fiche lecture
Je vais vous présenter un livre que mon prof nous a proposé de lire, intitulé La Chambre des officiers. Donc il y a le gars, là, qui s’appelle Adrien, qui part à la guerre. Au début, il se fait défoncer la face par un de ces morceaux d’obus ! Il se retrouve coincé dans un hôpital avec deux gars, Penanster et Weil, eux aussi la face arrachée. Ils font des belotes, et Adrien se défonce à fond pour pouvoir reparler. Il est malheureux lorsqu’il apprend, un jour, qu’une fille, Clémence, qu’il avait vu un jour, ne veut plus le voir.
A l’hôpital, il rencontre une gonzesse, la gueule arrachée comme eux trois. Ils sortent de l’hôpital tous les trois après la guerre et continuent à faire des soirées de cartes, de belotes. Ils se marient tous les trois. Seule Marguerite (la femme au visage Swpe to page défoncé), n’a pas tro guerre mondiale arri un endroit caché. A leur vie aussi. Penan il claque. Et voilà, c’es to View ureux. La seconde nt se réfugier dans devient normal et s quelques temps, vre ne m’a pas mal plu. Il n’était pas mal car on apprend la vie des blessés pendant et après la guerre.
Ils n’ont pas forcement une mauvaise vie. M Maintenant que je vous ai résumé ce roman, j’espère qu’il va vous intéresser. Ce livre est sortit en film et a eu trois Césars ! Tachez d’apprendre à recaler ça dans une disserte. Vous allez sûrement arriver à faire aussi bien que ça. En 1914, tout sourit à Adrien, ingénieur officier. Mais, au début de la guerre, lors d’une reconnaissance sur les bords de la Meuse, un éclat d’obus le défigure. En un instant, il est devenu un monstre, une « gueule cassée ». Adrien ne connaîtra ni l’horreur des tranchées ni la boue, le froid, la peur ou les rats.
Transféré au Val-de-Grâce, il rejoint une chambre réservée aux officiers. Une pièce sans miroir ou l’on ne se voit que dans le regard des autres. Il y restera cinq ans. Cinq ans entre parenthèses. Cinq ans pour penser à l’avenir, ? l’après-guerre, à Clémence qui l’a connu avec son visage d’ange. Cinq ans à nouer des amitiés déterminantes pour le reste de son existence. Voila, c’est fait, j’ai enfin lu « »La chambre des officiers » ! Depuis quelques temps déjà, je tournais autour de ce livre sorti en 1998, qui a obtenu le prix des Libraires (pas vraiment d’actualité! . Depuis un film a été réalisé, qui a manifestement remporte tous les suffrages (Il va falloir attendre une diffusion télévisée… ). Résultat, deux heures de lecture ininterrompue. La quatrième de couverture ne peut pas p couverture ne peut pas plus correspondre a la réalité du livre lul- même, qui raconte pour une fois la guerre de 14-18 en dehors des tranchées, puisque Adrien est blesse des les premiers jours de combats. Histoire dhommes et de femmes qui n’ont pas perdu la vie, mais leur visage, et donc une partie de leur identité, de leurs espoirs, de leurs désirs.
Et vont se reconstruire avec force et courage, avec leurs amis de souffrance, les Gueules Cassées, dont le grand-père de Marc Dugain faisait manifestement partie. Premières ébauches de chirurgie réparatrice, efforts pour auver les autres grands blesses de la tentation du suicide, amitié indestructible entre trois officiers de milieux totalement différents, ainsi qu’une femme également défigurée qui partage leur long séjour au Val de Grâce, renaissance du désir, pour ne pas sombrer.
Nouvelles vies après la guerre. Seconde guerre mondiale. Tout est décrit avec les mots justes qui suffisent a faire partager tous les moments de ces héros. Dernière phrase toute simple, qui résume la force qu’ils ont su tirer de leur expérience: – On va leur apprendre la gaieté. Après le livre, il va vraiment falloir trouver le DVD!