Final

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RÉSUMÉ En premier lieu, ce laboratoire permettait de maîtriser la lecture et le fonctionnement d’un microscope optique. Puis, à l’aide de différents types de cellules soit animales et végétales, il avait été absenté les différents compartiments et structures de ces cellules. La forme, la couleur et l’aspect de ces derniers avaient été aussi étudiés. L’étalonnage du microscope a éte indispensable d’être fait afin de procéder à la prise de données. Il a été important de noté que pour faciliter nos observations, la technique de coloration a été mise à l’usage. ?? la suite des prises de données la comparaison avec la théorie nous avait fait constater la similitud org Sni* to View INTRODUCTION L’évolution de la science n’aurait pas été ce qu’elle est sans l’invention du microscope. Celui-ci est vite devenu un outil indispensable dans le domaine de l’observation microscopique. En biologie cellulaire, cet instrument sert à l’étude de la cellule sur différent aspect tel que l’étude des structures dans une cellule (tailles, emplacement, formes et leurs activités), les interactions extracellulaires, etc.

Il existe plusieurs types de microscopes ermettant d’étudier la structure des tissus de l’organisme. Pour ce faire divers types de méthodes ont été conçues tel que la fixation, le montage dans l’eau et la coloration. Tout d’abord, on retrouve deux types de microscopes sauvent utilisés en laboratoire : le microscope optique et le microscope électronique. La différence entre les deux provi provient du fait qu’en électronique, le microscope à un système de lentilles électromagnétique et aussi un faisceau d’électron tandis que le microscope optique est conçu de lentilles de verre et d’un faisceau de lumière.

Il y a deux sortes de microscope électronique : microscope électronique à balayage (MEB) et microscope électronique en transmission (MET). Le MEB est utilisé pour visualiser la surface de l’échantillon donc la structure interne de l’échantillon reste invisible. Pour bien observer Véchantillon, il doit être déshydraté et doit subir un traitement pour qu’il devienne conducteur. Tandis que pour le MET, l’intérieur de la cellule est visualisée ainsi donnant plus d’informations sur l’ultrastructure biologique. Afin de conserver l’échantillon lors de l’observation, il y a un protocole précis ? uivre.

Avec la microscopie électronique, il y a une meilleure résolution de nm et le grossissement peut varier de 1000 ? 250 000 fois environ, ce que ne nous permet pas le microscope optique. Le microscope optique permet de visualiser des objets vivants ou fixés à l’échelle cellulaire. Afin de bien observer les objets, il est souvent nécessaire de procéder à des colorations des tissus. Cette technique nous permet de distinguer les objets de façon précise ou de différencier deux organismes proches, étant donné que les tissus ne se fixent pas à la coloration de la même manière.

Cependant, certains colorant sont toxiques et tuent les cellules, ce qui empêche l’observation de leur évolution au cours du temps. Ce qui nous ramène, au microscope ? contraste de phase car il permet contraste de phase car il permet d’étudier les cellules les plus transparentes tout en les maintenant vivantes. En conséquence, celle-ci nous permet d’utiliser des cellules vivantes non pigmentées et non colorées, afin d’observer leurs morphologies. Le microscope à contraste de phase transforme les différences d’indice de réfraction en différences d’intensité qui sont alors isibles à l’œil.

Lors de ce laboratoire, on observera plusieurs types de cellules fixées et vivantes afin de s’adapter à la microscopie optique et à l’utilisation de colorant. On aura également à procéder ? l’étalonnage du mcroscope afin de pouvoir être en mesure de mesurer quelques cellules et leurs noyaux pour les comparer avec les valeurs théoriques. On débutera l’observation avec les cellules de l’épithélium buccal puis par la suite, le frottis sanguin, l’épiderme interne d’oignon, le frottis de la pulpe de pomme de terre, la feuille d’élodée et pour finir la pulpe de tomate.

Le but fondamental du laboratoire Microscope et organisation structurale de la cellule est d’étudier l’organisation structurale des cellules animales et végétales et de les différencier. RÉSULTATS mesures 1,87 Tableau 3: Mesures des cellules d’érythrocytes Cellules Érythrocytes 10 2 12,5 4 Moyenne des mesures 10,5 Écart type des mesures CALCULS Calcul 1 : Valeur en om d’une division du micromètre-oculaire Cette valeur est calculée par la formule suivante : ouA nombre de micromètres correspondants sur la lame micrométrique PAGF grossissement de 100X (teinture de Wright)

Figure 4: Observation des cellules d’épiderme d’oignon au microscope photonique à un grossissement de IOOX (coloration avec eau iodée) Figure 5: Observation des cellules d’épiderme d’oignon au microscope photonique à un grossissement de 100X (coloration avec vert de méthyle acétique) nous l’avons observé avec la teinture de Wright qui nous a permis de fixer le frottis à la lamelle. Sur le champ d’observation, nous avons eu plein de cellules de couleur rouge ne possédant pas de noyau, ce sont des érythrocytes.

