fiche de lecture phèdre
Aspects bibliographques Titre : Phèdre Auteur : Jean Racine Date de première publication : 1677 @ éditeur, collection, année d’édition : Hachette Remarques : 70 pages Genre et registre littéraires Genre Le théâtre : C’est un genre littéraire qui met en scène des comédiens pour jouer une pièce .
Registre or 3 Tragique : Le tragiqu st Snipe to View alarmant ou attaché semble soumis au de ul est funeste, nage tragique porté par ses passions ou subit un conflit int rieur proche de la folie (la fureur); e registre tragique est proche du registre pathétique parce qu’ils suscitent l’un et l’autre la pitié, mais il s’en distingue par le caractère terrifiant des situations dans lesquelles se trouvent les personnages. Présentation de l’oeuvre Thèmes développés . Thème 1 : L’amour : Son amour est interdit car il est envers un homme plus jeune que son marie .
C’est amour là il est pour son beau-fils Hippolyte . circonstance malheureuse . Personnages principaux : Personnage 1 : Thésée , roi d’Athènes , fils d’Egée Personnage 2 : Phèdre , femme de Thésée Personnage 3 : Hippolyte , Fils de Thésée et d’Antiope Intérêt de l’œuvre (genre, histoire, écriture, structure, idées… ) Ce que je retiens du livre : Je retiens les malheurs que Phèdre traverse et son amour passioné qui engendre sa mort et celle d’Hyppolyte . Résumé de l’œuvre Lioeuvre raconte la tragédie de Phèdre mariée a Thésée qui a un amour passionné pour son beau fils Hippolyte .
Tout va basculer lorsque ce secret est découvert . Hippolyte , condamné décide e fuir avec Aricie , l’ennemie de son pére . Phèdre finira par se suicider . Analyse littéraire Critiques sur le fond (idées) A travers sa piéce Racine nous montre que les sentiments sont très difficiles a maitrisés . Critiques sur la forme (genre et style) Cest une pièce tragique en 5 acte . L’écriture est lyrique et la langue est très difficile a comprendre . Je vals… Phèdre – Ah ! Cruel, tu m’as trop entendue. Je t’en ai dit assez pour te tirer d’erreur.
Eh bien, connais donc Phèdre et toute sa fureur. J’aime. Ne pense pas qu’au moment que je t’aime, Innocente à mes yeux je m’approuve moi-même, Ni que du fol amour qui trouble ma raison Ma lâche complaisance ait nourri le poison. Objet infortuné des vengeances célestes, Je m’abhorre encor plus que tu ne me détestes. Les dieux m’en sont témoins, ces dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mon sang, Ces dieux qui se sont fait une gloire cruelle De séduire le cœur d’une faible mortelle. Toi-même en ton esprit rappelle le passé.
Cest peu de t’avoir fui, cruel, je t’ai chassé. J’ai voulu te paraître odieuse, inhumaine. Pour mieux te résister, jai recherché ta haine. De quoi m’ont profité mes inutiles soins ? Tu me haïssais plus, je ne t’aimais pas moins. Tes malheurs te prêtaient encor de nouveaux charmes. J’ai langui, j’ai séché, dans les feux. dans les larmes. Il suffit de tes yeux pour t’en persuader, Si tes yeux un moment pouvaient me regarder. Que dis-je? Cet aveu que je te viens de faire, Cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire ?