fille et cela le rend mal a l’aise.

Il) Une pièce plaisante. Il sagit bien d’une pièce plaisante car d’une part, la mise en place du monologue de Folleville est amusant, celui-ci se pose de questions « Comprend -on ce Manicamp ? » Falleville est perdu et cela se ressent a la lecture (ou écoute) de son monologue. Citons « se prendre tout à coup d’une belle passion pour moi ? propos de je ne sais quelle aventure de chasse et voulolr a toute force me faire épouser sa fille » Folleville est conscient de l’adoration que lui porte Manicamp mais nous comprenons là , qu’il ne souhaite pas épouser Berthe. « À toute force… ? Citons une nouvelle fois , par exemple « Tout les matins, j’entre i Berthe. « À toute force… » Citons une nouvelle fois , par exemple « Tout les matins, j’entre ici avec la ferme résolution de rompre … mais dès que Manicamp m’aperçoit… il m’ouvre les bras, me caresse, m’embrasse en m’appelant son cher Folleville… son on Folleville… [l… ] alors j’hésite, je remets au lendemain… » Il y ‘ a bien une dimension ironique dans ce monologue, Folleville n’arrive pas a contrôler la situation face a la gentillesse et l’adoration que porte pour lui Manicamp.

De plus, la chanson que chante Folleville pour Aloise, sa cousine promise rend la scène plaisante également ; il ne chante pas son fort amour pour elle mais chante sur radmiration qu’il porte sur sa taille. « J’ai constaté avec surprise, qu’elle grandit encore tout les ans » plus je la vois qui s’élève et progresse, plus mon amour va pour lle croissant » Là encore nous retrouvons de [‘ironie, et une scène amusante puisque les chants d’amour habituellement ne ressemble pas a ce chant.

Finalement, Embrassons-nous Folleville ! est une pièce de théâtre faite pour amuser son public ainsi que ses lecteurs et nous pouvons justifier cela par les procédés que les auteurs emploient ; monologue, chant, et une mise en scène dynamique. C’est une comédie qui vise à se moquer de la grande aristocratie de ‘époque avec une part d’exagération et cela crée justement le rire et ramusement.