Nous avons pu percevolr quelques cellules plus foncées qui sont des leucocytes (globules lancs). À la suite de la prise des mesures des érythrocytes observés, nous avons eu comme moyenne 10,5 um ce qui est loin de la valeur théorique située entre 6,2 et 8,2 pm (Turgeon, 2004). La forme des érythrocytes sont beaucoup plus arrondies que les cellules buccales. Pour la seconde partie de notre expérience, nous avons observé des cellules végétales. Parmi lesquelles, il y a l’épiderme interne de l’olgnon, la pulpe de pomme de terre, la feuille d’élodée et la pulpe de tomate.

L’observation sans coloration, nous a permis de voir les vacuoles rouges dans l’épiderme de l’oignon tandis ue l’observation avec l’iode a fixé le cytoplasme et le noyau colorés en jaunes. Le cytoplasme granuleux est compris entre les membranes plasmiques et vacuole qu’on distingue dans les angles de la cellule. Par contre, avec le montage dans une solution de vert de méthyle acétique, on a observé le noyau coloré en vert car le colorant a fixé l’ADN. La pulpe de pomme de terre a une paroi cellulaire plus épaisse. ?tant donné que nous avons gratté pour obtenir le frottis de la pulpe, nous n’avons pas de cellule intacte et les amylopastes sont libérés. Pour l’observation sans coloration, nous pouvons distinguer les mylopastes de couleur blanchâtres et de forme plus ou moins ovales. Par contr distinguer les amylopastes de couleur blanchâtres et de forme plus ou moins ovales. Par contre, à la suite de l’ajout de Peau iodée, les amylopastes sont devenus bleu foncé. L’observation de la feuille d’élodée, nous a permis de voir les cellules vivantes et ces structures comme les chloroplastes de couleur de verte et granuleux.

Les cellules sont de forme polygonale avec une paroi squelettique doublée par une membrane plasmique et avec des noyaux qui sont parfois visibles. Le mouvement de cyclose est erçu autour de la paroi cellulaire qui est orienté dans la même direction pour toutes les cellules. L’observation de la pulpe de tomate était très difficile car les couches de cellules étaient très épaisses. Par contre, nous avons aperçu les grandes cellules contenant un petit noyau ainsi que des cristaux rouges qu’en théorie doivent être les chromoplastes.

Afin de pouvoir mesurer nos cellules et leurs divers compartiments, il faut procéder à l’étalonnage. Celui-ci consiste ? superposer les graduations visibles dans l’oculaire avec ceux de la lame micrométrique. Ce qui nous permet de savoir la valeur ‘une division du micromètre-oculaire en pm. En sachant cette valeur, nous pouvons par la suite déduire la taille réelle des divers compartiments observés. Il est important de procéder ? l’étalonnage de notre microscope afin de s’assurer de la validité de nos mesures.

Chaque microscope a sa puissance qui est caractérisée par le pouvoir séparateur. Celle-ci est la distance minimale entre l’objectif et la préparation. Sa valeur d est donnée par la formule suivante: où – longueur d’onde de la lumière, n — indice de réfraction du milieu situé entre l’objet et l’objectif — demi-angle d’ouverture de l’objectif Pour augmenter le pouvoir séparateur il faut remplacer l’air (n=l) entre la lentille de objectif et la préparation par l’huile d’immersion (n—l . 2). L’avantage de l’utilisation de cette huile est de diminuer ou d’éviter la réfraction des rayons lumineux par l’air entre la lamelle et l’objectif. Pour cette raison l’objectif 100X est nommé l’objectif à immersion tandls que les autres sont les objectifs à sec (Callen, 1999). CONCLUSION Pour conclure, le but du laboratoire Microscope et organisation structurale de la cellule est de nous habituer à Pemploi d’un icroscope en prenant soin d’apprendre les qualités optiques de cet appareil.

De plus, ce dernier vise aussi à nous aider ? la compréhension de la cellule et de ces compartiments. Il est nécessaire de comprendre toutes les formes de techniques qui sont aptes à nous aider lors de ces observations. REFERENCE 1. CALLEN. J-C. 1999. Biologie Celluaire des molécules aux organismes. Paris : Dunod, p. 476 : 26 2. TURGEON. M. L. 2004. Clinical Hematology: Theory and Procedures. 4 edition. Lon tt Williams & Wilkins, p. Procedures. 4 edition. London : Lippincott Williams & Wilkins, p.